mardi, 28 octobre 2008
Assorti...
à mon humeur maussade et désabusée...
Parce qu'objectivement cette chanson est déprimante, non?
Elle dit grosso modo la même chose que Les étoiles filantes (oui je sais j'obsessionne... if6, tu dois être d'accord ;-) ) mais sans trace aucune d'optimisme.
Et puis-je vraiment dire que je suis en désaccord? Si on me prend comme exemple, et ben non, sauf que bon j'ai quand même quelques rares exemples un peu plus réjouissants... sauf que je me demande "Mais comment ils font???"! Et que j'en ai franchement marre de pouvoir me reconnaitre dans toutes les séries de trentenaires libres, libérées mais désabusées un chouia, à la recherche du grand amûûûr et qui en prime finalement le trouve en plus! Ça c'est le bouquet, à la fin il y en a pas une qui reste célibataire même celles qui assument à mort, si c'est pas pour me narguer ça??? Parce que bon moi aussi je cherche, enfin je fais pas grand chose j'avoue, j'attends qu'il me tombe dessus (s'il pouvait ne pas m'assommer (au propre comme au figuré) au passage ce serait sympa), ça m'a plutôt réussi jusque là... Enfin réussi, réussi c'est vite dit vu l'état actuel des choses! Mais là pour la première fois de ma vie (et ça fait quand même 8 mois que ça dure!), ça me pèse!
Dernière minute : invitation par la jumelle blonde pour le 7 novembre, ça me laissera le temps de me remettre de la semaine atroce!
Bref revenons-en à nos moutons :
Je découvre la chose à peu près en même temps que vous... Sympa la tête de poisson! Du poisson, mais c'est très bon, c'est de l'argent, dixit une de mes films cultes, Un air de famille de Klapisch! Ah tiens bientôt je vais aller voir Paris...
Entre deux taxis |
Paroles et Musique: Jean-François Pauzé 2008 "L'expédition"
© La Tribu
Ils se sont embrassés tard dans la nuit
Sur la banquette d'un taxi
Dehors un lampadaire s'est rallumé
Ils ont fait vœu d'éternité
Sur le toit de la voiture le néon lumineux
Semblait n' briller que pour eux
Comme une petite auréole dans le noir
Le taxi filait vers la gloire
"Oh, qu'il est triste le sort des amoureux !"
Se disait le vieux chauffeur amusé
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser
Ensemble, ils ont pris un appartement
Où ils vécurent au gré du temps
Une vie avec des lunettes roses
Exempte de journées moroses
Mais le poids du quotidien, ce p'tit diable malin,
Vient s'installer un beau matin
Les cœurs qui furent si légers hier
Retombent les deux pieds sur terre
"Oh, qu'il est triste le sort des amoureux !"
Qu'on se dit au bout de quelques années
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser
Les amants d'hier sont dev'nus amis
Plus de chaleur dans le logis
Les rêves qu'ils avaient jadis en duo
S'endorment maint'nant dos à dos
Par la fenêtre, elle regarde celui qu'elle a aimé
La quitter pour l'éternité
En emportant tout un pan de sa vie
Dans un anonyme taxi
{x2:}
"Oh, qu'il est triste le sort des amoureux !"
Qu'on se dit lorsque tout est terminé
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser
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