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mardi, 14 juillet 2009

C'était le temps des vacances...

Mouais... Tout à l'heure, le remplaçant de ma victime m'a demandé si je serai (argh les si n'aime pas les ré, mais moi non plus) là dans les prochaines semaines (lecteur je te réexplique, la semaine prochaine la moitié du monde est en ouacances, la semaine suivante, c'est tous sauf mon département et celui des livraisons, et ensuite l'autre moitié reste en goguette), et ouais mon pote, je serai là fidèle (à m'emmerder) au poste...

Alors d'accord, on aura la paix, mais bon, je sens les emmerdes... parce que pendant ce temps on est censés tout réparer, rien de moins et en ce moment tout part à vau-l'eau, rien de moins. Remarque, lecteur, que j'aurais pu choisir une expression nettement plus vulgos pour exprimer ce sentiment de décatitude ambiant. Mais non, j'ai choisi la seucla, et ouais! Et en fait j'en ai jusque là des petites guéguerres internes : le fruit sec et mon chef mécan0 ne s'entendent plus, je ne suis peut-être pas très objective mais le fruit sec disjoncte alors que le 9/10 semble se retirer du binz. Et le chef mécan0 menace de prendre ses vacances!!! Alors qu'il n'en prend pas depuis, ooooooooh, bien longtemps! Et que s'il part, autant dire qu'on est cuits... Enfin surtout moi! L'expression consacré dirait que c'est mon bras droit... mais en l'occurence j'ai plutôt l'impression que c'est moi mon bras droit et que mon chef mécan0, c'est tout le reste! Bon et pas de réflexion scabreuse, je suis pas d'humeur, surtout quand elles viennent pas de moi (ouais j'ai même un peu choqué le sudiste, le pôôôvre, il avait l'air de trouver ça un peu déroutant de la part d'une frêle (!) et fragile (!) jeune (!) (Ouais bon hein!) fille)! Bref un bras droit tout seul ça va pas loin... Et donc j'ai peur! Faut que j'active mon plan d'attaque au plus sacrant, histoire de ne pas me retrouver dépourvue, une fois la bise venue!

Et ouais, j'ai envie de faire le tri dans plein de trucs.

Dans mon foutoir, assez mémorable, d'une part.

Dans mes sentiments, tout aussi bordéliques, d'autre part. Ah bien y (re)penser (encore et encore), BFC ne m'a jamais apporté quoi que ce soit, à part ce que j'ai bien voulu m'accorder moi même à son contact, pas plus, pas moins! Là, encore, on pourrait avoir une "relation" sympathique mais, même de ça il n'est pas fichu... Ce qui ne veut pas dire que je suis près de faire vraiment une croix dessus, argh! Ensuite il y a PAM, qui me laisse en plan, comme ça, PAF, sans préavis, tout ça parce que je suis partie en vacances et qu'en gros il ne supportait pas la "solitude", vu qu'apparemment je prends beaucoup de place et qu'il a senti un grand vide (je sais pas comment je dois le prendre?), pauvre chou hein, on pleure tous en choeur! On ne parle pas de sentiment pour le sudiste (malgré ses grandes "déclarations") (à tous ses potes, il parlait de sa copine, c'est-à-dire moi, argh, ça fait 30 secondes qu'on se connait je te signale, qui le quittait mardi (je suis quand même restée jusqu'à mercredi, un peu à cause de lui et j'ai même zappé le bostonien, un peu honte d'ailleurs!)), à part d'amour pectoral (à défaut d'une version plus courte que je ne lui ai pas accordé en raison de ses réticences à la noix, et toc!), je demandais pas plus que de tâter (et comme il passait pas mal de temps torse nu), enfin si je demandais plus, première fois de ma vie que je demande comme ça d'ailleurs. Pour l'homme marié non plus, à part en tant que souffre-douleur de première, et qui en redemande en plus.

Bon alors je pense que mettre de l'ordre chez moi, même si c'est un peu les écuries d'Augias (le crottin de cheval en moins tout de même), est quand même nettement plus simple, tu ne penses pas lecteur? Et en plus imagine ma satisfaction renouvelée matin et soir en contemplant les lieux devenus zenissimes, enfin pendant quoi? une semaine, au moins, tout de même! C'est plus que je peux en attendre de qui que ce soit...

23:52 Publié dans Mes "chers" collègues, tout un poème | Lien permanent | Commentaires (0) | |

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