L'oeuf ou la poule?

Éternel débat.

Auquel je veux contribuer par une approche décalée à défaut d'originale...

Je me demande si l'affreux bubon qui pousse sur la face interne de ma cuisse gauche est la conséquence des histoires ratatinées version 7 plaies d'Égypte ou variole et que donc c'est pas plus mal que je finisse toute seule parce que là c'est clair que plus personne ne voudra mettre son nez (ou autre chose) (mais juste le nez, ca m'irait déjà trèèèèèèès bien!) dans ce coin là de toute facon ou si, en fait, le rata m'a laissé tomber de la sorte parce qu'il subodorait que je n'allais pas pas tarder à être défigurée de par là. Ou alors c'est une allergie tardive à lui? Mais ca manque de tendresse et de délicatesse de le dire, j'avoue.

Et, en plus, j'y rajoute une charmante petite couche judéo-chrétienne car c'est un bubon qui fait mal... surtout quand il est (sauvagement) (parfois c'est bien mais parfois non) "caressé" par la couture de mon jean... Alors ok, je n'enfanterai pas dans la douleur ou autrement, mais je souffrirai en marchant, sympa. Ève l'a eu fastoche, c'est moi qui vous le dit!

Mais j'en ai réduit d'autres à néant. Il perd rien pour attendre, quand je rentre, je vais lui faire sa fête à celui là. Et en plus, les balafres ne me font même plus peur (et je cicatrise hyper bien, na). En plus, mon joueur de hockey, il ne voit que ma beauté intérieure (c'est le cas de le dire!) (je glousse comme une baleine (mais en silence, boulot oblige!)), lui, na ;-)

(Ah j'aime bien, ca doit aller mieux (mais pas du cuissot!) (mais j'ai un peu faim) (surtout vu que j'ai rien mangé à part mon yaourt mais bon) si je peux faire des notes du genre :-) )

Aaaaaaaaaaaaah, 18h02, l'heure où la ventilation s'arrête et où le calme et la tranquilité règnent 3-4 grosses minutes avant que je cours prendre mon train...