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jeudi, 20 octobre 2011

Équilibre?

Hier, encore une mini-crise avec le jspq. Je sais plus trop pourquoi. Pas souvenir de l'avoir spécialement embêté.

Enfin au préalable, on devait faire les courses ensemble et il est allé niaiser chez Interdiscount et m'a laissée seule pour tout faire. Argh. En pétard j'étais. Surtout que j'ai poireauté devant le magasin fermé parce qu'il avait repris les clés de la voiture. Ça a gueulé un coup et c'est retombé.

Au préalable, il avait reconnu un truc qu'il avait fait. Non, parfois, je me dis qu'on progresse (à pas de tortue microscopique mais on avance).

Il y a eu le truc ensuite. Dont je me souviens pas. Mais qui a encore lancé une prise en otage du repas. J'ai fait comme hier, je suis restée dans mon coin. Mais après une autre provocation (parce que soit disant je ne supporte pas qu'on fasse pas les choses que je veux et que hors ma loi, je ne suis jamais contente), j'ai fait mine de me casser. Je sais plus pourquoi j'ai arrêté. Et je suis partie dans mon coin tranquille. Sûre de mon fait. Sûre de sa faim. Ça n'a pas manqué, il est sorti de son antre presque comme si de rien n'était.

Ah si, le problème c'est que je soupirais. Ça le démoralise. Alors qu'il a déjà pas trop le moral.

Bref, il me demande de venir, ce que je fais et là, il entreprend de m'expliquer le problême (les soupirs donc) et il commence à me disant qu'il a pas trop l'habitude de la vie à 2. Là, cri du coeur de moi : moi non plus! Ce qui a failli faire dérailler les trucs parce que je l'interrompais (comme d'hab). Bref. Moi, je peux pas ne pas réagir sur le champ quand on me dit un truc qui me fait sursauter. Comme j'ai tendance à hausser la voix quand le sujet me tient à coeur. Ce n'est pas que je veux faire une scène publique... c'est juste que ça me tient à coeur bordel.

Donc il a continué sur les raisons : en gros, je soupire, ça le mine. Même si comme je lui ai dit, je soupire pas toujours à cause de lui! Parfois, je suis juste fatiguée (on se couche tard, enfin lui plus que moi, je tombe raide endormie vers 23h (comme hier au milieu de "Bl00d diamonds", pas mal pourtant bien que peu original) et cette semaine, je suis la seule à me lever tôt!)...

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Oh la la, du tout frais dans un tout autre registre plus rigolo!

Mon athé vient d'appeler Agnan. C'était tellement fort que j'ai bien reconnu da voix. En gros, il cherchait Vertigo. Logique étant donné qu'il bosse un étage en dessous.

Bref, là, Agnan raccroche. Et qui débarque 2 minutes après comme une fleur? Vertigo. Qui me salue. Et à qui Agnan dit que mon athé le cherche. Il le rappelle du tél d'Agnan. Et il tente d'imiter sa voix (celle d'Agnan) (vous me suivez?). Il recommence sur un mode nettement plus féminin. Apparemment, mon athé le reprend sur un mode nettement moins aimbale.

Ils discutent et là j'entend Vertigo dire "Mais oui je travaille avec presso, bien sûr". Ah oui? Ah bon!

Bref, il raccroche et me dit que mon athé me salue bien et qu'il lui a demandé s'il n'était pas à son bureau parce qu'il faisait encore le joli coeur avec moi. D'où son truc comme quoi, on bossait ensemble. Je ne me trompais pas, il y a de la rivalité dans l'air pour mes faveurs!

J'ai répliqué à Vertigo, en sous-entendant que je parlais du boulot, enfin ça me semblait clair, "Et ben ce fût bref mais intense!". Et lui de me répondre du tac au tac "Oh mais moi je me contente de ce que tu me donnes!"... Euh?!?!?!

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