Un duel, un duel

J'avais un meeting en début d'aprem avec mon cher athé favori et Vertigo. Bon yavait aussi un chimiste mais nettement plus accessoire dans l'histoire qui nous intéresse. Enfin qui m'intéresse moi, vous, je sais pas ;-)

Vu que la salle où on était est franchement mal fichue, mon athé savait pas où s'installer et nous demande à Vertigo et moi où nous pensions qu'il se tordrait moins le cou. Je lui suggère donc de présider la table alors que je suis à l'autre bout, sur la gauche en partant de la fenêtre (parce que la droite dans l'autre sens, celui où on rentre dans la salle, est un concept qui m'insupporte de plus en plus, en Chuiche, en France, au Kanada). Et là, il me dit, royal : "ah non parce que ça fait trop loin de toi". Ooooooooooooooooh c'est-y pas chou? Je lui dis un truc du genre. Déjà qu'on s'entendait sur le fait qu'on ne se faisait la bise qu'en privé pour pas faire jaser, là, je fonds moi ;-) Et lui de rajouter devant Vertigo, fier comme un petit banc : tu vois que je la drague bien plus subtilement que toi!

Ça va mal finir tout ça ;-)

J'adoooooore par contre! Zimaginez pas l'ego-boost...

Ça fait surtout changement avec le jspq-gc qui me prend pour un porte-monnaie en gros, qu'on ne considère que quand on en a besoin. Un porte-monnaie qui râle, qui gueule, par contre, il est mal tombé le pauvre! Et dire que j'ai considéré un temps que j'avais eu de la chance de le rencontrer... Maintenant, je me dis que rencontrer le maudit français, ça peut difficilement être pire. Alors voila, on discute tapas.