mardi, 02 août 2011
Crise(s) et drame (1)
(Avant que j'attaque le vif du sujet, faut que j'exprime quelque chose : mais comment peut-on parler pendant 30 minutes non stop de "structures" de chaussettes avec mailles etc. ??? Et non c'était pas 2 vieilles dames mais une fille début quarantaine genre un peu vieille fille (remarque, vu les sujets de conversation, on comprend pourquoi!) probablement germaine expliquant les subtilités de ce vêtement à un type british dans la cinquantaine... Argh!)
Tellement de trucs que je sais pas bien comment m'y prendre. Tout ce que je sais c'est que je vais commencer par la fin!
Vous m'avez beaucoup manqués en tout cas. C'est dans des moments comme ça que je réalise le bien fou que mettre ses pensées par écrit fait, pour prendre du recul, réfléchir au lieu de réagir de façon pas toujours logique et un peu (beaucoup) à fleur de peau (ce qui ne facilite pas toujours la communication...)...
En gros, contexte : ce long week-end, j'ai aidé le j'sais plus quoi à déménager.
LA fin c'est hier, en rentrant d'un bref passage de chez le j'sais plus quoi (jspq) pour lui rendre ses clés que j'avais oubliées dans mon sac. C'Était le premier août avec des feux d'artifice partout. On s'est retrouvés à la gare et il a attendu avec moi mopn train de retour. En sautant en l'air à chaque feu tiré. Car ça lui rappelait de mauvais souvenirs de quand faire boum c'était pas pour dire oh la belle bleue. J'étais très embêtée, je savais pas quoi faire, j'avais envie de le consoler mais va savoir comment. À la gare j'ai rencontré l'ex-montréalais que j'ai mis du temps à replacer. Bref présemtation avec le jspq. Blabla. Train qui arrive. Je fais la bise au jspq (argh). Je repars avec l'ex montréalais. J'arrive, je fais la bise à ce dernier (argh). Je vais prendre le bus car le métro est infernal pour cause de retour de feux d'artifice au lac. Une fois assise, j'envoie un tit sms au jspq en espérant que son retour n'a pas été trop stressant, qu'il a pu taper une cigarette à quelqu'un sur le chemin et en disant que malgré mes crises j'avais passé un bon w-e.
Aussitôt, paf, il m'appelle! En pleurs... Coeur serré (moi) (je doutais de la véracité des pleurs parce que les dernières fois tout s'était passé par msn et que c'est facile à dire... ben là, le doute n'est plus possible...). Parce que sa propriétaire ne veut pas de chien... alors que jusqu'ici il n'avait discuté qu'avec la soeur de la prorpio. Et il avait fait le joli coeur. Proposant de tondre le gazon. Allant les voir tous les matins en leur souhaitant "bien le bonjour". Même que hier, ça m'avait énervée et j'avais encore fait la gueule quand il m'avait demandé d'aller chercher la voiture pendant qu'il faisait le joli coeur (en fait la soeur de la proprio lui demandait de faire divers petites choses pour aider) (je suis vraiment une chieuse parfois, quand je veux).
Je savais pas trop quoi dire... A part qu'il devait surement avoir moyen de s'arranger. Le chien n'est pas laissé en liberté (il y a des chats dans le coin et un joli jardin), etc. J'espère que ça va s'arranger parce que le jspq est emballé par le lieu! L'appart est petit, un studio quoi. Mais la soeur lui a fait miroiter la récupération de l'appart du vieux père de 90 ans et quelque, donnant toujours sur le petit jardin. Il était tellement content malgré l'exiguité des lieux qu'il me disait qu'il ne déménagerait plus jamais dans ces conditions... Ah la la, je suis très embêtée pour lui...
Bon on va découper le tout en plusieurs parties parce que sinon on va pas s'en sortir et cette note va faire 15 km au lieu des 5 habituels...
10:22 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...), Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (0) | |