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lundi, 27 juillet 2009

Comme une pie...

Bavarde of course, pas voleuse (en plus j'aime pas ce qui brille, j'aime l'argent vieilli par exemple, pas clinquant, très peu pour moi le double bling!)...

Je viens de racrocher avec le mentor qui a des soucis avec sa tendre moitié (encore un!), apparemment ils ne se sont pas adressés la parole du week-end et si tu l'écoutes, bien sûr, c'est sa faute à elle! Je lui ai tiré les vers du nez parce qu'à la question "comment ça va?", il m'a répondu ça va d'une petie voix suivi d'un long soupir, alors j'ai eu peur que ce soit d'ordre médical! Il est pas tout jeune quand même, un an de moins que ma chère mère. Ça me fait penser que mon ancien directeur de recherche, un très illustre personnage dans le domaine, ainsi que mon co-directeur, illustre en France (et ailleurs dans le monde pour sa façon de parler english (tragique!)), avaient eu 70 ans. Argh! Ça veut dire que ça fait 10 ans que j'étais assise dans un bureau avec eux qui se lamentaient sur leurs 60 ans révolus et leurs divers petits soucis, alors que moi je comptais fêter en grande mon quart de siècle! Ça ne nous rajeunit pas tout ça, mazette!

Bref et donc comme d'habitude, j'ai parlé : du dernier Woody que nous avons tous 2 beaucoup apprécié, de ma piqure, des p1qures d'ara1gn*ées (mythe ou réalité?), de Harry, de plein de trucs... jusqu'à ce que le mentor en ait ras le bol / ait autre chose à faire! Le mentor semble trouver que j'ai la tête à partir d'"ici"... ici étant à multiples lectures!

Hier l'homme marié m'a raconté une "blague" juste après un moment critique et qui concernait directement notre conversation précédente (sauf que si ça, ça représente ses critères, on va pas s'en sortir!), j'ai ri poliment sans plus (parce que cette blague censée être drôle représente en fait une triste réalité pour beaucoup! dont moi en cette occurence...). Ensuite il m'a demandé si j'en connaissais (sous entendu, des blagues). La réponse fût niet, je les oublie au fur et à mesure la plupart du temps. Mais j'ai pas besoin de de phrases toutes faites pour être drôle, moi! Il a du en convenir... Et a même convenu que j'étais TRÈS drôle (au cas où vous douteriez) (ah un autre moment il a admis que parfois j'étais hyper vache avec lui! AH quand même!!! J'avais l'impression qu'il s'en rendait pas compte... mais visiblement j'ai d'autres "qualités" qui font qu'il passe facilement l'éponge)... Nan mais vraiment, bizarre de conversation pour le timing du moment???

Bref là n'est pas le propos!!!

À part dire que je suis bavarde (qui, ici, en douterait?) (quoique dans certaines circonstances, je fais très bien la muette aussi, et pas parce que je fais la gueule, attention! (parce que dans ces cas là je suis pas muette souvent)), je voulais parler, tadam, du Velib'!!!

Ouais maintenant que j'ai testé et qu'aujourd'hui je lis ça, je veux polémiquer!!!

Surtout sur la fin qui dit qu'en gros les utilisateurs de Velib sont des dangers ambulants... Nan parce que vous avez rien vu, mais alors là rien du tout!!! À Montréal, c'est comme ça puissance 10000... Lors de mon expérience Velibienne qui eut lieu entre 23 heure et 2 heures du mat' (donc pas l'heure de pointe, c'est vrai) (sinon j'aurais pas fait, j'ai peur de rouler en ville... alors à Paris, n'en parlons pas! Je l'ai jamais fait à Montréal non plus... moi je suis une adepte des vraies pistes cyclables) je le rappelle (vu que je me suis perdue et que j'ai fait tout Paris avant de me décider à revenir dans le droit chemin et de ne pas quitter la tour Montparnasse des yeux vu qu'elle était en face de mon hotel (ou mon hotel en face d'elle, je ne sais plus)), j'ai été frappée par la discipline des vélos (bon j'ai pas fait de stats velib vs. pas velib, j'avoue) tellement j'ai pas l'habitude de voir des vélos arrêtés aux feux rouges! Parce que dès que le gros de la neige fond (la neige et la glace ont leurs avantages, notamment celui de réduire le nombre de vélos et de réduire leurs manoeuvres... ce qui ne les empêche pas, au contraire, de glisser sous vos pneus au moment inopportun), en tant qu'automobiliste, je vis l'enfer, surtout dans mon quartier... Je ne compte même pas les remontées à contre-sens qui sont la norme non écrite, les passages aux feux rouges avec tout juste un coup de frein symbolique pour faire comme si mais c'est pas grave je porte un casque et les voitures ont qu'à regarder... En tant que piéton aussi, dans certains quartiers c'est pas la joie. D'Ailleurs les pires accidents auxquels j'ai failli assister que ce soit sur scène ou aux premières loges étaitent des rencontre du 3ème type, vélo-piéton qui demandait rien à personne. Et se prendre un vélo de plein fouet, ce n'est agréable ni pour le piéton, ni pour le cycliste (vol plané subséquent)...

Bref à Paris, les cyclistes (pas tous c'est clair) s'arrêtent aux feux (mais il y a des voitures qui s'arreêtent pas non plus... Ici tu "peux" brûler un feu si tu klaxonnes avant pour que les autres t'emboutissent pas, c'est bien pensé, hein? Ceci explique peut-être la présence de radars automatiques pour détecter les passages aux feux plus que mûr!!!) et ça ça fait changement. Par contre, ici, les voitures laissent beaucoup de place aux vélos (ben oui tu sais jamais ce qui peut leur venir en tête, on garde ses distances donc) mais les rues sont larges, plus larges qu'à Paris. Le format Champs-Élysées c'est pour les amateurs, ou presque!

Par contre, un truc! Comment on prend les ronds-points en vélo???

Faut vraiment que je teste un bixi!!!