jeudi, 26 février 2009
Je ne savais pas
Non, je ne savais pas jusqu'à il y a 4-5 jours et maintenant j'en suis très triste. Ça m'a même fait un choc, et pourtant je m'y connais en choc ces jours-ci non? Tiens parlant de ça, j'ai eu un appel d'ex-boite et là je me demandais qui ça pouvait bien être : c'était un type qui devait me proposer ses services pour l'atelier, il a été bien étonné (pas tant que moi!) quand je lui ai dit que j'y travaillais plus... Bref, là n'est pas mon propos...
Donc en lisant ça, j'ai appris qu'Alain Bashung était très malade... Je sais pas si je vous ai déjà dit que j'aime depuis longtemps Alain Bashung d'un amour sans partage... Alors ça me fait beaucoup de peine de savoir ça, quoi. D'autant plus qu'il n'est pas si vieux!!!
Et là tout à l'heure, j'ai entendu ceci, ça m'a rappelée la mauvaise nouvelle. Mais l'artiste avec un grand A reste ("La nuit je mens", quelle splendeur...) et restera... Quelle voix, mais quelle voix! Des textes magnifiques en prime dont celui-ci que je trouve tristement potentiellement prémonitoire et triste tout court...
Un jour je t’aimerai moins
Jusqu’au jour où je ne t’aimerai plus
Un jour je sourirai moins
Jusqu’au jour où je ne sourirai plus
Un jour je parlerai moins
Jusqu’au jour où je ne parlerai plus
Un jour je courirai moins ***license poétique quand tu nous tiens***
Jusqu’au jour où je ne courirai plus
Hier on se regardait à peine
C’est à peine si l’on se penchait
Aujourd’hui nos regards sont suspendus
Nous résidents de la république
Où le rose a des reflets de bleu
Résidents, résidents de la république
Des atomes, fais ce que tu veux
Un jour je te parlerai moins
Peut-être le jour où tu ne me parleras plus
Un jour je voguerai moins
Peut-être le jour où la terre s’entrouvrira
Hier on se regardait à peine
C’est à peine si l’on se penchait
Aujourd’hui nos regards sont suspendus
Résidents, résidents de la république
Où le rose a des reflets de bleu
Résidents, résidents de la république
Chérie, des atomes, fais ce que tu veux…
C'est beau, c'est beau, c'est beau! (et ça c'est de moi au cas où vous auriez pas remarqué...)
Argh! Ben zut je me répète, même en termes d'états d'esprit, 6-8 mois, même combat...
22:22 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...), Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : triste nouvelle, alain bashung, résidents de la république, la nuit je mens, cancer, tristesse | |
jeudi, 17 juillet 2008
Ça me fait penser à...
oui bon mes réflexions sombres précédentes (et ça ne s'est pas arrangé ce soir! Je suis maso je sais, je le dis moi-même et je le répète mais j'ai relu des tonnes d'anciens mails et non je comprends pas, ni comment je suis censée comprendre, ni comment on peut ne pas réciproquer à ce point, à part sur le mode purement se*uel où là monsieur daigne me suivre dans certains délires) m'ont inspirée sur quelque chose.
Enfin quelqu'un plutôt. Alain Bashung même, enfin bon je suis assez obsédée par son dernier CD et notamment Résidents de la République (non mais quel titre génial) et son texte, trop beau, trop triste, trop tout quoi, c'est court, mais ça parle, ou ça ME parle tout au moins. J'aime pas que certaines choses changent... sans prévenir, au moins Bashung, lui, il voit venir!
Découvrez Alain Bashung!
Un jour je sourirai moins, jusqu'au jour où je ne sourirai plus.
Un jour je parlerai moins, jusqu'au jour où je ne parlerai plus.
Un jour je courrai moins, jusqu'au jour où je ne courrai plus.
Hier, on se regardait à peine, c'est à peine si l'on se penchait
Aujourd'hui, nos regards sont suspendus.
Nous, résidents de la République où le rose a des reflets de bleu
Résidents, résidents de la République, des atomes, fais ce que tu veux.
Un jour je te parlerai moins, peut-être le jour où tu ne me parleras plus.
Un jour je voguerai moins, peut-être le jour où la terre s'entrouvrira.
Hier, on se regardait à peine, c'est à peine si l'on se penchait
Aujourd'hui, nos regards sont suspendus.
Résidents, résidents de la République, où le rose a des reflets de bleu.
Résidents, résidents de la République, chérie, des atomes, fais ce que tu veux.
06:55 Publié dans Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alain bashung, résidents de la république, bleu pétrole, j'adore!, trop beau, triste, vous savez qui | |