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lundi, 15 février 2010

La suite de la suite...

Bon j'en suis encore au ménage de printemps dans mes vieilles notes...

Vous vous rappelez PB? Non, sûrement ça fait perpète quand même! Ben là, je pense qu'on trouve tout ce que j'en ai dit... Ce qui me rappelle que ça fait perpète maintenant qu'il a disparu de FB et du reste?!?!?!

Bon alors ce qui précédait directement ce que vous allez lire (j'avais pas fini, va falloir que je bosse dur!), c'est . Bon, après, on pourra pas dire que j'ai le chic pour me trouver dans des situations embarassantes...

C'est parti!

(hmmmmmmmmmmm, je viens de penser que c'était bizarre de causer de ce genre de trucs le jour de la Saint Valentin mais tant pis)

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Sinon on était que je ramenais PB au motel (ça fait un peu j'ai engagé un gigolo lu comme ça sans le contexte) et que je me demandais s'il n'y avait pas anguille sous roche vu que c'était évident que les autres n'avaient pas assez de place dans la voiture mais bon passons. Ah oui juste avant le pauvre PB (bien rond, ayant bein dansé etc.) se fait engueulé par ses soeurs car il ne retrouve plus sa veste de complet et que donc il me fait attendre moi sa généreuse conductrice. C'est pas la mort, je me suis emmerdée à ce mariage, une soirée lourdingue avec des gens lourdingues du coin, qui restent entre eux, pas convivial pour 2 sous, j'ai eu un autre mariage 2 semaines après, palestino-syrien (mes fréquentations de ce type en plus des iraniennes déplaisaient beaucoup à l'homme marié! Hallucinant, lui étant algérien et connaissant sans doute l'exclusion etc. je me serais attendue à un peu plus d'ouverture d'esprit!) où là, impossible de résister et de rester sur sa chaise, on (enfin ex-coloc) m'a plus ou moins mariée avec mon voisin qui m'arrivait au niveau des seins, pratique non? alors que j'avais plutôt des visées sur l'ex de la mariée qui lui au moins m'arrivait aux yeux!, ambiance d'enfer, bref je suis restée hyper tard même si ex-coloc et son futur s'était cassé. Bref ce samedi là je me suis emmerdée mais j'avais rien contre chercher la veste de PB, enfin un peu d'action, bref on trouve (difficielement ça faisait 2 fois que je lui montrais sa veste qu'il n'a pas reconnue les 2 fois... au moins la 3ème fut la bonne!) et on "embarque" en voiture!

(Cynthia@Pfizer.com me les casse à me demander par email si je veux plus d'info!!! No, Nein, Non, Niet, est-ce qu'elle comprend???)

Sur le chemin (une vingtaine de minutes) on discute de la vie etc. puis arrivé à destination il me demande si je veux aller me coucher ou si je veux poursuivre chez moi enfin c'est-à-dire dans ma chambre de motel quoi... Euh maintenant en relisant dans ma tête je me demande si ça semble pas être une variante du dernier verre??? J'y avais pas pensé su tout comme ça, ou alors j'avais écarté la possibilité en pensant au contexte, on se connait depuis si longtemps que c'est comme si on était de la même famille.

Bref je dis ok pas de problème, sur ce il rentre chez lui 5 minutes histoire de prendre du ravitaillement, ie. deux bouteilles de 1.5 litres du punch maison préparé par son père. Pendant ce temps je m'étais changée, ras le bol de ma robe et de mes talons hauts, je me retrouve pieds nus avec mon bas de pyjama (très couvrant pas du tout aguichant, enfin ou alors tous les gouts sont vraiment dans la nature!) et un t-shirt, je n'appelle pas ça une invitation à la luxure! en plus j'avais mes règles alors donc pour moi certaines choses étaient "off the table" et ne m'avaient même pas effleurées l'esprit, vu le temps qu'on se connait, c'est presque comme mon frère, enfin plutôt mon frère ennemi! Bref je fais quelques objections quand à la quantité de biture, il propose qu'on s'en tape une et de me laisser l'autre que je me vois déjà siroter en regardant la finale du Mondial le lendemain (en plus à cette époque j'étais encore dans la Petite Italie, pas pu fermer l'oeil de la nuit, pauvre Zidane!), bon alors comme ça je veux bien.

Évidemment, on est un peu obligés de s'installer sur le lit car le mobilier est frugal (une chaise brinqueballante) et peu convivial. Malgré tout, je prends mes précautions et m'installe le plus loin possible de lui.

(à partir de là, c'est du 2010! J'avais pas fait grand chose, dis donc!)

Et là, paf, il commence à déballer ses problèmes, il geint et "jérémie" un peu. Je lui dis que je m'étais inquiétée pour lui à la suite de notre discute à la pendaison de crémaillère de la jumelle blonde. Faut dire que j'avais eu un choc à ce moment là, la dernière fois que je l'avais vu, il se la jouait playboy avec sa copine BCBG, me racontait ses voyages dans le sud, l'argent fastoche, etc. Et là, ben plus, rien, plus de copine, il voyait très peu son fiston ('tain je fais pas mal dans le père "célibataire"...), pas de boulot ou rien de passionant, pas de fric, pas la joie quoi. DOnc là, sur le lit, je lui dis que je l'avais vu très affecté et que je m'étais demandée quoi faire vu que je me reconnaissais pas mal pendant ma déprime de 2003 avant que je touche le fond et que je tape du talon pour remonter (un mix entre une citation du père Noël est une ordure et de la comtesse de Ségur!). Comme, à ce moment là, j'en voulais pas mal à certains "amis" qui m'avaient vue sombrer sans rien faire (genre ex-coloc, contrairement à la niçoise ou à la membre fondatrice du sush1 club), je ne voulais pas faire pareil avec lui. Mais bon, on était pas du tout "amis", plutôt des vieilles connaissances qui en savent pas mal l'une sur l'autre... Bref, je lui dis. Il me reproche un peu d'avoir rien fait. J'ai fait ce que je pouvais, c'est à dire prendre des nouvelles de lui auprès de ses soeurs et leur dire que je trouvais qu'il avait l'air de pas bien aller. Elles, elles avaient pas l'air inquiète... Mais bon, leur attitude au mariage montrait bien la chose aussi. On dirait qu'elles se "vengent" de ce qu'avant il avait tous les droits et privilèges dans la famille et que là, une fois tombé de son piédestal, elles pouvaient enfin prendre leur essor en se consolant en le voyant au niveau des pâquerettes. Menfin, ça c'est mon interprétation!

Donc oui, on cause de ça, il divague pas mal parce que le tout est arrosé de punch alors que moi j'ai du boire un verre max car je trouvais le terrain glissant ET miné (ce qui complique les choses, pas vrai)... Plusieurs fois, ses discours étaient entrecoupés de "VIens!" "Viens plus près!", parfois suppliants, parfois plus impérieux que je m'empressais d'ignorer superbement...

MAis bon je l'écoutais (et oui, j'écoute aussi parfois ;-) ), j'essayais d'être encourageante, d'être positive, de lui donner des idées de trucs pour s'en sortir, etc. Enfin, disons que j'essayais de faire ce que j'aurais aimé qu'on fasse pour moi...

Par contre, lui était de plus en plus agité. Je m'inquiétais un peu parce qu'il parlait fort et que dans la chambre d'à coté, il y avait la jumelle blonde son copain et leur petite fille. Et qui sait si c'était pas ses parents de l'autre coté? Non je crois que c'était sa chambre à lui. Enfin, bref, je m'inqui`tais du raffut qu'il menait.

On était tous les 2 plus ou moins allongés, chacun de son coté, et comme je ne répondais pas à ses "viens!", il a entrepris de se rapporocher lui même. Du coup, je me suis retrouvée coincée au bord du lit, à la limite du vide. Et là commence la partie pénible... Il commence à dire qu'il a besoin d'affection, etc. Comme si j'avais pas vu venir le truc tiens! Parce que visiblement il compte sur moi pour la chose... À partir de là, je l'envoie bouler à chaque tentative suppliante. Je suis ferme mais j'essaie de pas être trop désagréable quand même parce que parfois il a l'air au bord des larmes. Sauf qu'il tente un nouveau truc, quand je le repousse, il se lance à travers et hors du lit jusqu'à percuter le mur juste à coté! Là j'ai remercié je sais pas qui de m'avoir donné la chambre au bout de la rangée! Plusieurs fois il me refait le coup. Du coup, ça m'inquiète, je le fais remonter sur le lit sauf qu'il en profite un peu au passage. Ça recommence quelques fois comme ça, je cède un peu sur 2-3 trucs pas compromettants et pas désagréables du tout (genre un "hug" prolongé) mais, comme il semble pas savoir respecter les limites, je dois rejouer la "méchante" et paf, il se jette contre le mur! Je sais plus si je lui ai dit tel quel que je trouvais la situation glauque au possible, que ça se voyait qu'il voulait compenser par rapport au bonheur de ses soeurs (une qui se marie, l'autre qui a une petite famille parfaite, la 3ème qui va pas tarder en avoir une car enceinte jusqu'aux yeux) et que là, j'étais là, mais que de mon coté, je ne pouvais pas du tout imaginer les choses de cette façon. Enfin jusque là... Parce qu'après je me suis demandée si toute sa famille n'avait pas été là et si j'avais pas eu mes règles, je n'aurais pas cédé en me disant que c'était peut-être ce que je pouvais faire de mieux (!) pour l'aider... Aaaargh!

Et ça continue, encore et encore!

Oh la la! Quelle soirée enfin quelle nuit! Je menace de le foutre à la porte (en ayant peur qu'il gueule comme un putois à la sortie et que tout le monde profite du spectacle)... Bref, je me demande comment ça va se terminer.Ah oui, boutte du boutte, à un moment il reste tranquille, j'avais probablement fermé les yeux en espérant qu'il dorme (mais en flippant un peu à l'idée qu'il sorte de ma chambre le lendemain devant toute la famille réunie)...  j'ouvre les yeux, je sais plus pourquoi et je vois, ô horreur, qu'en gros il est à poil, et voyant que ça y est, j'émerge, semble avoir l'impression de me faire suivre le même "cheminement"! Aaaaaaaaaargh! Là, je le fais se rhabiller fissa (probablement avec quelques ruades dans le mur, hein, ce serait pas drôle sinon)... on peut pas dire que ça me dispose mieux à son égard (rien à voir à l'équipement de l'individu, dont je n'ai gardé aucun souvenir, ni bon ni mauvais, mais tout est dans la présentation...)...

Tout ce que je sais c'est qu'il est 5 heures du mat' quand il se calme, par lassitude je pense, je me souviens pas d'un truc particulier... Il va aux chiottes (je lui demande de pas faire de bruit parce que sa soeur est à coté, je suis vraiment la rabat-joie de service!), me demande s'il peut me faire la bise et évidemment tente la pelle plus pour la forme qu'autre chose (mais j'étais sur mes gardes), il me dit qu'il voudrait rentrer avec moi à Montréal (on était à 2h30 de Montréal) plutôt qu'avec papa-maman, je dis ok (je suis trop b(c?)onne) mais je lui dis que je pars à telle heure parce que je veux rentrer assez tôt pour regarder la finale de la Coupe du monde, j'avais rendez-vous avec des amis, que donc faut qu'il soit là.

Il n'y était pas... J'ai pas voulu aller frapper comme j'étais pas sûre de sa chambre. J'ai dit bye à la jumelle blonde et sa soeurette ainsi que leurs cortèges respectifs. MAis j'étais embêtée... j'aurais bien aimé m'assurer que tout allait bien.

Le lendemain, j'ai appelé la jumelle blonde avec l'intention de demander subtilement le numéro de son frérot. Je sais plus trop quelle était ma stratégie mais j'ai pas réussi... J'aurais pu demander franco, mais j'avais pas envie d'avoir à donner des explications...

Pendant quelque temps, j'ai un peu culpabilisé... enfin je me suis sentie mal, même si j'allais quand même pas coucher avec lui juste pour lui remonter le moral (surtout que je pense que l'effet aurait été très temporaire). Je me suis demandée pendant pas mal de temps ce que j'aurais du faire... Même que je me suis dit qu'il pouvait être un "projet" intéressant et valorisant (?!?!?) justifiant que je donne de ma personne. Mouais bon, hein! J'étais dans une passe un peu zarbi aussi faut dire, ça faisait un mois ou 2 que celui d'avant bfc (me rappelle jamais comment je l'appelle) et moi avions rompu (pour une avant-dernière fois) alors que juste avant, il voulait qu'on (enfin moi quoi) oublie la pilule (chose qui fût faite, plus par lassitude que par vraie volonté, heureusement que ça n'a rien donné!) et me faire un bébé (admirons la cohérence!). Bref j'étais soulagée! Quelques mois plus tard, je rencontrais bfc, qui m'a donné indirectement l'impulsion de la rupture définitive tellement je me suis bien amusée avec lui pendant ses 5 semaines à Montréal... Vous imaginez, si j'avais entrepris le projet PB, je serais peut-être la belle-soeur des jumelles blonde et brune (arf!), j'aurais peut-être jamais vu bfc ou en tout cas, l'effet n'aurait été le même, et on se serait jamais "rencontré" vous et moi!

Bref pas de news jusqu'à ce qu'il s'inscrive brièvement sur FB. Et qu'il me mette hyper mal à l'aise (oui parce que là le projet "PB" me parlait beaucoup moins, même si j'ai bien senti qu'il y avait toujours moyen) en me disant qu'il y avait du "unfinished business" entre nous... genre on allait reprendre où on avait laissé, c'est ça??? Puis en étant ultra bizarre pour d'autres trucs... Ce qui fait que je lui ai plus ou moins posé un lapin et ignorer ses appels jusqu'à ce qu'il se désinscrive de FB... et là, no news du tout...

03:02 Publié dans Aimant à tarés je suis?, Flashbacks, Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (0) | |

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