De l'art du grattoir...

Déstockage à l'approche des 4000 notes!

Pas très de saison, celle ci ayant été écrite le 10 décembre 2008, juste après ou pendant une des premières tempêtes de neige de l'hiver montréalais je suppose , quand on a oublié à quel point ça pouvait être long et pénible de dégivrer une voiture et que les biceps protestent intensément mais pas grave, faut bien la déplacer cette voiture!

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J'avais l'impression d'avoir déjà abordé ce sujet jouissif du grattage de la glace sur un beau pare-brise lisse (si on l'a pas explosé à coups de massue en voulant essayer d'entamer la couche de verglas au préalable), et en effet, c'est ici, dans le temps où tout était pour le mieux dans ma vie, à part les chutes récurrentes de neige et de glace! et que finalement je me plaignais mais je voyais pas que j'avais le ventre plein... figurativement parlant bien sûr!

Vous qui vivez sous des latitudes plus clémentes, vous n'avez peut-être jamais connu la joie, le bonheur, l'orgasme soyons fou, d'arriver à péter une couche de glace d'un ou 2 centimètres d'épaisseur qui l'instant d'avant vous narguait de sa perfection transparente et givrée... Grand moment! Mais vous ne savez sans doute pas utiliser le grattoir pour rendre des effets semblables à ceux d'Edward Scissorhands quand il sculpte un bloc de glace, de neige, de feuilles de je sais pas quoi, de poils canins ou de cheveux (féminins seulement, zavez remarqué?)! Et bien vous savez pas ce que vous ratez (ou pas)!