lundi, 20 avril 2009
Prise à la gorge!!!
Et pas seulement parce que je tousse caverneux de quoi rendre jalouse une corne de brume (je pense à quelque chose de spécifique mais je sais pas si c'est le terme consacré)!
Au moins j'ai bien dormi cette nuit enfin tout est relatif, je veux dire que je n'ai pas eu mal au dos ou presque car j'ai dormi sur mon futon en position canapé (mon futon, pas moi...) (quoique ça pourrait être évocateur...) (évocateur de quoi, c'est un autre problème!) donc pas moyen de dormir sur le ventre comme j'ai tendance à faire, bref donc pas mal au dos. Ceci est peut-être de l'ordre du placebo mais tant que ça marche je me plaindrai pas. Par contre, vu le grand soleil d'hier, chez moi c'était le sauna, probablement bon pour les bronches mais avec l'action conjuguée de la fièvre, on passe très facilement du glaçon grelottant (alors qu'il fait +25 chez moi!) au réveil en nage because je suis allée chercher ma couette parce que plus tôt je gelais! Vous me suivez? En tout cas, BFC qui se plaignait de sentir les vibrations (il a jamais entendu parler des "good vibrations" lui visiblement) du passage des camions quand il dormait (tout seul) sur mon futon, là il n'aurait plus de raison de râler (et donc non plus de chercher à quitter cet enfer vibrant (et vibrillonant) et de se taper ma proximité la plus proche sous le prétexte futile et fallacieux que j'en mourrais d'envie (alors que pas du tout! J'étais très très loin du décès je vous signale!!! Franchement, pour tout vous dire et ce, sans mesquinerie aucune de ma part (mesquine moi?), j'avais déjà vécu plus transcendant sur certains plans (oui oui on parle bien de ce que vous pensez) (là, on va resituer, on parle de l'automne 2007, parce qu'étonnament c'est la seule chose qui est allée en crescendo pendant les vacances de Noël suivantes, j'aimerais bien comprendre comment, vu que visiblement pour lui ce fut l'enfer (à moins qu'on puisse rapprocher du syndrome du cheval qui sent l'écurie toute proche (et donc la libération) (délivrance me parait un peu ambigue...)) (ça doit être pour ça que j'ai eu du mal à m'en remettre!) (si j'aurais su je ne l'aurais pas "éperonné" dans la bonne direction!) ce qui nous aurait éviter le psychodrame sans fin qui suivit (et sans doute aussi la création de ce blog... Finalement, tout ça pour en arriver là, les chemins de mon subconscient sont bien tortueux (mais bon je suis moyennement surprise de le constater, une fois de plus))
Bon je sais plus moi-même où j'en suis point de vue parenthèses, j'ai pas le temps de me relire (j'ose à peine imaginer ce que vous allez piger!) donc tout ça pour dire que si j'avais acheté mon nouveau matelas de futon avant septembre 2007, il n'y aurait probablement jamais eu de "saga du germain", ça m'aura pris un an et demi avant de le réaliser! (quoique échapper aux tortures camionneuses de mon futon n'explique pas la parenthèse enchanté de l'automne 2007) (à moins qu'on rajoute à l'équation le fait que j'écris des emails fort distrayants) (si si croyez moi) (j'ai au moins 2 témoins que vous "connaissez", BFC, of course, et le birman, à qui la lecture intégrale de mes oeuvres bloguesques a rappelé mes emails (petit moment nostalgique qui passe!) ) (pour peu qu'il y ait un minimum de répondant de l'autre coté, sinon j'avoue, je me lasse) (tout de même, il y a des limites au masochisme) (c'est bien pour ça que j'ai pas l'inspiration pour lui écrire, encore gaspiller ma prose (qui parfois rime en prime) (la preuve) pour ça (ou pire, le néant), bref en pure perte, j'avoue, ça finit par tomber sur les nerfs)
Certains personnages de mauvaise foi pourrait arguer qu'écrire un blog c'est pareil mais que nenni, because savoir qu'on est lue, ne serait-ce que par une seule autre personne, ça élimine le néant! Et étonnament, dès le jour 1, il y eut au moins une personne, sinon un peu plus, miracle que je ne m'explique pas complètement! Donc la solution que BFC proposait pour que je respecte son "intimité" (au sens figuré) (menfin au sens propre peut-être aussi qui sait?) (enfin sans doute) (mais je ne mange pas de ce pain là) (surtout parce qu'il n'y a rien à en dire de particulier, ni en bien, ni en mal) (enfin juste un peu en bien, mais j'ai pas envie!) c'était que je mette le tout en mode "privé" donc en gros que je sois ma seule lectrice. Là j'ai dit "no f.... way" (j'ai pas dit comme ça mais je l'ai pensé), autant m'offrir un journal et une plume tant qu'on y est. On vit au 21ème siècle, petit père (et là on ne peut pas dire que j'attaque son intimité!)! Moi je lui ai jamais interdit d'écrire quoi que ce soit sur moi... (bien franchement je vois pas trop cequ'il pourrait dire de mauvais sur moi, à part que je suis trop (conne) gentille et que parfois je parle beaucoup (mais là aussi j'aime bien qu'on me réponde)... Bon aussi que, l'air de rien, je sais provoquer si besoin est, et mettre le doigt où ça fait mal et que je peux même être un chouia caractérielle... même par email! Du coup je pense que que quelque part dans mon email ultime je positionnerais habilement un bon vieux "assh0le" bien placé qui pourrai même résumer en un mot ce qui me prendra pas mal trop de temps à écrire. Alors en effet, soit je l'écrirai en toutes lettres, soit je compterai sur son intelligence relative pour lire entre les lignes, lui si avide de signes. Maintenant que j'y pense, une acrostiche pourrait être "élégante", non?
Ouais bon revenons à nos moutons, ce que je voulais dire c'est que je suis prise à la gorge par le boulot divers et varié qui me tombe dessus et que je viens de passer xx minutes (je tape vite, ouf!) à divaguer sur un thème éculé alors que ce n'était pas prévu du tout...
Faut que je trouve comment imprimer mes dessins maintenant (argh et je recommence à avoir mal au dos!) (et c'est malin j'ai les oreilles bouchées maintenant!)!
Ah sinon ce matin, on m'a ecore fait une réflexion sur mon anglais pas trop mauvais, sous prétexte que je suis française, on s'attend à ce que je parle telle une vache espagnole, étrangement! Alors que je parle bien mieux que la grande majorité, le tout dit en toute modestie. Faut bien que 4 ans et demi dans l'une des plus prestigieuses universités anglophones en Amérique du Nord, fort heureusement située à Montréal, rapportent un peu, parce que j'en ai bien bavé les 6 premiers mois!!!
PS. Je viens d'y repenser et il y en a marre de la nostalgie avec un petit goût de "revenez-y"! Prochaine fois que je suis dans une de ces périodes à fort potentiel nostalgique, je la presse comme un citron jusqu'à ce qu'il n'en reste rien ou encore je la consumme à fond et je souffle sur les cendres encore chaudes pour les disperser. Là au moins je ne pourrais pas me dire "ah mais si je faisais ci, ou ça!". Niet, si j'ai pas carpe diem de la chose comme j'aurais du, je ne pourrai m'en prendre qu'à moi!!!!!!!!!! Attila, tiens-toi bien! Presso arrive ;-)
23:02 Publié dans Mes "chers" collègues, tout un poème | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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