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lundi, 19 octobre 2009

Impitoyable

Ça a l'air que (dites moi, c'est du québécois, ça, non?) je suis une impitoyable coupeuse de vide0, on avait 6 minutes 38 et on a réduit ça paf, à 4 minutes 48, et j'aurais bien continué en plus, le tout malgré le manque d'aide absolu par le 9/10 et le erre-hache mais bon ça c'est un autre sujet, eux ils voient ça "argent" et nous ben "sécurithé" c'est clair qu'on peut pas s'entendre... Mais bon, on va y arriver! Le video avec la zik et tout est vraiment chouette!

Sinon j'ai pas encore fait mon appel... Je dois le faire dans la prochaine heure parce qu'à deux heures quarante-cinq ben on fête le "jub1lé" d'un opérateur qui a c1nquante années de service! 50!!! Vous y croyez, vous? Déjà pour moi, rester 3 ans au même endroit tenait du miracle alors 50, on en parle même pas. Je prierais pour qu'on m'achève!

Tiens d'ailleurs parlant de ça, je discutais avec la niçoise hier de mon plan... Et là je sais pas trop quand commencer l'attaque car si je me lance trop tôt, et que ça marche, ben je vais être prise de court dans ma planif mentale qui verrait bien mars comme objectif... Mais rien ne dit non plus que ça marchera illico (ou tout court!) (au secours)... Alors si je m'y prend trop tard ben là ça va retarder mon truc, après je vais me chercher des excuses tout ça... Je me connais un peu (si peu!) quand même! Ça fait 2-3 ans que je "brette", dans le sens de lambiner, vous pensez que moi aussi je peux l'atteindre le jub1lé pour ça, non?

Bref, du coup, je stresse, je me fais des cheveux blancs, je me teins, je stresse encore et ainsi de suite... On va pas s'en sortir. J'ai envie de me fixer une date d'expiration, du genre si à telle date j'ai rien fait, je fais une croix définitive, mais là je vais ressentir une auto-pression qui sera probablement plus contre-productive qu'autre chose.

Aaaaaaaaaah! En fait, la faille de mon plan est claire : il repose implicitement sur le besoin d'avoir quelqu'un qui me pousse (ou me tire, selon la localisation) dans la bonne direction... Et ceux que je connais qui pourraient pousser n'en ont pas trop envie... parce qu'ils veulenet "me garder", même l'homme marié, quoiqu'il en dise, d'ailleurs je pense que sa campagne "ton appart est formidâââââble" en est une preuve éclantante, à part peut-être la niçoise pour ensuite pouvoir compter sur mon "tirage". Et ceux qui auraient pu avoir la volonté de me tirer, euh oui, ça sonne bizarre, de me hisser peut-être, ben n'en feront rien, car soit c'est trop de dérangement, soit ils n'en ont jamais eu envie, soit ils n'en n'ont plus envie. Bref ceux là font tout pour me décourager, sous couvert de réalisme bien sûr, ça "enrobe" les choses.

Donc, je suis seule avec moi même... et pas sûre du tout que j'ai envie de me pousser ou me hisser par la force de mes faibles bras... (ouais d'ailleurs je vais recommencer l'exercice parce que là je suis faible et molle de partout, berk!, c'est pas du tout le bon état d'esprit! Enfin de partout, du devant surtout je trouve... parce que sinon je trouve que mon verso est pas pire!) (envie de recommencer la natation... mais faudrait que je m'achète un maillot une pièce, je vais pas y aller en bikini tout juste bon à aguicher le toulonnais mais pas nécessairement à contenir mes seins pendant un crawl endiablé (je le sais, je l'ai testé à Toulon justement, parce que moi sur la plage je lis, mais dans l'eau, je crawle) (remarquez c'est peut-être ça qui "pogne" avec le toulonnais)!) Mouais, dur dur la vie, on est toujours tout seul et en plus on est jamais si bien servie que par soi-même. Méga-crise d'individualisme échevelé à venir je sens et qui consiste à envoyer bouler tout le monde tout en me morfondant dans mon coin en me disant que personne ne m'aime! Oui je sais, on peut admirer l'implacable cohérence de ma stratégie!!! Ou alors faut que je me trouve un treuil (à voir métaphoriquement) pour me hisser à bord sans trop de douleur mais quelques efforts tout de même...

Oui, enfin, je sais pas si vous êtres d'accord, là on dirait que je fais durer le plaisir, pour pas passer mon foutu coup de fil, non? Oui, moi aussi!

20:02 Publié dans Mes "chers" collègues, tout un poème | Lien permanent | Commentaires (0) | |

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