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vendredi, 23 octobre 2009

L'art de s'auto-plomber le moral...

Ouais là, allez savoir pourquoi, je me suis plongée dans les notes que j'avais écrites suite à l'envoi de mon email du samedi à bfc qui répondait à l'époque au "doux" nom de "le germain" (ouais bon hein)... Du début mars à la mi-avril 2008...

C'est marrant parce que tout ça était écrit à chaud et que je vois très clairement que je comprends pas du tout où il veut en venir (plus clair que ça, tu meurs!) et où j'essaie de m'auto-persuader que le fait qu'il fasse durer le processus soit bon signe... En même temps, j'y repense et je comprends pas comment il a pu me faire languir comme ça??? Avec du chaud, avec du froid... Certes le chaud n'était pas très chaud et le froid, glacial par moments avec une touche d'amical par dessus... Moi j'aurais jamais fait ça! OK, j'aurais peut-être un peu tergiversé au début si ça se passait en personne ou pire, au téléphone... Mais par email j'aurais cherché comment ne pas créer d'illusions justement! Avec des termes qui ne peuvent pas prêter à confusion...

Genre ce que j'ai fait avec le birman... J'avais pas le courage de lui tirer complètement le tapis de sous les pieds certes, ce qui devait le laissait implicitement espérer quelque chose de pas tout à fait définitif., mais je ne lui ai jamais laissé entrevoir autre chose. La preuve, quand je le remettais sur les rails, il pétait une crise! Chose que bfc n'a jamais faite... même quand il me décourageait un peu il gardait un truc positif! Je sais pas comment décrire le truc autre que c'est juste un trouillard qui pense en définitive qu'à sa gueule même s'il veut faire croire autre chose!

Bref, quand même encore, ça me fait de la peine en même temps que ça me fout en pétard!!! C'est quoi en fait? Il ne m'appréciait même pas assez pour essayer de pas me faire trop souffrir??? Parce que la valse hésitation causée par ses commentaires, ça m'a vraiment tuée, pendant un bon mois clairement, et plus encore. Là, la preuve, je suis maso, je relis le tout, et ça me fait encore mal (mais moins) (sauf si je me remets dans la situation) (disons que depuis, je me "console" en me disant qu'il en avait rien à foutre de moi depuis le début et pis c'est tout (connard!), qu'est-ce que j'y pouvais? J'ai pris ce que ce que je pouvais (pas grand chose, hein, quelques bons souvenirs un peu gâchés, c'est tout!)!!!

Bon allez je me casse, je vais noyer ma peine, j'ai un (autre) cinqàsept directorial du grand kapital...

22:52 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...) | Lien permanent | Commentaires (0) | |

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