Sous le coude (nooooooon!)

Oh la la, je suis en verve aujourd'hui, nan? Ça fait changement, pas vrai!!!

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Moi les malheurs, je les réserve pour la veille du vendredi 13, le jeudi 12 me terrifie! La preuve hier je me suis fracassée sauvagement (encore!) (en mode violence gratuite je suis) (on se demandera pas pourquoi) (on se demandera pas ce que j'ai envie d'exulter non plus) (ou qui j'ai envie expulser/exploser?) le coude sur le frigo (ça faisait longtemps qu'on en avait pas causé de ces machines infernales) parental. VA savoir pourquoi. Bien la première fois que ça arrive... Surtout comme ça, gracieusement, au sortir d'une pirouette élégante sur le seuil de la cuisne. Et oui parfois je me mets à faire du balai enfin du ballet sans prévenir. Ce qui perturbe l'extérieur et moi même vu que je n'ai aucun rudimenten la matière. À part le grand plié. AH mais on imagine pas les utilités multiples du grand plié... et en toutes circonstances! J'en ai qu'une seule en tête actuellement mais bon.

Bref là je contemplais mon coude en me disant "ah mais quelle comédienne, il n'y a rien du tout!"... jusqu'à ce que je réalise que ce que je prenais pour l'ombre du creux de mon coude était réellement un bleu (fort douloureux en plus), c'est pour ça que mon coude a une drôle de tête. Le creux, le vrai, il est plus loin! Faut dire aussi que je suis incapable de contempler un coude plus d'un quart de seconde sans souffrance cervicale atroce... et ce n'est pas parce que je manque désespérément de souplesse, non non. Mais plutôt la conséquence d'un cours de bio en quatrième. Où on faisait les os. Et où ma prof adorée (même si elle m'a pincée en train de donner des réponses de maths à une fille) (of course moi j'aurais jamais osé demander des réponses!) (Et j'aurais jamais osé dire "va te faire foutre, chacune sa merde!") (une gourde triple) nous a parlé du coude qui était en fait un os qui saillait. Depuis je ne peux m'empêcher de visualiser cet os qui a envie de se faire la malle de son enveloppe de peau... Et berk quoi!!! Tu y est tu y restes et moi je te regarde plus, na! Ou alors ça me fait mal à l'estomac (véridique, il se tord à la vue de cette horreur) et me fait détourner les yeux le plus vite possible (d'où possibilité de torticolis!!! Ce n'est pas toujours drôle d'être moi... menfin si quand même, quand je raconte ce genre de truc c'est l'éclaaaate totale! J'adore passer pour un peu désaxée!!!

Et là, en plus ben j'ai mal mais même un massage c'est de la torture psychique...

Je vous parle pas du moment où un sale pervers psychopathe voulait me lécher le coude, j'ai beau avoir les idées larges, là c'est vraiment dépasser les bornes! J'ai tenté une diversion inavouable mais infaillible (heureusement que les hommes sont des petites choses extrêmement faciles à manipuler quand on les a sous (le coude) (la dent) la main, il a rien vu venir!) avec un succès immense au point même qu'il en redemandait! Nan mais ça va pas? J'ai aucun intérêt à dispenser à qui mieux mieux certaines faveurs, après on s'habitue et on s'attend à... on banalise! Alors que maintenant que je connais l'effet Coolidge, ça me confirme d'autant plus l'avantage concurrentiel à maintenir l'effet de surprise perpétuel (ou alors à "donner au suivant") (joke québécoise)!!!

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Je pense que mes bouffées type délirium tremens sans alcool ont une origine très précise... C'est grave messieurs dames, faudrait faire quelque chose au plus vite...

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C'est terrible là, je m'écouterais, j'écrirais ici toute la journée!!!

Le vendredi 13 m'inspire...