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vendredi, 27 novembre 2009

Continuité

Pour poursuivre dans la veine sad0-MAS0 que je semble tant affectionner, ça se propage même du coté du CM!
Tout à l'heure, il m'a dit en gros qu'une douleur bien appliqué pouvait faire un grand bien... Euh...


Nous avons causé aussi (good) vibrat1ons téléphoniques...
Mazette, c'est moi ou ça s'échauffe encore (si c'est possible?) entre le CM et moi??? (Quoique les histoires d'acc0uchement de l'autre fois m'aient beaucoup refroidie) (c'est là qu'on voit aussi la profondeur de mes convictions même lorsqu'annoncées en grande pompe (et livrées en pâture à bfc) (je sais même plus si on avait parlé de choses du genre avec lui... pas nécessairement pour "nous", hein, juste en général! Non, en fait, je suis pas mal sûre que non... c'est pour ça que j'avais eu moins de scrupules à le mettre devant le fait accompli à un certain moment)

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Mouais et puis là je viens d'écrire à qui de droit qu'il avait même le droit de commenter chez moi...
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Sauf que bon ça me rappelle un des trucs qui m'a le plus menée en bateau dans la rupture bfcienne tournant autour de mon "email du samedi"...

Je rappelle les faits rapido presto : mars 2008, je lui envoie finalement un email fleuve qui date d'un mois plus tôt où je lui fais ni plus ni moins qu'une déclaration très délayée. Il "commente" les choses sur 2 semaines avec le clou dans le cercueil en bout de ligne. Moi, dans ce temps là, ben je ne vivais plus qu'en m'accrochant aux trucs positifs (et en m'écroulant pour le négatif) (et finalement m'effondrant quoi!).

À un moment donné, un autre samedi où je revenais de je sais plus où, j'étais joyeuse parce que j'avais passé une bonne soirée, du coup, je lui avais fait un autre email du samedi (ârce que la première chose que je faisais en rentrant chez moi c'était toujours de lui écrire) bien délirant et imbibé en revenant, et il m'avait dit en gros qu'il adorait mes emails du samedi. Ce que j'avais pris comme très positif (je vois pas comment je pouvais le voir autrement) alors que non, pas du tout, c'était juste qu'il les trouvait drôles et distrayants et basta, c'est tout quoi... Ça je dois dire que j'ai trouvé ça hyper cruel de sa part a posteriori... Pourquoi me dire ça en pleine crise alors que j'étais à l'affût du moindre encouragement???

Et c'est là que je réalise encore un peu plus qu'il s'est amusé avec moi comme un gamin jouerait avec un chien ou un jouet sans penser une seule seconde à mes sentiments ou à moi en tant que moi!
L'avantage de ressaser ce genre de trucs (au cas où certains lecteurs ne le réalisent, suivez mon regard!) c'est que ça me pousse un peu plus dans l'acceptation du fait qu'il porte si bien le c de bfc que même il mériterait une majuscule : bfC!!!

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Argh, sinon, galuch' (je crois), tu as copié du texte chez moi et, argh (les mots me manquent), parce que si l'intéressé voyait ça!!! Heureusement ça donne une indication globale mais pas précise du tout (j'ai vérifié, tu penses bien!)... Tu es trop rusé ;-) (menfin en même temps, j'aurais rien dit, je ne pense pas que tu aurais "cliqué", c'est le cas de le dire)



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