mardi, 16 mars 2010
Ouf!
Pour 2 choses :
- J'ai enfin réussi à ouvrir ma porte de balcon!
- J'ai lu le mail et on me demande où je veux habiter, combien j'ai de mètres cubes et quand je veux arriver!
Je respire mieux (pour les 2 trucs, parce que je peux enfin aérer pas mal et parce qu'on dirait qu'ils ne vont pas me laisser choir comme une vieille chaussette sur les bords du Léman)!
Et en plus, il fait beau et chaud (pour la saison)!
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Bon, par contre, maintenant, il s'agit de compter mes mètres cubes, comment qu'on fait ça???
(Oh je trouve ça beau d'entendre les gens chanter La montagne aux obsèques de Jean Ferrat)
23:32 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...) | Lien permanent | Commentaires (16) | 
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Commentaires
Pour le cubage, fais venir un déménageur pour te faire un devis. Tu connaîtras ainsi le volume sans te casser les pieds à l’évaluer toi-même...
Où habiter ? Tu n'as pas déjà fait de repérage ?
Bon, ça progresse.
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireAu fait, n'oublie pas de passer un coup de râpe sur ta menuiserie pendant qu'elle s'ouvre. Une autre solution consiste à frotter les endroits qui forment un point dur avec du savon de Marse1lle (ou de T0ul0n...) : c'est très efficace pour faciliter les glissements (et c'est valable aussi pour les tiroirs, etc.).
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireJ'ai fait quelques estimés avec des outils sur le web, ça donne un idée au moins...
Ah si j'ai fait du repérage, mais je sais pas, ils veulent m'aider pour ça???
Oui, ça progresse, je suis contente! Non parce que sinon, mon beau plan s'écroulait comme un chateua de cartes, argh!
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireC'est pas bête le coup du savon, j'y pense pour les vis et trucs comme ça mais j'y aurais pas pensé pour ma porte. Ça va pas faire des bulles sous la pluie? ;-)
Je pensais au limage (enfin moi j'allais direct au rabot) mais je n'ai ni lime (à part à ongles) (et germaine) (mais chouette) ni rabot...
Je me demandais s'il y avait pas moyen d'ajuster le tout avec les charnières, sauf que bon je sais pas trop par où commencer!
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireTu peux aussi (selon l'origine du problème) regarder s'il ne suffit pas d'intercaler une rondelle sur les paumelles de telle sorte à rehausser l'ouvrant par rapport au châssis. Ces rondelles sont spécifiques (diamètres int. et ext.) et existent en différentes épaisseurs. Mais tout dépend de l'origine du "coinçage".
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireOuh la, c'est techenique, les paumelles, je sais pas ce que c'est... Va falloir que je cherche!
En fait ça coince dans le coin supérieur du coté opposé à la charnière... Mais je vais m'acheter du savon (j'en ai que du liquide!) et tester ton idée initiale en attendant...
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireL'avantage de vivre dans un lieu classé, c'est que tu apprends une multitude de "petits trucs" permettant de pallier en douceur aux vicissitudes des lieux et des meubles.
Si ça coince en haut, il ne faut donc pas rehausser... Savon, donc, à frotter à sec et déposer ainsi une fine pellicule de ce produit dont nous avons tous besoin au quotidien.
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireAaaaaaaaaaaaaah d'accord c'était pour rehausser! Il faudrait rabaisser en fait...
Mais ouais le savon (j'en ai besoin mais pas de celui là!), je ppense que c'est à tenter avec du limage!
Rien de trop beau pour certains, tu vis dans un lieu classé et moi dans un batiment en bois qui a soufflé ses 3 bougies il y a peu ;-)
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireLieu transmis de génération en génération, du vivant des aînés (parents et grands-parents). C'est ainsi que l'on évite les dissensions entre enfants et que le patrimoine ne "s'évapore" pas. Ensuite, il suffit d'avoir une saine gestion de "père de famille"...
Mais dis-toi aussi que c'est une lourde contrainte que certaines familles ne peuvent assumer, faute de revenus adaptés. Sans compter que tu deviens "dépositaire" d'une partie de l'histoire, du travail de toute une vie de tes ascendants et du regard que peuvent porter les autres branches...
Même si ça se passe bien, rien ne dit que mes enfants pourront s'en acquitter aussi facilement. Un avantage très important (j'en suis bien conscient) et une responsabilité significative.
Mais je ne pleurniche pas, hein.
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireBen oui, c'est chouette, tu as raison de pas pleurnicher. Mais c'est vrai que c'est une responsabilité...
Il y a une super grande et vieille baraque dans le sud ouest du coté de ma tante (c'est dommage qu'ils aient vendu la fabrique de b0uchons de l1ège juste à coté par contre...) et je me souviens d'une discussion avec mes cousins à l'occasion des 75 ans de ma tante où ils se disaient qu'il faudrait s'organiser pour que ça reste dans la famille (moi je suis d'une autre "branche" de la famille donc moins directement concernée même si j'ai des super souvenirs de cette maison!).
Par contre, à Toul0ngue, c'est l'appartement où mes grand-parents habitaient depuis la fin de la guerre ou presque, lui ça me feraitvraiment quelque chose qu'il "parte", même si "on" (enfin mon autre tante depuis 10-15 ans!) est que locataire... Mais ça fait un moment que je me dis que j'aimerais contribuer!!!
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireLes "maisons" qui se transmettent permettent de garder un lieu physique, concret, auquel se rattachent de nombreux souvenirs. Je suis convaincu que ça aide à maintenir du lien entre les différents membres d'une lointaine lignée, surtout que les sinuosités de la vie ont une fâcheuse tendance à la dissémination.
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireEt la dissémination ne va pas en diminuant de nos jours...
Quoique c'est drôle dans ma famille tout le monde gravite autour de Paris (ça va être mes parents qui sont les plus loins... sniiiiiiiiiiif!) alors qu'avant, il y a avait des branches africaines assez bien garnies...
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireAmusant. C'est aussi mon cas, tant côté paternel que maternel. Depuis plus de 150 ans, ça gravite dans 4 arrondissements, avec quelques excursions de villégiatures estivales et hivernales en dehors de la capitale. Raaaaaaah ! Pas vraiment de brassage, dit donc. Bon, j'omets les années passées sur ton continent et l'émigration d'un grand-oncle côté maternel en Nouvelle-Angleterre il y a bien des décennies...
Pas étonnant que je sois snob.
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentairePlus de 150 ans! Wow! J'aime bien le genre d'excursions ;-) Comme ça tu peux chanter "J'suis snob", le comble du chic ;-)
Ah non, dans ma famille, on a maintenant des banlieusards lointains, la teu-hon, mon frere et une de mes tantes à Boulogne, passe encore, et ma petite cousine qui vient d'installer vers Arg*nteuil, je connais de nom mais je serais moins en mesure de situer sur une carte que le Mali ou le Cameroun, argh???
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireArgenteu1l, c'est un peu l'Afr1que...
(AVIS à tous : c'est une blaaaaaague !!!)
Il est l'heure d'aller dormir (pour toi comme pour moi) et je vais donc arrêter là ma prose.
Tout plein de bonnes choses pour ce mercredi, gente dame.
Écrit par : galuchon | mercredi, 17 mars 2010
Répondre à ce commentaireJe suis en train d'écrire à la dame su1sse et je vais au lit. Pour une fois que je t'écoute ;-)
Bon mercredi à toi aussi, gent galuchon!
Écrit par : presso | mercredi, 17 mars 2010
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