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mercredi, 05 mai 2010

On inaugure même si ce n'est pas de saison

Donc inauguration d'une nouvelle catégorie!

Hommage à Montréal en chansons, on va dire...

Alors, ce n'est pas de saison même si le vent m'a caillé les sangs tout à l'heure en rentrant, bon c'était vivifiant, je ne dis pas... Du coup, le titre est très approprié, malgré une petite tendance à être du midi de ma part. Parce que je regrette, le -40, je l'ai déjà vécu, mais avec le facteur vent. Sinon le minimum dont je me souviens, c'est -27, la nuit. Probablement pendant l'horrible hiver 1993-1994... où quand il faisait chaud il faisait -20! Et le vent!!!!!!!!!!! L'horrible vent! Tout ça "grâce" à l'éruption du Pinatubo, je me souviens de l'été vraiement pourri qu'on avait eu en prime, avec en tout et pour tout 4 journées aux alentours de +30. Je m'en souviens parce qu'à l'époque on se précipitait à la "plage" de l'Ile Notre Dame ('tain, j'y étais à l'inauguration) dès que le temps le permettait. Et bien 4 jours en 2 mois et quelque. Misère de misère.

Bref, voila le premier volet de cette catégorie, j'en ai déjà 3-4 exemples en réserve... et euh je pense pas que j'aurais à me forcer pour en trouver d'autres même si c'est pas nécessairement dans le titre...

Alors voila Malaube, made in Montréal, avec une petite contribution de Pierre Lapointe ce qui ne gâte rien, je trouve!

Ils aiment beaucoup casser des guitares, ukulélés ou autre... Quand je les ai vu en live (un des trucs les plus bordéliques que j'ai jamais vu mais pas mal), en une heure, ils en ont cassé 2... Pas trop pigé, j'avoue...

Avec des paroles un peu space :

Montréal -40 par Malajube

Trop pauvre pour les pilules, j'fais la putain pourtant j'suis nul
Et toutes ces choses que j'éjacule
J'cours contre la montre, j'cours mais j'recule

Oh Montréal

T'es tellement froide
Une ours polaire dans l'autobus (jamais vu encore)
J'm'inspire du pire
Pour m'enrichir
Et je t'aime tellement que j'hallucine

Papapapapadapada


J'passe sous silence ton arrogance

Tu gardes le rythme tu m'mets en transe

Papapapapadapada


J'ai c'que j'mérite et quelle jouissance

J'ai c'que j'mérite et quelle jouissance

Papapapapadapada


Ton visage sur mon magazine

Ton palmarès de concubines

Oh Montréal

T'es tellement froide
Une ours polaire dans l'autobus
J'm'inspire du pire
Pour m'enrichir
Et je t'aime tellement que j'hallucine

Papapapapadapada


J'passe sous silence ton arrogance

Tu gardes le rythme tu m'mets en transe

Papapapapadapada


J'ai c'que j'mérite et quelle jouissance

J'ai c'que j'mérite et quelle jouissance

Le chat ronfle et tu parles dans ton sommeil

Et pourtant, je n'arrive pas à fermer l’œil

trompe l'oeil.jpg
Ouais, zarb hein quand même comme couv' de CD...

 

Et, en prime, une petite version live fort sympatoche tournée quelque part à Paris semble t'il... J'aime bien!

J'adore tout particulièrement l'inventivité du percussionniste. Moi, je raffole pas spécialement des guitaristes (sauf celui de Manu Chao et bfc (est-il bien nécessaire de rajouter un lien?)!), mais les batteurs, je kiffe!

03:12 Publié dans Je reviendrai à Montréal, Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | |

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