vendredi, 04 juin 2010
Vous savez quoi?
Je réalise à chaque fois, depuis quelque temps, depuis que la Su1sse, c'est officiel notamment, la frangine ne m'a pas dit un mot sur le sujet "déménagement" etc.
Elle m'a pas dit grand chose tout court, mais quand même.
Je vous parie que le fait que moi-même, je ne lui ai pas dit directement (elle est au courant par ma mère) (elle a même vu les photos de mon appart) va m'être reproché un jour ou l'autre. Ceci expliquant le silence radio complet, en représailles. Ou alors, autre variante, silence justifié parce que me faire une réflexion sur le sujet aurait été de l'hypocrisie, grand argument franginien, vu que ça ne lui apporte rien à elle.
Bref, comme d'hab, je m'en doute, en bout de ligne, tout sera de ma faute une fois de plus...
J'aurais juste apprécié un bon voyage hypocrite, moi, pourtant...
00:36 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...) | Lien permanent | Commentaires (4) | 
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Commentaires
Ou bien elle regrette que tu ne puisses plus t’occuper de sa monture ?
Accorde-lui des circonstances atténuantes. Si j'ai bien compris, son environnement pro n'est pas des plus joyeux avec les réductions d'effectifs qu'elle voit poindre. Généralement, les "rescapés" en souffre aussi (de manière différente, mais c'est un symptôme bien connu des sociologues) car ils se demandent s'ils ne feront pas partie du prochain plan, ils voient leurs périmètres fonctionnels modifiés, ils ont à faire face à de nouveaux collègues et/ou managers, ils ont généralement à prendre en charge tout ou partie du travail des "expulsés". Bref, un environnement pas vraiment euphorisant...
Dans ce cas, la survie prime et les points sur lesquels l'on n’a aucun pouvoir (par ex, le déménagement de sa soeur) sont très éloignés des pensées quotidiennes.
Ne lui fais donc pas de procès d'intention à ce stade.
(C'était le conseil du jour du Papé.)
Écrit par : galuchon | vendredi, 04 juin 2010
Répondre à ce commentaireOu bien elle regrette que tu ne puisses plus t’occuper de sa monture ?
Accorde-lui des circonstances atténuantes. Si j'ai bien compris, son environnement pro n'est pas des plus joyeux avec les réductions d'effectifs qu'elle voit poindre. Généralement, les "rescapés" en souffre aussi (de manière différente, mais c'est un symptôme bien connu des sociologues) car ils se demandent s'ils ne feront pas partie du prochain plan, ils voient leurs périmètres fonctionnels modifiés, ils ont à faire face à de nouveaux collègues et/ou managers, ils ont généralement à prendre en charge tout ou partie du travail des "expulsés". Bref, un environnement pas vraiment euphorisant...
Dans ce cas, la survie prime et les points sur lesquels l'on n’a aucun pouvoir (par ex, le déménagement de sa soeur) sont très éloignés des pensées quotidiennes.
Ne lui fais donc pas de procès d'intention à ce stade.
(C'était le conseil du jour du Papé.)
Écrit par : galuchon | vendredi, 04 juin 2010
Répondre à ce commentaireFaut-il que je le répète une troisième fois ?
Écrit par : galuchon | vendredi, 04 juin 2010
Répondre à ce commentaireSi je comprends bien, tu crois que je suis sourde, enfin aveugle?
Ainsi donc la survie empêcherait de dire 3 mots ou même d'accuser réception, dur dur! C'est vrai que, quand moi j'étais au chômage, elle m'avait dit en gros que j'exagérais de mal le vivre... Oh et puis, ai-je précisé qu'elle était à Spl1t avec certes pas mal de boulot mais aussi des balades dans les iles, etc.
Donc, je suis nettement moins indulgente que toi, j'avoue, et que donc ça passe pas hyper bien (du tout).
Écrit par : presso | vendredi, 04 juin 2010
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