Nostalgie trompeuse

Bon j'ai annulé avec le correspondant sous un prétexte bidon. Non, pas à cause du ratatiré, j'étais fatiguée et j'avais envie de passer une soirée tranquille (à me faire un peu plus belle pour demain mais chuuuuuuut!)...

Je suis tombée sur Speed... Révélateur de 2 grands "talents" holliwoodiens, j'ai nommé Keanu pre-Matrix (mais pas pre-expression monocorde et tone) et Sandra B. qui afait plus parler d'elle pour son mari volage que pour son Oscar et ça, faut le faire)... Et que j'avais vu (et apprécié en plus, quelle horreur... Je viens de vérifier, j'avais quand même 20 ans, argh, je peux pas prétexter les 13 ans à peine entamés quand j'ai tanné mes parents en leur disant que "Classe vacances" était génial!) au cinoche dans le temps. On se demandera bien pourquoi. C'Est franchement nul... Plus encore que j'aurais imaginé. Les rebondissements à la noix, le méchant mégalo débile, l'intensité "dramatique" de la fin où on se demande si l'héroîne, girl next dorr typique va devoir se sacrifier sur l'autel de Keanu le "magnifique" (Dans Point Break... quand même...) et si lui, va se laisser mourir dans d'atroces souffrances pour elle, salopard.

Ouais en fait, non, je me demande rien.

Je zappe et pis c'est tout!