jeudi, 24 mars 2011
On inspire, on expire (par le nez)
Mais je peux pas, il est bouché par la moutarde qui monte!
Oh toujours pour les mêmes raisons! À 3 heures du mat, ok, le reste du temps, pas apparemment.
Je réfléchissais au bilan de l'expérience et ben, c'est triste à dire mais même avant vendredi, c'était pas reluisant :
- combien de moments d'impatience extrême de ma part??? Alors c'est clair, ça me prend pas grand chose mais c'est révélateur! En ce moment, dans le train je dois tirer une gueule qui fait peur!
- combien de pleurs?
- combien de questions non résolues?
- combien de doutes sur TOUT?
- combien de frustrations?
- combien de mails non répondus?
- combien de sms restés en suspens?
- combien de francs que je n'ai pas pour le moment?
De l'autre coté :
- arrondissons largement pour dire 5-6 fois 24 heures très sympathiques
- des échanges virtuels très agréables et très rassurants (pile ce qu'il me fallait) (mais là c'est l'inverse
- un genre de carillon que j'ai mis à un endroit où ça sonne pas trop
- le cd de REM
- des bons repas (mais qui manquent de légumes)
- des moments vraiment chouettes dans le Vala1s, aux ba1ns
Mais je trouve de moins en moins que ça vaut le coût (et je parle pas des francs!), j'en ai jusque là d'avoir l'impression de faire la gueule tout le temps! Je sens que, si prochaine discussion il y a (pas à 3 heures du mat! Pas foutu de dire autre chose à une heure plus raisonnable, bien sûr!), elle va mal se passer et qu'il va pas aimer et/ou s'y attendre, c'est bizarre!
Non parce que là j'en ai plus que par dessus la tête... de me sentir en colère ET seule! Je me contenterai largement d'un seul sur 2...
20:12 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...), Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (2) | 
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Commentaires
mange des moules-frites (me demande pas pourquoi, je fais une pause au labo et je pense à ça)- au fait, vrai progrès (au singulier)... quand tu es en colère tu sembles plus lucide ;D (pète lui un tibia cette fois, il aura une bonne raison de jouer la grande scène du final, enfin toi tu fais rien c'est l'escalier qui joue au pervers, par exemple).
En fait je ne supporte pas les gens souffreteux dont le seul plaisir dans la vie est de culpabiliser par la douleur et la maladie, régulièrement imaginaire ou présente chez d'autres.
Écrit par : massili | jeudi, 24 mars 2011
Répondre à ce commentaireah ben je devais manger des moules-frites hier justement mais je me suis décommandée vu que je me sens encore un peu zarb de l'estomac...
Si ça se trouve le tibia est déjà pété...
Mais en effet, j'ai envie un peu beaucoup de le frapper! Là ce qui me fâche le plus c'est qu'il semble même pas trouver nécessaire de m'expliquer! Si ça se passe pas aujourd'hui, je pe nse que ça se fera jamais parce qu'il me gâchera pas mon week-end bordel!
Écrit par : presso | jeudi, 24 mars 2011
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