mercredi, 24 août 2011
Cette fois...
Je crois que j'ai rien oublié. Ni mon réveil, ni mon abonnement général (chance de cocue (argh) hier, pas contrôlée une seule fois en 4 trains!), ni mon badge, ni mon lassi!
Sinon ce week-wnd, ya meilleure amie qui vient. Normalement elle devrait rencontrer le jspq. Et son chien. Que je recueillerai peut-être en septembre d'ailleurs. J'aimerais bien avoir son avis sur le bonhomme. Elle risque d'être un peu surprise par le genre, je crois. Après le propret bfc, je passe au tatoué piercé rasé bizarrement. Sans transition. Parce que bon l'hm était aussi plutôt du genre propret à première vue. Même un peu chic. En extérieur seulement parce qu'il avait tendance pas mal à se balader en calebard (peu seyant) chez moi, rappelons nous.
Mais bon en même temps, le jspq est d'une politesse exquise, c'est impressionant. Il a pas mal squatté mon balcon quand on était chez moi et il disait un charmant "bien le bonjour" enjoué à tous ceux qui passaient dessous. Lesquels devaient être un peu surpris. Parce que moi je leur dis rien. Sauf quand je tombe sur eux face à face. Je suis sûre qu'il doit manquer à mes voisins tiens.
Mais je doute quand même. D'ailleurs, je vais chez lui ce soir. Et on va devoir discuter de 2-3 trucs qui vont pas lui plaire. Mais j'ai besoin de "certitudes" (si jamais ça existe) avant de faire un truc. Parce que suivant les jours (et les nuits), j'interprète les choses soit noires, soit blanches. Bon, grises aussi pas mal. Et non, je dirais pas que je suis amoureuse de lui, je pense pas, même s'il ne faudrait sans doute pas grand chose. Je suis plutôt fascinée...
Non franchement, il est très intriguant! Par son parcours, pas banal (on en a causé plusieurs fois dans les derniers jours et, c'est plutôt instructif même si certains trucs me laissent perplexe). Par sa personnalité. Oh la la, pendant la crise canine, on a beaucoup pleuré. Lui comme moi. Le 15 août n'a pas été rigolo vu qu'après 4-5 jours de vomissements/traitements anti-vomissements, le toutou ne bouffait toujours rien, buvait comme un trou mais recrachait et était apathique au possible. Le veto était perplexe et super pessimiste! Il nous a envoyé à l'hopital spécialisé de Ber***ne (superbe installation et personnel très chouette (et bilingue)!) en disant qu'il fallait en gros savoir jeter la serviette si jamais. La tête du jspq... ses larmes argh, ça m'a fendu le coeur! Bon, je pleurais un peu aussi vu que le pauvre toutou était vraiment pas bien et que je peux pas ne pas pleurer quand on pleure devant moi. J'essayais de le réconforter comme je pouvais, c'est à dire mal! Mais qu'est-ce qu'on peut faire...
A part y aller! Alors on y est allé. J'ai fait quelques excès de vitesse en espérant ne pas avoir été flashée. Mais on est arrivés tel que demandé, avant 18 heures, trop fière je fus. Et j'ai payé l'avance. Mais là aucun regret. La facture totale va être lourde... vu qu'on a ouvert l'estomac du toutou pour en retirer un échev0 de laine de 50 cm coincé qu'il a gobé chez les parents. Bon là, au moins, il va bien et il se remplume un peu vu qu'il a perdu 10 kilos dans la semaine. Entretemps, moultes crises du jspq qui dit n'être pas capable de subvenir aux besoins de son chien et de s'en occuper bien. Qui se demandait ce qu'il aurait fait sans moi. Pas faux dans ce cas précis... Sauf qu'il s'en occupe bien. Le mieux qu'il peut dans les circonstances.
Menfin bref, voila la crise canine dans les grandes lignes... Je vous passe le moment où il disait au jeune veto à l'h0pital que s'il ne lui sauvait pas son chien, il le lui cramerait son beau batiment... Pas super à l'aise avec le concept j'étais... J'étais contente que le veto ne pige pas tout vu qu'il était chuichallemand mais se débrouillait en français... Et je me demandais dans quelle mesure il était sérieux un tout petit peu. Ouf, on a pas eu besoin de voir.
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Oh la la sinon je suis une emmerdeuse car j'ai demandé à Agnan de mettre le ventilo mais j'ai de plus en plus de mal à supporter son souffle sur mon décolleté (discret) (aujourd 'hui, je suis au boulot en pantacourt, grande première (car au boulot, enfin dans l'usine c'est jambes longues obligatoires (j'ai mon jean dans mon sac au cas où!), avec mon pull en dégradé de bleus que j'ai pris si large (volontairement) qu'il me laisse souvent l'épaule joliment dénudée (la gauche seulement, allez comprendre!) (en même temps vaut mieux ça que le nichon donc je suis décente aujourd'hui!)!!!
12:21 Publié dans Flashbacks, Ils sont tous fous (de moi?), Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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