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jeudi, 30 octobre 2008

Il dit rien...

Bon ceci c'est de la note post-datée...

Pas trop d'inspiration ou plutôt si, mais j'suis KO...

Flemme d'écrire quoi...

Donc rebelote Louise attaque avec "Tu dis rien" (rapport avec vous savez qui??? Grmphhhhhhh mais où allez vous chercher tout ça...) : C'est court punché, direct, bref fort à propos dans le contexte (dites je fais beaucoup dans le violon avec les cowboys fringants)chouette quoi!

Tiens l'autre jour, je me plaignais de la niçoise et de son silence... Et ben today message! Elle a des antennes ou quoi??? Elle avait peur que je sois à Paris... Elle s'y prend d'avance au moins, ça fait plaisir! Bon parce que c'est vrai mon contrat devait commencer le 3 novembre!!! Donc dans 5 jours... Ça m'aurait épargné ces jours affreux, merde! Dernière fois que je fais un truc pareil d'ailleurs, je parle de l'équivalent des prochains jours (et après je me demande pourquoi j'ai des cheveux blancs???) qu'on se le tienne pour dit!

 

 

Tu penses quoi toi, tu dis rien
En une heure de tes bras souffler la colère du monde
Voyager être la sauver chacune des secondes
Et protéger du froid les idées sans confondre
Tu vois je rêve encore penser plus vite que mon ombre

Vois tu je serais roi jusqu’à celui de ce monde
Te souviens tu de moi et jusqu’au son de ma voix
Suis je aussi maladroit et tristesse à la fois
Tu vois je rêve encore de marcher plus vite que mes pas
Mais toi tu penses quoi tu dis rien

Soulager de tes doigts douleur et poussière mon ange
Au voleur de ta voix plier chacune des phalanges
Me suggérer comme ça des yeux du bout des doigts
Tout vas je rêve encore penser plus vite je peux pas
Et toi tu dis rien tu m’oublies
Tu penses à rien tu souris
Qu’est ce qu’on est bien on oublie
On traverse le haut nos bas s’épousent sans lieu sombre
Et toi tu penses quoi ? tu dis rien
Moi je veux bien m’arrêter si tu veux danser
Moi je veux bien tout quitter si tu veux bien t’approcher
Moi je veux bien m’arrêter si tu veux danser
Moi je veux bien tout quitter si tu veux bien t’approcher


Mais toi tu penses quoi, tu dis rien

Mais toi tu dis rien tu oublies
Tu penses à rien tu souris
Qu’est ce qu’on est bien on oublie
On traverse le haut nos bas s’épousent sans lieu sombre
Et toi tu penses quoi ? tu dis rien

L'enfer c'est ici...

Et ça commence dans pas longtemps : je vais courir partout pour faire des permis à droite à gauche, on va me dire faut régler ci faut régler ça et je saurai pas de quoi on me cause même ce qui me fait passer à chaque fois pour une de ces lumières, j'adore!!! Voltaire, Diderot et cie peuvent aller se rhabiller!

Suis rentrée à 20h30, là je compte partir à 6h30 au plus tard(ce matin je me suis réveillée à 5h25, serait-ce le stress???), ça laisse beaucoup de place pour les palpitations, spas!

Bon alors je vais faire dans le musical plutôt... Louise attaque, ça faisait longtemps, non? Séance de rattrapage donc.

Alors ce sera "Sans filet" parce que j'aime et parce que c'est comme ça que je me sens actuellement...

 

 

J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait se diviser, s'effacer en
moitié
Chercher partout gratter les fonds les à-côtés
Laisser l'entier s'effriter
Mais regarde-les
On pourrait les imiter

J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait réessayer
Partir sur des bases tronquées
Voilerait le peu qu'il nous reste mais
Tu vois du genre on fait style regarde-les
On pourrait les imiter

J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait s'illimiter
Malade comme l'hiver c'est dur de devoir passer
En net de volonté
Métissée en avril regarde-les
On pourrait les imiter

j'ai sans doute voulu dire qu'il est dur de s'embrasser
De profil enlacés
C'est tout simple de face la tête en biais
Mais regarde-les
On pourrait les imiter
Puis j'ai sans doute voulu dire qu'on devait s'illimiter
Malade comme l'hiver jamais crû un jour pouvoir passer
En net de volonté
Métissée en avril regarde-les
On pourrait les imiter

Et on partira sur un simple reflet
Qu'on épousera jusqu'à tout oublier
On repartira chaque jour sans filet
On s'écoulera jusqu'à se perdre en pieds