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jeudi, 30 octobre 2008

L'enfer c'est ici...

Et ça commence dans pas longtemps : je vais courir partout pour faire des permis à droite à gauche, on va me dire faut régler ci faut régler ça et je saurai pas de quoi on me cause même ce qui me fait passer à chaque fois pour une de ces lumières, j'adore!!! Voltaire, Diderot et cie peuvent aller se rhabiller!

Suis rentrée à 20h30, là je compte partir à 6h30 au plus tard(ce matin je me suis réveillée à 5h25, serait-ce le stress???), ça laisse beaucoup de place pour les palpitations, spas!

Bon alors je vais faire dans le musical plutôt... Louise attaque, ça faisait longtemps, non? Séance de rattrapage donc.

Alors ce sera "Sans filet" parce que j'aime et parce que c'est comme ça que je me sens actuellement...

 

 

J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait se diviser, s'effacer en
moitié
Chercher partout gratter les fonds les à-côtés
Laisser l'entier s'effriter
Mais regarde-les
On pourrait les imiter

J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait réessayer
Partir sur des bases tronquées
Voilerait le peu qu'il nous reste mais
Tu vois du genre on fait style regarde-les
On pourrait les imiter

J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait s'illimiter
Malade comme l'hiver c'est dur de devoir passer
En net de volonté
Métissée en avril regarde-les
On pourrait les imiter

j'ai sans doute voulu dire qu'il est dur de s'embrasser
De profil enlacés
C'est tout simple de face la tête en biais
Mais regarde-les
On pourrait les imiter
Puis j'ai sans doute voulu dire qu'on devait s'illimiter
Malade comme l'hiver jamais crû un jour pouvoir passer
En net de volonté
Métissée en avril regarde-les
On pourrait les imiter

Et on partira sur un simple reflet
Qu'on épousera jusqu'à tout oublier
On repartira chaque jour sans filet
On s'écoulera jusqu'à se perdre en pieds

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