lundi, 29 décembre 2008
Dédicace
Je ne cours pas les dédicaces, même de gens que j'admire. Je vois pas trop l'intérêt, un bref échange fugace avec quelqu'un qui ne s'en rappellera plus le lendemain et qui va écrire n'importe quoi pour faire plaisir (ou pas), bref une rencontre, quelque chose de plus pour se rssurer sur la "tangibilité" de ce monde??? Je sais pas trop...
Par contre les dédicaces me courrent après!
En effet, une amie d'enfance de mon cher père travaille (ou peut-être travaillait, je ne sais pas trop) comme attachée de presse de gens hyper connus dans le milieu du shooooooooow-biz... Je pourrais vous donner des noms mais à quoi bon faire du name-dropping ici?
Du coup quand on la voyait elle nous donnait plein de disques (et oui avant l'ère du CD) qui parfois étaient même dédicacés, si si si!
Bon on va pas dire que c'était la plupart du temps des "stars" de la variétoche française, et pas toujourds la crème, menfin selon moi hein, je veux vexer personne.
Par exemple, j'ai un superbe 45 tours (que je n'ai jamais écouté) dédicacé (chose dont je ne me suis jamais vantée) d'un somptueux "Aux soeurs manière de Lost. Bises" (bon le "à la" c'est ce qu'on a qui ressemble le plus à une particule) signé Frédéric "wouohohohoho je t'aime à l'italienne" François... Zêtes jaloux hein dites?
Par contre le passage à l'ère du CD fut plus heureux... Notamment quand elle nous a apporté le CD non dédicacé (snif!) de Louise Attaque. Heureusement que j'en avais entendu parler peu avant car sinon il aurait probablement fini sa vie en restant non écouté dans la pile de cadeaux de l'attachée de presse... Triste destin que ça aurait été! Vous imaginez finir votre vie entre 2 galettes de Frédéric François, Herbert "pris en flagrant délit de désir" Léonard et consort??? (MAis ou vont ils chercher de tels auteurs je me le demande!) Quoique Louise aurait peut-être aimé ça qui sait se taper un sandwich de vieux beaux dans le temps où ils étaient encore relativement djeunz?
Bref Louise attaque a fini par être écouté en boucle dans ma chambre avec la frangine, en commençant par Léa, et entrainant moultes acahts de CD, de billets de spectacles et autres... Elles me manquent Louise et Léa, je dirais même!
('tain heureusement que je suis pas cardiaque, le premier Léa m'a fait peur alors que le youtube peinait à s'afficher (et que je l'avais complètement oublié soyons honnêtes (ben oui vous comme moi), je suis une grande nerveuse!)
Léa
 Léa
 Elle est pas terroriste, elle est pas anti-terroriste
 Elle est pas integriste, elle est pas seule sur terre
 Elle est pas commode, non elle est pas comme Aude
 Elle est pas froide, elle est pas chaude pour nu realiste
 Elle est pas créditeur, elle est pas méchante
 Mais putain, qu'est ce qu'elle est chiante
 
 Léa
 Elle est pas intérimaire, elle est pas comme ma mère
 Elle est passagère, elle est pacifiste
 Elle est pas d'accord, elle est passionnée
 Elle est pas fute fute, elle est pathétique
 Elle aime pas tous mes tics, elle est pas solitaire
 Elle est pas solidaire, elle est paresseuse
 Elle est pas réciproque, elle est pas en cloque
 Elle est pas d'la region PACA, elle a qu'a s'envoler
 
 Léa
 Elle est parisienne, elle est pas présentable
 Elle est pas jolie, elle est pas moche non plus
 Elle est pas à gauche, elle est pas à droite
 Elle est pas maladroite
 
 Léa
 Elle est pas terroriste, elle est pas anti-terroriste
 Elle est pas jolie, elle est pas moche non plus
 Elle est pas toujours drôle, elle est pas libre
 Elle est pas tentée, elle est paternaliste
 Elle est pas inspirée, elle est patiente
 Elle est pasticheuse, elle est pas cible
 Elle fait pas la politique
 
 Elle l'a pas volé, elle passing-shot
 Elle est passe-temps, elle est passable
 Elle est pas stable, elle est pas partout
 Elle dit qu'elle partira, elle est même pas venue
 Elle est partisane, elle est pas pas pas sortable
 Et ça j'vous l'ai pas pas déjà dit
 Qu'elle est parisienne, elle est parisienne
 Elle est pas terroriste, elle est pas terroriste.
15:32 Publié dans Culture et confiture (j'étale les 2)  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | Tags : je t'aime à l'italienne (berk!),  pris en flag' de désir (eeew!),  dédicace,  l'attachée de presse,  louise attaque,  léa |  |
 |  
 
jeudi, 30 octobre 2008
Il dit rien...
Bon ceci c'est de la note post-datée...
Pas trop d'inspiration ou plutôt si, mais j'suis KO...
Flemme d'écrire quoi...
 
 Donc rebelote Louise attaque avec "Tu dis rien" (rapport avec vous savez qui??? Grmphhhhhhh mais où allez vous chercher tout ça...) : C'est court punché, direct, bref fort à propos dans le contexte (dites je fais beaucoup dans le violon avec les cowboys fringants)chouette quoi!
Tiens l'autre jour, je me plaignais de la niçoise et de son silence... Et ben today message! Elle a des antennes ou quoi??? Elle avait peur que je sois à Paris... Elle s'y prend d'avance au moins, ça fait plaisir! Bon parce que c'est vrai mon contrat devait commencer le 3 novembre!!! Donc dans 5 jours... Ça m'aurait épargné ces jours affreux, merde! Dernière fois que je fais un truc pareil d'ailleurs, je parle de l'équivalent des prochains jours (et après je me demande pourquoi j'ai des cheveux blancs???) qu'on se le tienne pour dit!
Tu penses quoi toi, tu dis rien
 En une heure de tes bras souffler la colère du monde
 Voyager être la sauver chacune des secondes
 Et protéger du froid les idées sans confondre
 Tu vois je rêve encore penser plus vite que mon ombre
 
 Vois tu je serais roi jusqu’à celui de ce monde
 Te souviens tu de moi et jusqu’au son de ma voix
 Suis je aussi maladroit et tristesse à la fois
 Tu vois je rêve encore de marcher plus vite que mes pas
 Mais toi tu penses quoi tu dis rien
 
 Soulager de tes doigts douleur et poussière mon ange
 Au voleur de ta voix plier chacune des phalanges
 Me suggérer comme ça des yeux du bout des doigts
 Tout vas je rêve encore penser plus vite je peux pas
 Et toi tu dis rien tu m’oublies
 Tu penses à rien tu souris
 Qu’est ce qu’on est bien on oublie
 On traverse le haut nos bas s’épousent sans lieu sombre
 Et toi tu penses quoi ? tu dis rien
 Moi je veux bien m’arrêter si tu veux danser
 Moi je veux bien tout quitter si tu veux bien t’approcher
 Moi je veux bien m’arrêter si tu veux danser
 Moi je veux bien tout quitter si tu veux bien t’approcher
 
 Mais toi tu penses quoi, tu dis rien
 
 Mais toi tu dis rien tu oublies
 Tu penses à rien tu souris
 Qu’est ce qu’on est bien on oublie
 On traverse le haut nos bas s’épousent sans lieu sombre
 Et toi tu penses quoi ? tu dis rien
13:45 Publié dans Musicalement parlant  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | Tags : louise attaque,  tu dis rien,  comme on a dit,  il dit rien,  vous savez qui,  la niçoise,  pas le temps d'écrire plus |  |
 |  
 
L'enfer c'est ici...
Et ça commence dans pas longtemps : je vais courir partout pour faire des permis à droite à gauche, on va me dire faut régler ci faut régler ça et je saurai pas de quoi on me cause même ce qui me fait passer à chaque fois pour une de ces lumières, j'adore!!! Voltaire, Diderot et cie peuvent aller se rhabiller!
Suis rentrée à 20h30, là je compte partir à 6h30 au plus tard(ce matin je me suis réveillée à 5h25, serait-ce le stress???), ça laisse beaucoup de place pour les palpitations, spas!
Bon alors je vais faire dans le musical plutôt... Louise attaque, ça faisait longtemps, non? Séance de rattrapage donc.
Alors ce sera "Sans filet" parce que j'aime et parce que c'est comme ça que je me sens actuellement...
J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait se diviser, s'effacer en
 moitié
 Chercher partout gratter les fonds les à-côtés
 Laisser l'entier s'effriter
 Mais regarde-les
 On pourrait les imiter
 
 J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait réessayer
 Partir sur des bases tronquées
 Voilerait le peu qu'il nous reste mais
 Tu vois du genre on fait style regarde-les
 On pourrait les imiter
 
 J'ai sans doute voulu dire qu'on pouvait s'illimiter
 Malade comme l'hiver c'est dur de devoir passer
 En net de volonté
 Métissée en avril regarde-les
 On pourrait les imiter
 
 j'ai sans doute voulu dire qu'il est dur de s'embrasser
 De profil enlacés
 C'est tout simple de face la tête en biais
 Mais regarde-les
 On pourrait les imiter
 Puis j'ai sans doute voulu dire qu'on devait s'illimiter
 Malade comme l'hiver jamais crû un jour pouvoir passer
 En net de volonté
 Métissée en avril regarde-les
 On pourrait les imiter
 
 Et on partira sur un simple reflet
 Qu'on épousera jusqu'à tout oublier
 On repartira chaque jour sans filet
 On s'écoulera jusqu'à se perdre en pieds
11:02 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...)  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | Tags : l'enfer c'est ici...,  l'enfer commence maintenant...,  louise attaque,  sans filet,  comme on a dit |  |
 |  
 
lundi, 06 octobre 2008
Under attack!!!
Vous avez lu dans le carré jaune à droite? Ou serait-ce à gauche? Oh la la je sais plus, rien à voir avec des convictions politiques embrouillées mais je me rappelle pas du tout... Attendez j'ouvre mon blog pour y jeter un coup d'oeil, une fois n'est pas coutume, et confirmer... Ah ben c'est à gauche, first news!
Bref au cas où vous arriviez ici 150 ans après la publication de cette note et que j'ai changé mon blog-it express entretemps car ça m'arrive de temps en temps et même parfois plusieurs fois par jour, voici la teneur de ce message d'une importance extrême :
Parlant de l'autre, j'ai remis la main sur mon CD remix du meilleur des 2 premiers CD de Louise attaque, que j'avais dans ma voiture depuis un an, devinez pour quoi? Pour égayer la route avec vous savez qui vers Ottawa ou Magog... On a même pas du écouter car mossieur est allergique au violon (le roi des emmerdeurs et des ingrats plutôt vous me direz et je ne pourrai pas vraiment vous contredire) alors pour pas l'indisposer on avait pas du écouter beaucoup! Par contre lui ça le gênait de laisser les essuie-glace essuyer même si de flotte il n'y avait et que ça grincer peu agréablement à l'oreille (menfin à la mienne), sauf que moi, bien élevée, un peu trop même sans doute, j'ai rien dit alors que ça me crispait parce que j'avais passé une bonne journée en montagne, le 31 décembre que c'était même! Lui finalement il pouvait plus me blairer depuis déjà le 29 décembre, sympatoche non? et en plus c'était très con car il égratignait le pare-brise de son audi pour rien! Menfin un homme ça se contrarie pas sur le plan automobile, je suppose alors que j'ai sans doute vu plus de valves et pistons (sans parler da,llusions phalliques) que lui dans toute sa vie passée présente et future.
Tout ça pour dire que je suis donc à nouveau folle de Louise Attaque et qu'on en reparlera donc, Léa et moi! Tiens j'ai envie de vivre des soirées parisiennes moi contrairement à eux!
Et que sans l'intervention de ce malotru j'allais vous parler de tout autre chose, en lien avec ceci, la fornication en moins tout de même :
Sans lien aucun avec vous savez qui!!!Ni du coté fornication encore une fois, ni du coté musical!
Ou alors ceci pour faire plus couleur locale :
Ah oui et je viens de m'inscrire sur un challenge "abdos plats en un mois"... PAs par magie, hein, ce serait trop beau, mais par abdos multiples et de tout acabit, ô joie, j'ai trop hâte, vais-je tenir le coup??? Pas sûr... Mais bon c'est pas du luxe je crois, il y a du laisser-aller dans l'air, je vous épargne la photo avant/après, menfin peut-être que je vous montrerai mes futures tablettes de chocolat, voui on peut rêver, c'est encore permis non? Et en attendant le grand démarrage demain, mes abdos et moi sommes langoureusement alanguis sur le futon... C'est presque trop bon! Un mois c'est vite passé pas vrai?
08:12 Publié dans La saga du germain, Ma vie, mon oeuvre!  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | Tags : vous savez qui,  vous savez qui m'espionne!,  vous savez qui ment,  louise attaque,  léa,  soirées parisiennes,  abdos plats en un mois |  |
 |  
 
samedi, 15 mars 2008
Rien à dire...
Depuis Toujours de Louise Attaque
disait un astre au soleil
le tour du monde ça je sais faire
depuis toujours, toujours
Disait la lune à la terre
dont les couleurs sont de ces merveilles
issu d'hier ou du soleil
issu de toujours, toujours
Dans le noir où sous la lumiere
elles se melangent sous la mer
se melangent elles
depuis toujours, toujours
Dis est ce que tu penses
qu'il faut arrêter là ?
Dis est ce que tu crois
que tout ça c'est immense ?
Dis qu'est ce que tu vois
est ce que l'on suit la tendance ?
Les nuits ne sont pas eternelles
Disait la lune au soleil
il tourne en rond c'est un mystère
depuis toujours, toujours
Disait un homme de l'univers
dont la longueur est une merveille
issu d'hier ou du soleil
issu de toujours, toujours
Dans le noir où sous la lumiere
il se prolonge sous la mer
se prolonge t-il
depuis toujours, toujours
Dis est ce que tu penses
qu'il faut arreter là ?
Dis est-ce que tu crois
que tout ça c'est immense?
Dis qu'est ce que tu vois
est ce que nous deux c'est tendance ?
Les jours ne sont pas eternels
disait un astre au soleil
le tour du monde ça je sais faire
depuis toujours, toujours
Disait la lune à la terre
dont les couleurs sont de ces merveilles
issu d'hier où du soleil
issu de toujours, toujours
Dis est-ce que tu penses
qu'il faut arrêter là ?
Dis est ce que tu crois
que nous deux c'est tendance?
Dis qu'est ce que tu vois
est ce que nous deux c'est immense ?
18:21 Publié dans La saga du germain, Musicalement parlant  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | Tags : saga du germain,  la fin de la saga?,  louise attaque,  depuis toujours,  le germain a dit que... |  |
 |  
 
 
 





 
  presso
 presso