Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 22 mars 2009

Le monde est petit quand même...

Rigolo! J'ai dans mon réseau LinkedIn la cousine d'une de mes amies que je ne connais que vaguement, la plupart de nos échanges consistant en des discussions sur le sujet de l'enterrement de vie de jeune fille de mon amie, chose à laquelle je n'ai pas pu assistée vu que j'étais au mariage de la jumelle brune, où je me suis emmerdée, à part la partie avec PB (que je n'ai pas finie de raconter je crois) où là je me suis vaguement inquiétée (mais au moins ça mettait un peu de piquant parce que le mariage fut chiant!) (hors sujet mais ya "ascenseur pour l'échafaud" à la télé, cool!!!) (Ya aussi Beetlejuice, ça rappelle des souvenirs ça!). Bref à part que j'ai trouvé les invitations qu'elle avait faites pour sa cousine vraiment très très chouettes et classes à la fois, je ne la connais pas. Mais j'ai vu qu'elle avait maintenant comme nouveau contact un type qui était un associé de mon père, un sale con, tout comme sa femme, si vous voulez mon avis. Bref le monde est petit... Quoique le Québec c'est comme une grande famille incestueuse bien souvent donc c'est presque normal.

Par exemple, quand j'ai rencontré ex-coloc, on faisait des sondages ensemble, elle m'a dit qu'elle était en socio. Peu de temps après, je vois la jumelle brune (encore elle!) qui me parle de ses cours et elle était en équipe pour un travail de groupe dans un cours avec... ex-coloc!!! Puis un collègue d'ex-coloc qui se lance en politique, juste au moment où je vais à l'investiture du futur député dans ma circonscription, sur qui je tombe, le fameux collègue, sur qui on était tombé d'ailleurs aussi au réveillon! Faut dire qu'il est dur à louper, une vraie armoire à glace! Et maintenant il est président du parti ou quelque chose comme ça... Pfffffff j'en passe de meilleures qui ne me reviennent pas...

Sinon cet aprem je voyais un pote que nous appellerons le guitariste (mais c'est dommage, on s'aime bien, mais on ne se transcende pas l'un l'autre. Par contre on s'entend super bien, ça c'est chouette. Et puis il est plus bavard que moi (comme le niçois d'ailleurs! L'autre soir je pouvais à peine en placer une! C'était pareil avec le parisien... Et après on va dire que c'est moi qui suis trop bavarde??? Que nenni, tiens!), j'ai du en parler il y a à peu près un an mais je sais plus comment je l'ai appelé à ce moment là? Bref depuis 2 ans, ben il fait un genre de show avec un ami à lui dans un contexte bien précis que j'expliciterai pas pour plus de discrétion. Il y a 2 ans, un peu par hasard, j'avais chanté quelque chose avec lui et du coup, l'an dernier il avait voulu répéter la chose. C'était pas mal d'ailleurs, apparemment surtout parce que j'étais pas bien en ce temps (pire que récemment) et qu'il trouvait que ma voix beaucoup mieux du coup, parce que c'est vrai elle avait tendance à faire un truc bizarre, elle sonnait plus fragile, un peu brisée, et ça allait drôlement bien avec cette chanson! Bref on remet ça bientôt et là il veut faire du... Alain Bashung! Sauf que bon, je veux bien j'adore en plus, mais pas évident pour moi à chanter... On verra ce que ça donne. On doit se voir dans 2 semaines pour décider laquelle et voir ce que ca donne. C'est moi qui lui ai fait découvrir Bashung d'ailleurs... Tiens avec lui aussi le guitariste le monde est petit, vu qu'on s'est rencontré par hasard chez des amis d'amis d'amis en commun...

Ah et pour rester dans le thème, cet aprem, j'ai pas mal marché et je suis passée sur la rue Notre-Dame en sortant du théâtre où j'ai acheté des billets pour jeudi (bizarre on réserve des tables plutôt que des places...), dans le coin des antiquaires et en passant plus préciséement devant la gargote des antiquaires, ça m'a rappelé quelque chose. Fin 2007, j'avais un des projets qui nécessitait l'installation d'un mégta réservoir qui était trop gros pour passer par les portes de l'usine. Donc il fallait faire le montage sur place. Du coup tous les jours pendant 6-7 semaines je devais venir à 7 heures du mat pour m'occuper de mes 2-3 installateurs. J'en ai entendu des vertes et des pas mûres avec eux, je préférais l'autre équipe avec mon chevalier servant, mais c'était sympa quand même malgré tout. Bref là n'est pas la question. Une fois pour l'installation ils avaient besoin d'avoir l'aide d'un autre type. Donc la cavalerie est appelée...

Le nouveau arrive, c'est un argentin (j'aime les argentins!!!), très sympa, je lui fais suivre le vidéo de sécurité et tout le tintouin et je l'emmène sur le chantier Ce jour là ou le lendemain, je sais plus, au cours d'une conversation, il me demande à brûle-pourpoint où j'habite, ce qui me surprend un peu! Je réponds comme toujours Montréal, ça sort de l'ordinaire car je travaille sur la Rive-Sud (de Montréal) et tout le monde habite sur place ou presque... Mais il veut des détails alors je précise un peu. Et là il me demande si j'habite près de la rue Notre-Dame alors je réponds "non, pas vraiment" mais que je passe souvent par là. Du coup son visage s'éclaire et il me dit qu'en effet il me voyait souvent passer quand il travaillait à la gargote des antiquaires. Aaaaaaaaaah! c'est donc ça... C'est fou quand même, il se rappelait de moi 2-3 mois plus tard (parce que l'hiver je ne vais pas au centre-ville à pied, 40 minutes, merci bien! et on était en décembre vu que c'était la fin de l'installation) alors que je faisais le trajet aller-retour (mais au retour je passe pas par là) 2-3 fois par semaine max, il aurait donc fallu qu'il regarde par la fenêtre à chaque fois que je passe et qu'il ait le temps de me dévisager suffisamment pour me reconnaître par la suite alors que je ne pense pas avoir grand chose de frappant. En tout cas, le monde est vraiment tout petit (alors que Montréal et la Rive-Sud s'est quand même drôlement étendu en surface)...

D'habitude quand je croise des gens que je connais par hasard, c'est jamais ceux que j'ai envie de croiser, c'est même plutôt le contraire

Bon c'est la fin d'"Ascenseur pour l'échafaud", quel film terrible (ouf il n'y a pas de photos incriminantes de BFC et moi dans la nature, quand on voit ce que ça peut donner...) quand même, le dernière fois que je l'avais vu, c'était en extérieur pendant le festival des Films du monde, avec la musique super forte dehors sur la grande place, très bien c'était! Sans transition je passe à Psycho, quel samedi soir, mazette...

Les commentaires sont fermés.