The p0l0nais strikes back...

Et ben, ça s'emballe dites donc!

Là vraisemblablement, on va se taper des tapas (hahaha!) ensemble... Il semble vraiment tenir mordicus à me causer longuement! Parce que moi je flippe plutôt qu'on tombe à court de choses à dire... D'autant que je n'ai pas franchement souvenir d'avoir eu déjà de grande conversations philosophiques avec lui?!?!?! Menfin, s'il fait la conversation, je ferai pas la farouche et je répondrai plus que des monosyllabes (ouais parce que c'est pas parce qu'on est bavarde qu'on est pas du genre muette parfois) (dans la plupart de mes boulots, les gens me trouvent silencieuse souvent)...

En tout cas, là ça me changera les idées ma foi! Et je suis assez curieuse du déroulement même si je vais vaguement stresser...

C'est garanti que ça fera une note pas pire pour le soir même (certaines personnes ayant souligné le manque de sommeil comme un des facteurs majeurs de mon humeur euh... maussade dirons nous ben faudra que je sois raisonnable!), juste déjà savoir comment on va s'arranger pour l'addition, ça m'intrigue! Ah et vu mes sautes d'humeur, on peut tenir les paris : vais-je lui raconter ma vie en pleurant comme une madeleine? auquel cas il devrait en avoir pour son argent, le pauvre, (surtout si on partage l'addition!) parce qu'en ce moment je me sens pas mal sur la corde raide : ça peut basculer d'un pas à l'autre!

Une seule certitude : ça se terminera sagement! Parce que d'abord je ne suis pas opérationnelle, et, ensuite, je doute que je sois d'humeur! En cas, je pourrais invoquer l'argument fastoche du "jamais le premier soir!", chose sur laquelle d'habitude je ne suis pas vraiment à cheval (sans jeu de mots) et qu'on pourrait techniquement rejeter vu notre passif... rien que le bal des Term1nales pourrait être une objection recevable, merde! Tiens d'ailleurs pendant ce fameux bal, j'avais été fort surprise de la scène de la sérénade et du slow collé serré que m'avait joués à mon corps défendant un type dont je ne connaissais que le nom... Meilleure amie était intervenue et avait beaucoup mieux contrôlé ;a situation que moi, qui en était presque venue aux mains tellement il m'avait énervée (Et étouffée! Non mais littéralement en plus...)... J'avais 17 ans plus de 4-5 jours (je les ai eus le jour de mon oral de germain!) et à ce moment là, je n'étais guère émue par la moitié masculine de l'humanité. C'était le bon temps! Mais ça allait changer très (très!) bientôt... Bizarre soirée ce bal tout de même!