jeudi, 19 novembre 2009
It is done
et, en plus, j'ai du faire ça toute seule (comme une grande?)...
Alors que j'avais compris que le erre-hache serait avec moi... Et ben non! Pas pantoute!!! (lâcheur!!!) (erre-lâche) Bon il m'a dit avant que c'est pour ça que j'avais un gros salaire... ah (bon? C,est pas pour mes beaux yeux???) euh oui mais bon!
Bref, je m'en suis sortie, il n'a pas sorti de fl1ngue, il ne s'est presque même pas départi de son sourire... J'avais sans doute l'air bien plus tragique que lui! Heureusement, il n'a pas pleuré, je l'aurais accompagné (j'aurais eu l'air brillant!)
Et puis après, ben il devait remporter ses affaires, dont son c0ffre à outils, un truc monstrueux qui heureusement se détache en 3 parties. Sauf qu'il arrivait pas à caser dans sa tuture la plus grosse. Et évidemment je trouve personne pour lui donner un coup de main (c'est pas que je voulais pas me casser un ongle mais bon, t'imagine que je lâche au moment critique et ratatine sa bagnole? Ce serait un peu rajouter l'injure à l'insulte!), CM est pris (et m'a dit après, un peu perfidement, qu'il aurait pu le faire tout seul) (une force de la nature) (avec le fruit sec, on envisageait un combat CM contre le superviseur gâteux (qui a débloqué ce matin avec CM d'ailleurs) (niveau cour d'école) (ou Santa Barbara)... je sais sur qui mettre mon fric (d'autant que le CM est 2 fois plus grand) (l'autre a beau être teigneux, c'est du vent face à la force tranquille qu'est le CM)), après avoir parcouru tout l'entrepôt, je suis tombée sur monsieur sans-thé-c'est-currry-thé en discussion avec 2 autres types, j'ai dit que j'avais besoin d'une paire de bras, tous les 3 étaient volontaires! Ah je vous jure, être une femme dans ce genre de milieu, c'est le pied, l'air de rien, on se fend en 4 pour faire mes 4 volontés et souvent on m'offre le café (infect, certes, mais dans ces conditions j'accepte toujours (sauf si c'est tous les jours), je sais où sont mes intérêts, tant pis pour mes maux d'estomac par la suite), on va pas dire que j'en abuse (avec sourires en rafale et clignement de paupières en prime) (je peux aussi parfois très bien jouer à l'idiote s'il le faut)... Bref le premier (qui me dit d'ailleurs cette semaine alors qu'on se parle moins que d'hab, que je devrais l'appeler plus souvent pour qu'il puisse entendre ma voix (de b0urgeasse!)) est venu nous aider, hop emballé, c'est jeté. Bonne chance et puis basta!
Neeeeeeeeeeeeeeext!
23:22 Publié dans Mes "chers" collègues, tout un poème | Lien permanent | Commentaires (8) | |
Commentaires
Il n'a pas pleuré (c'est un Canad1en, eh oh !) et est parti tout souriant.
Deux hypothèses :
- il est vraiment heureux d'être débarrassé de cette boîte...
- il prépare son fusil avant de repasser.
(non, je blague)
Écrit par : galuchon | vendredi, 20 novembre 2009
Répondre à ce commentaireAttends, le canadien est mou, il a donc le coeur tendre, j'aurais voulu des larmes...
Je pense qu'il a fait contre mauvaise fortune bon coeur, chose que je n'aurais pas pu faire, tout en cracher un peu sur les raisins bons pour les goujats car trop verts. Mais c'est de bonne guerre! C'est drôle parce que écouter le CM et lui et tu as une vision complètement opposée de la situation...
Écrit par : presso | vendredi, 20 novembre 2009
Répondre à ce commentaireC'est parce que le Canad1en est mou que tu fais dans le cheptel d'importation ?
Pourtant, j'ai un couple d'amis Québéco1s (très proches) (de bientôt 20 ans, raaaaaah !), des pur-sang de là-bas depuis 8 générations, et lui (ni elle, d'ailleurs) ne me semble(nt) mou(s) ou mollasson(s).
Mais ils ne sont pas de M0ntréal...
Écrit par : galuchon | vendredi, 20 novembre 2009
Répondre à ce commentaireOuais ben c'est le cliché et ça ne concerne que la moitié masculine... Menfin en gros, le québécois supporte et se plaint peu disons, ça le distingue nettement du français!
Et ne pas confondre québécois et canadien, combien de fois je vais devoir le dire??? Pourtant tes amis "pure laine" (8ème génération, impressionnant) ont du te le dire, nan?
C'est vrai que je connais pratiquement que des montréalais... Quoique ceux de l'outaouais étaient pas mieux ;-) Ils sont d'où les "tiens"? Pas de l'outaouais j'espère ;-)
Sinon je n'ai pas de cheptel spécifique tu sauras. Le monde est vaste et je suis myope. Donc si on me fait pas un peu signe (à part quand ton nom est bfc), ben je vois rien, et comme le québécois est hyper discret sur ce plan (ça a été l'origine des problèmes initiaux avec le birman d'ailleurs), je succombe à des plus expansifs du genre de l'HM...
Écrit par : presso | vendredi, 20 novembre 2009
Répondre à ce commentaireC'est vrai que le nord-américa1n ose rarement draguer en dehors des lieux où hommes et femmes viennent pour trouver une pitance d'un soir.
Sans doute cela provient-il du matriarcat et d'une forme de "castration" de la partie mâle qui ne tient pas à subir les foudres au prétexte de "harcèlement".
Il est notable que ça se répercute dans beaucoup de domaines.
Les sociologues expliquent ça par le fait que lors des colonisations, les femmes étaient fort peu nombreuses et qu'ainsi les hommes désirant s'accoupler en étaient réduits à subir leurs quatre volontés. L'éducation des enfants en fut donc tributaire et le résultat perdure.
Écrit par : galuchon | vendredi, 20 novembre 2009
Répondre à ce commentaireOh mais c'est génial ça, j'avais jamais pensé à remonter aux origines des colonisations.
Bon sang mais c'est bien sûr!!!
Tu m'ouvres des perspectives hallucinantes là.
Je dois le dire (mais je sens que je vais le regretter bientôt ;-) ) : tu es génial galuch' :-)
Écrit par : presso | vendredi, 20 novembre 2009
Répondre à ce commentaireEt c'est fatigant, de faire génie !
Bon, je m'en vais aller roller avec mon chien, car il vient un peu trop souvent m'interrompre dans mon travail : c'est un signe qui ne trompe pas...
Écrit par : galuchon | vendredi, 20 novembre 2009
Répondre à ce commentaireEt bien bonne promenade à vous 2!
Et bonne nuit (faut récupérer de ta fulgurance) par la suite ;-)
Écrit par : presso | vendredi, 20 novembre 2009
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