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mardi, 26 janvier 2010

Service après-vente

Oui j'assure au max de ce coté là (comme dans pas mal tout depuis une dizaine de jours)... C'est vrai que je me sens pas mal en mode warrior en ce moment. Heureusement parce que sinon je m'emmerde! Abyssalement... Et j'aime bien aussi que ça se voit que je mène rondement ma barque et que je laisse les autres dans la poussière... Oui bon je combine 2 métaphores incompatibles. J'ai le droit! Je revendique et en plus, j'aime!

Sinon, faut admettre que je ne sais pas trop quoi dire ici... Je sais pas pourquoi par contre. Mon esprit fonctionne encore à 150 000 à l'heure, entre M0ntreux et mon ultime missive à bfc (c'est peut-être parce que c'est l'ultime que j'ai pas envie de l'écrire, j'y pense, autrement c'est comme si je me réservais le droit de changer d'avis) (bah, même si je la déclare ultime, je me réserve quand même le droit de changer d'avis 150 fois, na!). ÇA a pas l'air comme ça mais c'est 2 sujets liés. Je peux pas vous expliquer à quel point sur tous les plans...

Mais, en gros, en pensant à quoi écrire à bfc sur M0ntreux, je me disais que j'allais lui faire subir mes états d'âme (pourquoi il n'y aurait que les autres qui ont le droit de le faire???) (bon c'est un peu un comble de vous dire ça à vous qui n'avez qu'à m'écouter parler de moi moi moi!), genre lui dire que je stresse un peu mais qu'il n'y a pas de raison qu'ils ne me trouvent pas aussi irrésistible en personne que par téléphone car après tout, lui même était à peu près le seul à me résister au sens large. Le CM me résiste rarement et, quand il le fait, il s'en excuse presque au point où je dois lui dire "meuh non, je suis pas vexée du tout". Oui donc soit je le saoule avec moi moi moi, soit je l'assome avec du bfc, bfc, bfc (en insistant lourdement sur le "c"!). Rien de nouveau sous le soleil.

Bah il y a quand même quelque chose que je veux lui dire et qui me frappe à chaque fois que je relis mes vieux emails de l'époque : c'est que, alors qu'il me dit qu'on reste amis (visiblement, on a pas la même définition du concept), il me laisse quand même me rouler dans la poussière sans rien dire (par exemple, pour le birman, je lui mettais les points sur les i, histoire qu'il ne s'emballe pas pour un oui ou pour un non et se prenne une gamelle) (chose qu'il faisait quand même) (et je dis pas que je l'aurais pas fait même si bfc avait été mieux). Ou encore je m'auto-flagelle gaiement en disant que tout est de ma faute sous ses yeux à moitié indifférents à moitié buvant le tout comme du petit lait. Ou quand j'insiste pour l'aider pour ce foutu test de français et qu'il ne dit pas non du tout. ALors que vous imaginez pas le boulot que ça me demandait!!! Tous les jours, je corrigeais ses 3-4 emails beaucoup plus disserts que les derniers (pas difficile) (avec des explications pour les points difficiles!) et j'écrivais les miens de façon à ce qu'il comprenne facilement... Tout juste si je ne faisais pas un glossaire pour les termes que je pensais qu'il ne pigerait pas. Et bien, l'air de rien, c'est vachement de boulot!

Tout ça pour rien, vu qu'il l'a jamais passé le test. Il s'est dégonflé avant. Chose qui ne m'a pas étonnée, disons le. Bien sûr! Mais chose qui m'a royalement emmerdée parce que de le voir réussir ce foutu test aurait été, étrangement, un baume sur mes plaies. Ou juste une façon de me dire que je n'avais pas complètement perdu mon temps, que j'avais au moins accompli quelque chose! Autant ça ne m'avait pas réellement fâchée (je m'étais juste contentée d'avoir le coeur brisé, ce qui est en soi déjà pas mal, et de penser que tout était de ma faute) (c'est toute l'attitude ensuite qui m'a vraiment fâchée!) (à la limite, le fameux dimanche où je me rongeais les ongles parce qu'il ne me donnait plus signe de vie une fois son forfait accompli, j'aurais préféré qu'il en reste là, au silence radio. Radio 4 is sta-tic. As you walk away!) qu'il me largue, autant le désistement au test m'avait drôlement énervée et déçue, m'empêchant d'atteindre mon objectif, argh! Ça, j'ai eu du mal à l'admettre, même si ça parait ridicule. Mais bon, quand j'entreprends VRAIMENT quelque chose, j'aime pas qu'on me mette des batons dans les roues... Pauvre crétin, va!

Allez hop, je rentre (tout ça a été écrit il y aquelques heures, argh!) (je suis vraiment trop occupée) (ça fait 2 fois que je me dis que je vais partir tôt, peine perdue!)!

23:23 Publié dans Mes "chers" collègues, tout un poème | Lien permanent | Commentaires (8) | |

Commentaires

Tu m'inquiètes.
En effet, lire que bfc (c0nnard, donc) devient "crétin", c'est le changer de catégorie à son bénéfice. Ce petit mot étant parfois employé avec un soupçon de tendresse, je m'interloque (sic) : qu'arrive-t-il à "notre" warri0r ???

Écrit par : galuchon | mardi, 26 janvier 2010

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Figure-toi que je me suis moi-même interrogée sur l'emploi du mot! Mais je sais pourquoi j'emploie crétin dans ce cas particulier même si je peux pas le dire...

Bref, pas de souci! C'est toujours un connard...

Tiens tout à l'heure, mon sac s'est renversé et quelques trucs en sont tombés. Dont la carte que j'ai acheté pour bfc justement... Un signe qu'il faut que j'en finisse???

Écrit par : presso | mercredi, 27 janvier 2010

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Ouf !
L'essentiel, c'est que tu t'y retrouves...

Dans un autre ordre d'idée, le fait d'être débordée et de finir sa journée à 17 h 30, ça ne fait pas sérieux. Même en étant de bonne heure au boulot. Sans compter que tu rentres les mains dans les poches. Et qu'ensuite tu t'ennuies...

Écrit par : galuchon | mercredi, 27 janvier 2010

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Nan, nan, là je m'ennuie pas! J'ai un programme débordant... Je rentre pas les mains dans les poches non plus... sauf que quand j'apporte du boulot, ben j'ai pas du tout envie de le faire ;-)

De toute façon après 17h, ya plus personne alors je peux pas faire grand chose, à part mes petites affaires! Et mes trucs à moi, devant mon ordi (hors blog) m'emmerdent royalement... Je suis débordée entre 7 et 15h, l'horaire des gens avec qui je bosse. Et quand je veux rentrer tôt (genre 16h), ben il y a soit une fuite d'eau, soit une porte qui n'attend que moi avant de s'écrouler...

Écrit par : presso | mercredi, 27 janvier 2010

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7 à 15 h, moins le temps d'un repas, ça ne fait pas beaucoup d'heures de travail pour l'usine, ça. Vous amortissez vos équipements et frais fixes sur si peu, ou bien c'est seulement le temps de présence de tes esclaves ?

Écrit par : galuchon | mercredi, 27 janvier 2010

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Ça c'est l'horaire de mes esclaves de l'extérieur. Mes esclaves perso font 4 journées (ou nuit) de 10 heures. enfin le CM lui, il est théoriqmenet sur le 7 à 15h30 (avec 30 minutes de repas), mais il part rarement avec 17h. Mais il y a 3 shifts. Les 3 huit quoi! Et sinon ils font du temps sup, payé double. Comme là j'en ai 2 qui sont restés tard...

Argh je sais plus compter d'ailleurs! Le jeunot a fait de 22h00 à 14h22 et je comptais 13 heures et quelque...

A priori, pas mal tout le monde fonctionne comme ça ici. Je suppose donc qu'on amortit, etc.

Écrit par : presso | mercredi, 27 janvier 2010

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Organisation industrielle classique, donc. À part travailler 7j/7 (moins les temps de maintenance), vous êtes au max des heures décemment oeuvrables. Merci pour ces éclaircissements.

Bon, je vais céder aux sollicitations canines qui se font plus accentuées en allant prendre l'air (bien frais).

Écrit par : galuchon | mercredi, 27 janvier 2010

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Ah oui, hyper classique. Avant, mes boulots précédents, c'était les 2 douze... en alternant jour/nuit. (Je pourrais jamais faire ça! ) Il n'y a pas de quoi, sinon.

Ici l'air est encore chaud, tout à l'heure faisait +1!
Les sollicitations canines, j'aime bien ;-) Bonne promenade!

Écrit par : presso | mercredi, 27 janvier 2010

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