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lundi, 21 mars 2011

Insupportable!

Je vois pas d'autre mot pour décrire la chose.

Juste pas comprendre et/ou pas savoir, je le vis pas bien. Pour ne pas dire très mal. Et encore, là, perso, je vais bien. Hyper bien même. Imaginez ce que ce serait si j'étais dans un down facon vendredi soir! Parce que, déjà là, je trouve ca angoissant...

C'est bizarre parce que je m'inquiète plus pour "lui" que pour moi. Là, de toute facon, je pense que le "nous" a sombré, quoi qu'il en dise, même si ca m'emmerde royalement. Mais, dans une philosophie de prendre les choses moins au tragique etc., je pense qu'il est judicieux d'au moins penser à éliminer les sources de bouleversements. Donc, ouais, plus "jamais" (faut jamais dire jamais mais bon) ca. Je suis pas un yo-yo à qui on fait faire un coup tout loin, un coup tout près!

Je repense à un truc que F. me disait pour faire le bilan d'une relation... Et bien quelqu'un qui me fait beaucoup pleurer 2 fois en 2 mois, pour "rien" (que ce soit un sms mal expédié et me faire poireauter quelques semaines avec les conséquences que l'on sait ou "je te quitte mais en fait non" à 24 heures d'intervalle), je ne pense pas que ce soit miser sur un bon cheval (j'entends Romain qui applaudit quelque part), même si les moments qu'on a passés ensemble étaient vraiment très chouette... Remarquez, avec cette grille d'évaluation, j'aurais du faire une croix sur bfc depuis euh ben 3 ans plutôt que 3 mois, mais bon, j'apprends quand même. Bref, je pense que les rechutes sont possibles. Mais une partie de l'attrait (purement égoïste) qu'avait le bonhomme sur moi était basé sur le fait qu'il disait vouloir faire attention à moi. Et là, le charme est un peu rompu car c'est plutôt loupé globalement, il me semble... à part peut-être si on considère que je grandis peut-être un peu grâce à ca et que je prends soin de moi moi même, comme une grande.

En même temps, en repensant au correspondant qui me raconte tout de suite les soucis avec son ex, je me demande si, en vieillissant (argh!), on est pas de plus en plus "endommagé" par diverses choses, tous, chacun dans notre coin, et qu'un moment donné, à un âge "avancé" comme le mien, les chances de se retrouver élément pas trop cabossé avec un autre élément pas encore disjoncté ne s'amenuisent pas fortement...

Moi même, je ne pense pas être un cadeau tout le temps, avec mes angoisses plus ou moins irraisonnées, ma réactivité parfois incontrôlable et mon mutisme sur certians trucs. Et même le rata***, avec 10 ans de moins, il semble déjà pas mal atteint (ce qui, compte tenu, de son passif familial, n'est pas franchement surprenant...)... Donc, est-ce qui faut pas accepter un taux de défauts chez l'autre qui soit supérieur au 6-sigma tant recherché (ouais c'est savant là. On comprend pourquoi ex-job voulait me faire ceinture noire en la matière!) (mais bon, c'est aussi un peu pour contrebalancer les choses car là je me sens vraiment facon Sex and the City (du temps où c'était bien) avec Carrie qui écrit sur son ordi, argh! Je veux donc affirmer mon existence industrialiste parce que Chanel and co. ne passent pas par moi...)? Bon après, faut aussi réfléchir pour fixer un taux de défectuosité entre l'optimal et l'acceptable. Ou le tolérable, comme disait le british en chef... Pas simple?

Alors voila la question : le taux de défectuosités du rata*** (rataraté?) est-il tolérable selon mes spécifications? Et l'inverse aussi d'ailleurs!

Commentaires

J'avoue que ça me fait bien marrer de voir la façon dont tu poses le problème...

Et c'est plutôt correct me semble comme équation... Même si je suis pas sûr que tu ais pris en compte le coefficient de pondération "retour-au-naturel". En fait il s'applique au début d'une relation car si l'individu A a découvert l'individu B d'une façon trop superficielle (taux de découverte C) alors le taux de défectuosité proposé par l'individu A est quasi systématiquement incorrect. L'individu B pouvant mettre en place des stratégies diverses pour séduire/compenser/etc. Donc moi je serai toi je penserais à appliquer ce coefficient de pondération de cette façon : C* Coef. ran = D soit le taux de découverte secondaire ;-)

Écrit par : F. | lundi, 21 mars 2011

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Je suis assez contente de mon analogie je dois dire ;-) Oh et puis faut que j'intellectualise le truc parce que de minute en minute la moutarde me monte au nez, argh!

Alors je suis assez d'accord avec ton approche en général.

Par contre, dans le cas présent, étant donné que le rata*** est assez cash et brut de décoffrage (si tu savais) (mais pas dans un sens "violent", je te reconfirme) (à part psychologiquement les derniers temps) (ou c'est moi qui suis (trop) sensible peut-être?) (sinon, il est doux comme un agneau même s'il joue les gros bras (et me broie la main (à ma demande presque))) et surtout SURTOUT vu nos derniers échanges, j'ai l'impression qu'on a largement dépassé le cap séduction...

Ou alors, vraiment, s'il croit que CA c'est séduisant, va falloir que je lui explique 2-3 trucs en plus des 150 mille que j'ai déjà envie de lui dire droit dans le blanc des yeux (et pas dans un contexte de rapprochement romantique, hein, pas du tout même, juste histoire qu'il me comprenne TRÈS TRÈS bien et ne se laisse pas distraire par d'autres influences extérieures parce que je répèterai pas 2 fois!)...

Écrit par : presso | lundi, 21 mars 2011

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c'est pour ça qu'il faut bien vérifier les Cpk !

Écrit par : Romain | lundi, 21 mars 2011

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Ho ho, on sent le pro ;-)
Encore faut-il trouver les specs limites pour vérifier si on est pile au centre ou pas...

Écrit par : presso | lundi, 21 mars 2011

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