dimanche, 03 avril 2011
Hugh, épouse-moi!
J'ai pas trouvé la bonne version, là c'est l'uruguayenne mais bon, l'idée y est.
Je m'affligeais un peu pour ce pauvre Hugh, obligé de danser avec une chaise de jardin (tout est monté chez moi de ce coté là)... Mais je dois dire que son petit lever de sourcil à la fin ne manque malgré tout jamais de m'émouvoir...
Pas au point de vouloir boire du Lipton machin. Parce que c'est sucrasse comme pas 2. Parce que c'est à cause de ce breuvage infâme qu'en France on ne connait plus le thé glacé mais le "ice tea" seulement. Parce que maintenant je n'aime que celui que le rata*** m'a fait découvrir, je sais plus lequel (tu parles comme je suis une bonne pubeuse!) (Vittel? Volvic?) (Il y a bien un V je pense), thé vert menthe, pas mal, pas trop sucré. Et puis, en plus, j'en bois presque jamais de ces trucs.
Donc en vous cherchant la pub, je suis tombée sur une autre... Où je n'avais pas reconnu Hugh (malgré le cup du magazine avec son nom écrit en gros dessus). Mais dont l'élégance du danseur me plaisait bien néanmoins. Le da nseur aussi hein. La musique itou. ET ben oui, c'est lui. Mais je crois que je préfère la version courte qui se passe juste dans le hall. Que je trouve pas, zut.
Si après ça, vous avez pas soif et que je suis pas commanditée par Lipton (menfin s'ils lisent pas ce que je dis de leur boisson), je sais plus quoi faire... Menfin je me contenterai d'une demande en mariage de Hugh dans le fond.
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Sinon je sais pourquoi je voulais parler de saut vendredi.
C'est grâce à GPman. Il s'extasiait sur le petit dessinateur en salopette. J'ai dit qu'on avait sauté le printemps pour aterrir direct en été. Il me rajoute qu'on avait aussi sauté l'hiver. Pas faux. Mais il cru bon de conclure de la sorte "oh mais il y aussi plein d'autres choses qu'on peut aussi sauter" d'un air finaud (qui le quitte rarement). Il a continué dans cette veine avec mon voisin, j'ai encore les oreilles qui ont saigné un peu... Mais j'ai oublié les détails dont je comptais sûrement vous abreuver à l'origine. Faudra se contenter de ça.
Palpitant, hein.
Ouais, je vais manger une orange du coup pour me remettre de tout ça.
13:22 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé, Mes "chers" collègues, tout un poème, Nourritures terrestres et célestes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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