Tous sauf un

semblent reconnaitre mes qualités exceptionnelles, tiens ;-)

Le seul qui ne semble pas adhérer au truc est pourtant celui qui les a vues de plus près à l'oeuvre, mes qualités (ou ma grande connerie, c'est selon le point de vue...)...

J'aime bien le breton, même si ses névroses me stressent et m'empêchent de considérer quoi que ce soit entre nous. Je lui mène la vie dure, j'arrête pas de le taquiner avec un certain esprit, je dois dire, j'adorerais recevoir des mails comme les miens (je suis affreusement modeste en prime), enfin sauf si j'avais ses visées à mon endroit, mais il reste stoïque (voire maso) (quoique pas voire du tout, il EST maso) (ce qui explique qu'il aime mes mails) (et moi) et continue de louer mon humour... Mais pas que! Oui, selon lui, j'apparais et tout le monde tombe comme des mouches ce qui est loin, trèèèèèèès loin d'être le cas. Mais aussi, ben voici, texto :

Ouais ben hein, ça a beau être "intéressé" comme dirait Carlos, je ne suis pas dupe, mais ça fait plaisir à lire, surtout dans le contexte dans lequel je me sens depuis janvier (ou octobre!)...

Et je mérite des gens vifs d'esprit! Oui parce que sinon... je m'ennuie! Ex : le quidam était pas con, mais chiant, trop imbu de ses trucs, trop à s'écouter causer... Je pouvais pas résister à le pousser dans ses retranchements, à le bousculer un peu (notamment quand il parlait éducation fille/garçon, argh!) même si je savais que ça relançait la conversation pendant une heure ou 2... Dur choix entre être spirituelle et sauver son oreille de l'apoplexie...

Sinon, ça se confirme, je crois que je grandis! Oh pas sur tous les plans mais sur certains, oui.

Parce que là je vois les machins "dernière tendance mode" blabla des magazines et oui, je veux bien jeter un coup d'oeil, mais je me vois pas pleurnicher parce que ça m'ira jamais ou balancer mon style à moi (bien que flou et hybride, hein) pour faire comme les tops du jour. Et l'air de rien, ça décontracte drôlement de le constater mais surtout de le faire sans complexe! Confiance en soi, quand tu nous tiens, tu nous lâches (presque) plus.