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lundi, 01 octobre 2012

Plus ça change...

plus c'est pareil!

Alors j'ai mes meubles... mais aussi eu droit à plusieurs crises donc 2 en présence lointaine mais audible de collègues qui en me voyant de retour en train de fulminer (la 2ème fois j'ai raccroché en disant "connard"!) s'inquiétaient. Ils m'ont offert un kawa pour me remettre.

Mais ma mère me dit que c'est plutôt positif vu ce que je lui en ai dit. Qu'il veut visiblement pas lâcher vraiment l'affaire même s'il me dit que là il laisse l'appart.

Ce que j'adore c,est qu'il a dit que pour mon aide diverse, il s'était senti obligé d'accepter, genre il avait pas eu le choix, la bonne blague. J'Ai pas eu beaucoup besoin d'insister... et il y a pas mal de choses initiées par lui ;-) D'autant plus que là il disait vraiment pas non (à un point qui m'a mise pas à l'aise) au coup de pouce que je proposais. Le seul hic c'était que je finissais trop tard. Parce qu'il faudrait que je prennne des heures de congé pour lui en prime en plus... ben voyons. La maladie a bon dos, hein.

Demain, 7 doigts de la main. Mais mercredi je remplis mes coffres. Ça va faire changement même si je me retrouve encore avec mes montagnes de linge à laver. Parce qu'il avait "oublié" les joints... bien sûr!

Mais comment je peux avoir encore des sentiments pour un type pareil, qui brandit son cancer façon concours, qui gueule dans mon couloir pour m'embarasser face aux voisins, qui a son téléphone qui ressucite pour me dire des choses désagréables...

J'ai sorti l'estocade : en disant que bravo de faire honneur à ton grand-père dont tu m'avais donné la médaille de survivant des camps en me disant que tu serais toujours là pour moi. Soit disant que c'était la phrase de trop, que j'attaquais son grand-père. Et non, mon gars, c'est toi que j'attaque!

Mais comme par hasard après, il l'a plus ramené là dessus. Il doit pas se sentir si bien que ça sur le sujet.

Je vous passe le sms où apparemment maintenant que j'ai un copain, je veux plus l'aider, bouhouhou! Il parle de Léo là ou de l'espagnol? Oh et puis figurez-vous qu'on me reproche de pas être rentrée pile à la bonne heure samedi soir... Euh... Et moi combien de fois on m'a fait poireauter??? Mais bon lui il a le cancer vous comprenez...

Il a le chic pour lancer de grands trucs comme quoi plus jamais et après, il revient l'air de rien, vu qu'il peut peser ce qu'il a à perdre.

Je vais faire la liste de ce que j'ai acheté pour lui, en exigeant le retour de tout, godasses foutues en prime, quitte à les foutre à la poubelle, dans le cas où ce soit vraiment la fin parce que merde à la fin.

22:55 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...) | Lien permanent | Commentaires (2) | |

Commentaires

... à la fin.
Vraiment ?

Écrit par : galuchon | jeudi, 13 décembre 2012

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Lis la suite, tu verras bien ;-)

Écrit par : presso | jeudi, 13 décembre 2012

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