mardi, 02 décembre 2008
Once (upon a time)
Bon alors je suis actuellement en train de regarder Once, enfin c'est le générique, ça faisait longtemps que je voulais le faire et il y a 2-3 semaines en achetant Brotherhood ben j'ai vu Once, pas cher donc j'ai acheté... J'avais foutu le DVD n'importe où (comme le reste de mes affaires) bref je l'avais complètement oublié et je suis retombée dessus hier soir.
Là en rentrant j'ai écrit à la frangine, j'ai envoyé mes CV, j'aurais bien aimé avoir un mail intéressant à qui répondre mais rien du tout... Bref je me suis dit bon alors au lieu de me retaper Dexter une 3ème fois en 3 semaines (même si on ne s'en lasse presque pas!) ben allez hop, je vais voir Once.
Bon alors ben je suis un peu frustrée par la fin... Menfin ça ressemble un peu trop à la vie, paf des rendez-vous manqués, des rencontres qui t'amènent ailleurs mais qui s'arrêtent comme elles viennent... J'aime pas trop les choses bonnes qui changent... J'aime pas du tout plutôt! Surtout quand on se rend compte que c'était en fait super et qu'on a peut-être pas vraiment profité comme on aurait du parce qu'on réalisait pas que c'était si bien que ça... Trop dommage!
J'adore comme Glen Hansard regarde "girl" pendant qu'elle joue du piano, il a juste l'air très humain, gentil (mais pas dans un sens gnan gnan)...
Et puis il a une voix franchement chouette...
Quand il fait écouter l'enregistrement à son père qui ne rien du tout au début et dit que c'est "brilliant" et encourage son fils à partir pour Londres pour faire un "hit"...
Ah la fameuse chanson, je crois l'avoir déjà mise ici, je sais plus pourquoi mais je peux pas résister... Je ne me lasse pas de me la retaper, c'est plus pratique sur DVD que sur youtube, because le modem de la mort qui tue!
13:12 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : once, glen hansard, falling slowly, boy and girl, film, j'aime bien | |
dimanche, 07 septembre 2008
Control
Bon ceci est du réchauffé, j'ai vu le film il y a quoi? 3 semaines je crois, d'ailleurs zaviez peut-être remarqué que je parlais de Joy Division 2-3 fois ces derniers temps, non? Bref note j'avais écrite mais pas postée car je cherchais des photos, clips, etc. pour rendre le tout plus "funky"! Et puis j'ai oublié mais là je fais le ménage dans mes notes entamées (attendez vous d'ailleurs à encore plus de réchauffé les prochains jours), photo et clip j'ai trouvés alors je poste!
---------------------------------------------------
Hier j'ai regardé un dvd, Control, premier film d'Anton Corbijn, présenté à Cannes cette année sur la courte vie de Ian Curtis, le chanteur de Joy Division, en proie à des crises d'épilepsie mal traitées à grand coup de médocs qui le plongeaient dans la dépression alors que déjà ce n'était pas une nature très joyeuse. D'où le thème du contrôle, ou plutôt de sa perte, qui est centrale chez Joy Division et Ian Curtis... Impressionant d'ailleurs de constater comme leurs grands succès (She's lost control, Love will tear us apart, etc.) sont un reflet direct des drames de Curtis, j'avais pas réalisé à quel point avant de voir le film.
Le film est en noir et blanc (avec tout un nuancé de gris que je trouve superbe... je sais pas comment décrire mais ce n'est pas un noir et blanc banal, je trouve qu'on sent la patte de photographe d'Anton Corbijn), selon le réalisateur (et photographe de JD) tout ce qui a été vu sur eux était monochrome donc il ne se voyait pas du tout tourner en couleurs. Excellente décision, la photographie est infernalement (!!!) superbe, aussi mélancolique que que Curtis, l'esthétique du film est fantastique comme en témoigne l'affiche du film, prise à un moment où Ian commence à tomber (ou continue? Comme le dit la critique de Libé, Ian Curtis est incapable de légèreté en tout, ça aide pas à vivre, même quand tout va pas si mal!) dans une spirale infernale, l'image est très forte, très belle...
Sam Riley (j'avais écrit Ian Curtis au début, lapsus révélateur!!!) est génial, très beau dans sa souffrance, on croirait que le rôle a été écrit pour lui, et même sur lui à la limite, il y a une ressemblance physique indéniable, mais tout y est, le caractère, la gestuelle, la voix (car les acteurs interprètent vraiment les hits de Joy Division, rien que ça c'est déjà très impressionant et donne un réalisme déconcertant aux scènes sur scène si j'ose dire!!!) tout je vous dis enfin tout ce que j'en sais et tout ce que je peux imaginer, c'est déjà pas mal! N'ayant pas connu Joy Division du temps de leur existence (menfin j'étais née, mais pas très vieille, j'en ai aucun souvenir, mon trip c'était plutôt "Ça plane pour moi" à ce moment là, authentique, que je chantais apparemment en disant ça plaque à moi, j'étais vraiment pas vieille je précise!!!), je dois dire que maintenant l'image de l'acteur et du chanteur se confondent pour moi...
Bref j'ai beaucoup aimé ce film, très déchirant, particulièrement pour moi pour des raisons que je n'ai pas spécialement envie d'évoquer ici...
Rien que la douleur qu'on peut lire sur son visage quand on le "force" à aller sur scène (à 1 minute 6 secondes sur la bande annonce) me bouleverse... Et la séquence (trop courte vers 1'21'') où il baisse la tête dont vient l'affiche du film, je la trouve magnifique. Tout comme à 42 secondes quand le bus arrive sur un quai, j'adore! Bon ok j'arrête ici le catalogue... il y en aurait tant d'autres!
15:32 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé, Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : note réchauffée, control, joy division, ian curtis, anton corbijn, sam riley, film | |
mercredi, 19 mars 2008
Vraiment, j'aime bien
Bon , malgré tout je suis bien contente d'avoir vu Juno, dimanche soir. Ça m'a bien changé les idées même si la fin m'a un peu flinguée je me serai bien arrêtée après l'accouchement et basta, mais bon! c'est juste moi qui n'apprécie pas le spectacle du bonheur en ce moment, argh je vais finir aigrie si ça continue! Et puis je ne peux plus parler de certaines choses sur ce blog à cause d'une révélation malencontreuse au cours d'un moment de tristesse absolue, on ne m'y reprendra plus!
Par contre je me délecte de la bande originale. Amusant d'ailleurs car je l'ai bien aimé pendant le film mais sans plus, à part pour Superstar, voir il y a 2 jours. Mais là cette chanson, juste avant Superstar (quelle horreur d'ailleurs, j'ai réalisé que quand moi je la chante ça sonne plus Carpenters que Sonic Youth, shame on me!) justement si on écoute dans l'ordre il me semble bien, me plait beaucoup.
Il s'agit de Loose lips de Kimiya Dawson qui fait la continuité du film aves ses différentes chansons verbo-motrices tout simples, trop mignon, voici les paroles, un peu denses, non? Doit falloir travailler son souffle pour chanter tout ça en quoi 2 minutes et même pas 30 secondes!
loose lips might sink ships but loose kissess take trips
to san francisco, double dutch disco,
tech tv hottie, do it for scotty
do it for the living and do it for the dead
do it for the monsters under your bed
do it for the teenagers and do it for your mom
broken hearts hurt but they make us strong and
we won't stop until somebody calls the cops
and even then we'll start again and just pretend that
nothing ever happened
we won't stop until somebody calls the cops
and even then we'll start again and just pretend that
nothing ever happened
we're just dancing, we're just hugging,
singing, screaming, kissing, tugging
on the sleeve of how it used to be
how's it gonna be?
i'll drop kick russell stover, move into the starting over house
and know matt rouse and jest are watching me achieve my dreams
and we'll pray, all damn day, every day,
that all this shit our president has got us in will go away
while we strive to figure out a way we can survive
these trying times without losing our minds
so if you wanna burn yourself remember that I LOVE YOU
and if you wanna cut yourself remember that I LOVE YOU
and if you wanna kill yourself remember that I LOVE YOU
call me up before your dead, we can make some plans instead
send me an IM, i'll be your friend
shysters live from scheme to scheme and my 4th quarter pipe dreams
are seeming more and more worth fighting for
so i'll curate some situations, make my job a big vacation
and i'll say FUCK BUSH AND FUCK THIS WAR
my war paint is sharpie ink and i'll show you how much my shit stinks
and ask you what you think because your thoughts and words are powerful
they think we're disposable, well both my thumbs opposable
are spelled out on a double word and triple letter score
we won't stop until somebody calls the cops
and even then we'll start again and just pretend that
nothing ever happened
we won't stop until somebody calls the cops
and even then we'll start again and just pretend that
nothing ever happened
we're just dancing, we're just hugging,
singing, screaming, kissing, tugging
on the sleeve of how it used to be
Voila j'aime bien quoi!
23:42 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé, Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : juno, kimya dawson, loose lips, chanson, film, bande originale | |
lundi, 17 mars 2008
Désenchantée...
Tout est chaos
A côté
Tous mes idéaux : des mots abimés...
Plus rien n'a de sens, plus rien ne va.
Bon voila que j'en suis rendue à emprunter les mots de Mylène pour décrire mon état d'esprit. Je vous épargne la version chantée par mes soins, au cas où il me reste quelques lecteurs. Bref c'est la fin quoi... même si j'ai du mal, beaucoup de mal, à l'accepter!
Mais bon il a été gentil (Edit du 28 décembre 2009 : nan mais ça va pas!!! C'était un minimum, bordel!!!), je peux même pas le détester, il a quand même skypé 2 heures avec moi cet aprem alors que 50% du temps que je disais rien pour essayer de ravaler mes larmes, avec succès d'ailleurs je suis trop fière... À moins que ce soit par déshydratation intense, que de larmes versées depuis samedi matin et j'ai presque rien bu et rien mangé (un bol de céréales hier et 6 crackers + quelques morceaux de fruits aujourd'hui, je vais complété avec un peu de saumon fumé et un petit verre de quelque chose de fort!)... En gros on reste amis, on continue à s'écrire (moins souvent peut-être bien que j'ai déjà commencé tout de suite après avoir "raccroché" de skype)... à voir comment ça s'applique dans la réalité? Ça je sais pas trop! Ça dépendra largement de comment ça évolue pour moi je suppose.
Je sais pas comment je vais faire au travail demain, je vais inventer une histoire pour expliquer la gueule que je vais tirer, j'ai déjà une idée mais je vous dis rien, ça pourrait choquer les âmes sensibles et on sait jamais qui nous lit...
Je suis allée voir Juno tout à l'heure pour me changer les idées (parce que comme je lui disais, je suis en train de lire le 3ème Harry Potter avec les "dementors" qui aspirent toute parcelle de joie etc. et bien j'ai l'impression de les avoir fréquentés assidument ces 2 derniers jours ceux-là!), assez drôle c'est vrai, mignon comme tout, l'actrice Ellen Page trop adorable, vraiment super dans ce rôle, d'un naturel confondant, si j'ai une fille un jour, je veux la même, ok moins le môme à 16 ans je vous l'accorde, la musique parfait, bon il y a que la fin qui m'a déprimée, ça se termine trop bien et en ce moment les happy end, aux chiottes! Et puis ça parlait trop de guitares, ça m'a rappelé l'autre... Mais j'ai réussi à pas pleurer dans le métro mais je tirais une tête de 3 pieds de long! Par contre, j'ai eu mon weirdo du jour, qui m'a trouvée très grande! Ça c'est arrêté là heureusement, je ne me sens pas d'humeur à me faire baratiner par des tarés en ce moment...
07:39 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé, La saga du germain | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : c'est la fin..., saga du germain, film, cinéma, juno | |
mercredi, 12 mars 2008
Ce soir, j'ai vu... Interview
Interview est un film de Steve Buscemi avec lui-même et Sienna Miller. Si j'ai bien compris, il s'Agit d'un remake d'un film de Theo van Gogh (oui il y a un lien avec Vincent du même nom) qui s'est fait assassiné de façon particulièrement atroce en 2004 aux Pays-Bas par un militant islamiste en raison de ses positions publiques sur l'Islam... Il a d'ailleurs fait un court-métrage sur la soumission des femmes dans les pays islamiques avec Ayaan Hirsi Ali, alors députée néerlandaise mais recueuillie il y a peu en France, ce qui leur a valu pas mal de menaces et probablement son meurtre quelques mois plus tard.
Tout ceci est plus ou moins connu vu le bruit que l'assassinat fit à l'époque. Ce que je ne savais pas c'est que Theo van Gogh avait réalisé autant de films! Et donc que Steve Buscemi, acteur fétiche des frères Cohen (aaaah dans Fargo) et de Tarantino (mais j'Ai pas vu Reservoir Dogs, je peux pas en dire plus), reprend un scenario de Theo (on parle même d'une trilogie Theo???), lui dédicacant son film d'Ailleurs 2 fois plutôt qu'une, par écrit au début du générique et avec la signature d'un autographe à un certain Theodore mais Theo ça ira aussi.
Interview est un duel d'acteurs cruel, un jeu de chat et de la souris où la souris n'est pas toujours celle qu'on pense. En gros, un journaliste politique avéré est pris pour interviewer la vedette de l'heure de la série étatsunienne cucul du moment et de "slasher movies" typiques caractéristisés plus par les poitrines siliconées que les litres d'hémoglobine semble-t-il. ALors que l'interview part d'un mauvais pied, le journaliste n'est pas content d'être là alors qu'il loupe un méga scandale à Washington (hmmmmmmmm écho avec l'actualité de ces derniers jours?), il n'est pas préparé et le montre de façon peu aimable alors que la vedette, en bonne vedette, arrive une heure en retard alors qu'elle habite à 2 pas. Bref ça tourne court mais des circonstances un peu brutales vont faire que les 2 se retrouvent en tête à tête chez la belle Katja. S'ensuit une joute assez perverse où chacun essaie d'utiliser les faiblesses de l'autre, le tout sur un scénario efficace qui brise la monotonie du huis-clos (quoi qu'un huis clos dans un immense loft comme ça c'Est quand vous voulez avec moi) entre confessions, discussion sur les métiers d'acteur et de journaliste, sur la célébrité, sur l'art, alcool à gogo, cigarettes allumées avec classe, lignes de coke, tension sexuelle et j'en passe! Le tout avec une chute intense qui sans être spectaculaire, on sort à peine du huis clos, est drôlement habile et nous pose à nous demander qui dit vrai qui dit faux???
La mise en scène est assez classique mais juste assez appuyée et surtout très efficace, jouant avec art des codes du huis clos dont on ne sens pas les limites, Steve a bien appris de ses amis réalisateurs et l'interprétation est impeccable! STeve Buscemi est juste comme d'habitude mais Sienna Miller que je n'adore pas du tout pourtant (la première et dernière fois que je l'avais vue c'était dans Stardust où elle joue à la petite gourde opportuniste avec assez de talent) est assez épatante dans le rôle de la pauvre petite star riche, malheureuse et assez imprévisible!
À voir!
12:29 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : interview, steve buscemi, sienna miller, theo van gogh, huis clos, film, cinéma | |
jeudi, 21 février 2008
Sans ordre, ni méthode
Bon alors, niveau inspiration moyen, donc on va faire du vrac...
- Pour moi le titre est vital! Enfin moins là que dans un autre endroit où je m'exprime à découvert où le fait de commenter quelque chose ou pas était conditionné par la valeur du titre (enfin à mes yeux),`ah dommage, j'aurai pu vous sortir une de mes perles (qui a même été publié), mon titre passera à la postérité ou à défaut, au recyclage! mais bon avec cette info vitale, trop facile de me retracer alors tant pis vous saurez jamais, et si vous saviez ce que vous manquez vous vous en remettriez difficilement...
- Bref, parlant de titre, j'en avais un qui me plaisait mais qui n'est plus possible à utiliser puisqu'il aurait servi à "fêter" les 2 semaines de ce blog alors donc c'était "Ce blog avait 2 semaines...". Oui une référence à ce cher Victor H. qui m'A quand même emmerdé à bien des occases, mais bon il a quand même quelques moments de bravoure que je qualifierai de... "pas pire", comme "ce siècle avait 2 ans" que j'Aime beaucoup car c'est mon cher grand-père qui me l'a appris et qui l'avait fait sien, pour le vingtième siècle! Bah si j'y pense, je récupèrerai pour "Ce blog avait 2 mois" (si je dure jusque là!) parce que le 2 ans là ça me semble bien lointain!!!
- La malade imaginaire c'est moi! Et oui j'ai joué ce rôle glorieux en 5ème avec ma "meilleure" amie qui se débrouillait toujours par un heureux hasard pour avoir le beau rôle (au propre comme au figuré) et moi triple gourde je laissais faire. Mais je pense pas qu'elle ait vraiment bien choisi pour le malade, ok point de vue costume et maquillage, Toinette c'est sûr que c'est plus sympa, mais je pense que mon rôle était un vrau challenge au moins, un rôle de composition ça c'est sûr!
- Mais bon ça vous passionne surement ma vaste expérience théâtrale sauf que je suis vraiment une malade imaginaire. Depuis lundi j'Ai le bras gauche vaguement engourdi et j'ai eu le malheur d'en parler au mentor qui me dit tout de suite que c'est peut-être un avant-symptome d'ACV! Du coup je flippe depuis 2 jours (mais je vais pas chez le médecin remarquez l'intelligence suprême!), mais bon je crois que je vais survivre... si l'angoisse ne me file pas une crise cardiaque avant! En tout cas, si je n'écris plus dans les prochains jours, vous saurez pourquoi!
- Vu hier, "Taps", un film de 1981, avec de très jeunes Sean Penn (en militaire pacifiste, on se refait pas), Tom Cruise (en béret rouge taré, une secte en appelle une autre!) et Timothy Hutton (mignon en cadet major mais il a fait quoi par la suite? je ne saurai pas nommer quoique ce soit...). Sont tarés ces amerloques, envoyer des enfants de 12 à 18 ans à l'école militaire et après s'étonner qu'ils prennent les armes pour défendre leur école. Un film au message douteux qui doute de lui-même... C'est la faute à Tom Cruise quoi!
- Ah oui un autre truc qui m'énerve en France : la fascination pour tout ce qui est américain. OK pas pour Bush (sauf Sarko l'excité en sale roquet qui va remplacer Blair le toutou de poche) en général, mais pour le modèle amaricain, les grands espaces, bla bla bla! Tout d'abord je m'insurge sur l'emploi du mot "américain" qui par définition veut dire qui vient de l'Amérique, hors je viens de l'Amérique, un argentin aussi, comme les mexicains, etc. Me souvient avoir vu en France une pub qui parlait de l'Amérique et qui ignorait les 3 quarts du territoire et se concentrait sur les "states", ça m'avait choqué à l'époque! Mais apprendre la doctrine de Monroe en terminale je pense et son "l'Amérique aux américains" extensible ou pas selon les besoins m'avait rappelé cette pub et franchement crispé par son arrogance! Bref j'essaie de m'imposer à moi-même le mot "étatsunien" mais c'est pas facile, pourtant une de mes idoles l'utilise...
- Oui cette idole c'est Marie-France Bazzo, ex-animatrice de radio avec sa défunte émission Indicatif présent, qui était vraiment super! Et cette femme est franchement brillante, capable de idscuter de l'ordre mondial comme de vins en passant par les parfums. Elle me manque parce que bon son émission à la télé c'est son émission à la radio avec des caméras, ça me rappelle quand je suis allée assister (avec ferveur) à l'enregistrement de sa dernière radio, les larmes aux yeux, et avec plein de monde qui voulait aussi être là... Juste y penser ça me donne envie de me prendre le câble pour la regarder de temps en temps...
- Hmmmm, un petit coup sur le germain, si jamais il a pas le nouveau poste, il a quand même la perpective d'etre envoyé 2 mois dans une ville nordique où il a passé avec délices plusieurs mois en 2 coups. Ce serait vers septembre, soit quand je m'installerai en France si jamais je saute le pas, je sais pas s'il serait ravi que je vienne le voir là bas... j'aimerai pas être la rabat-joie de service, mais avec tout ce qu'il m'en a dit ben je suis intriguée alors s'il y va, va falloir que je tâte le terrain pour voir??? Parait que sa compagnie ne veut plus envoyer d'employés non mariés parce que sur les 4 célibataires envoyés récemment, 2 sont restés pour des filles de là-bas (des blondes probablement, mais ouf le germain n'a pas de chance avec les blondes, il me l'a dit quand il me faisait languir, il avait le choix entre 3 blondes avec un ami en Germanie ou moi à Paris, l'a choisi la facilité of course (ce n'est qu'un homme après tout) en me disant qu'il allait sûrement le regretter, ce qu'il a fait d'ailleurs mais depuis de l'eau a coulé sous les ponts, et ça tombe bien pour moi qu'on peut qualifier de beaucoup de choses mais pas d'être blonde de cheveux), et 2 sont rentrés sagement dont le mien (même si à cette époque ben je ne sentais vraiment aucun droit de propriété sur sa personne), alors j'aimerai pas qu'il fasse parti du lot de la prochaine fournée des "conquis par une nordique" quoi! Quoique je m'inquiète pas trop, il est très séduisant (rhaaaaa les yeux bleu-vert, rhaaaaa les fossettes, aaaaaaaargh ses yeux quand il rit, slurp son mètre 89 et ses mains, bon j'arrête je m'emballe un peu là non?) mais il est un peu empoté si j'en juge par son attitude avec moi, pas plus mal car la nordique a intéret à s'accrocher si elle veut vraiment lui mettre le grappin dessus. Hmmmmmm j'ai la solution, je vais le demander en mariage puisque qu,aucun divorce n'a été signalé parmi les envoyés mariés ;-) ou lui donner des cours de français intensif pour m'assurer qu'il obtienne l'autre poste... quoique là bas aussi doit y avoir pas mal de blondes, mais moins de sauna!
- Questions existentielles : est-ce que mes notes sont trop longues? Est-ce que je devrais condenser plus? Faire plus court? Me poser moins de questions? Écrire moins? Arrêter de me faire du mal en pensant au pire? oui ça c'est une bonne réolution du mois de mars non?
Allez je vous laisse à mes réflexions (chanceux, va)...
07:10 Publié dans En vrac... ou en ordre? | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Titre, malade imaginaire, film, Taps, américain vs. étatsunien, Marie-France Bazzo, saga du germain | |
lundi, 18 février 2008
JR, c'était de la gnognotte!
Quand je pense que JR faisait trembler dans les chaumières et à Dallas par sa grande cruauté, son égoïsme, sa cupidité, sa façon de traiter sa famille et consorts, et bien qu'il aille se rhabiller et voir Daniel Day Lewis (mazette ça m'a rappelé ses jeunes années en dernier des Mohicans, miam mian, et dans "In the name of the father", trop beau ce film!) en Daniel Plainview dans "There will be blood", parce que là on est quand même dans une autre catégorie! M. Plainview n'hésite pas à mettre la main à la pâte c'est le moins qu'on puisse dire, et les gants blancs on oublie ça car c'est salissant de faire la prospection de pétrole...
Bref un film à voir et qui me laisse pour le moment à court de mots pour en parler, ce qui n'arrive pas souvent! J'aime Paul Thomas Anderson depuis Magnolia, superbe film de 3 heures que j'avais vu à Lyon dans une toute petite salle et dont j'étais sortie ébranlée, notamment par Tom Cruise, tout une performance dans Magnolia faut le rappeler! Mais là PTA fait dans un tout autre genre bien qu'aussi brillamment. Et où on voit que Bush Jr. n'a rien inventé avec les prédicateurs (qui n'ont vraiment rien à envier aux autres extrémistes de ce monde!) et le pétrole!
À voir donc et j'espère de tout coeur que Daniel Day Lewis, un acteur rare, aura l'Oscar parce que je vois mal comment on peut lui arriver à la cheville (remarquez je me rappelle plus du tout qui d'autre est en lice... je ne suis donc pas tout à fait impartiale)!
04:11 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Daniel Day Lewis, There will be blood, Paul Thomas Anderson, pétrole, film | |
lundi, 11 février 2008
Très choli le jeune homme au pair!
Bon changement de programme! Je comptais faire une note climatique, ça viendra peut-être, mais je viens tout juste de voir un film très sympathique, le générique n'est même pas terminé que je saute sur le clavier.
Il s'agit d'un film suisse, Jeune homme, de Christoph Schaub. Prémisse : Sébastien, le jeune homme du titre (très mignon dans le genre jeune gourgandin pas encore très bien dégrossi, mais ça va venir) originaired'un petit bled près de Zurich et vient de se faire engager comme jeune homme au pair à Genève pour améliorer son français. Pour ses 18 ans, il reçoit 3 cadeaux, un rasoir électrique de la part de son père (qui pense qu'il en aura besoin un jour peut-être car Sebastien a la peau douce comme celle d'un bébé, et ça c'est pas moi qui vous le dit), une sorte de couverture avec plein de trucs cousus dessus résumant son enfance de la part de sa mère et un livre sur le kama sutra (apparemment la page 25 est à essayer!) de la part de sa soeur... Je vous laisse deviner ce qui lui sera le plus utile à GEnève!
Jeune homme au pair catastrophique au début il arrivera petit à petit à se faire adopter par toute sa nouvelle famille (père volage qui se tape la fille au pair qu'il aurait préférée, mère psycho-rigide, sarcastique mais fragile, fille complexée et fils invisible) d'abord par ses talents culinaires époustouflants et grâce à son sens de l'observation et de la psychologie. Amusant de voir le jeune blanc-bec étudiant frénétiquement son kama sutra (qu'il mettra en pratique grâce à la voisine aux moeurs légères qui qualifiera la séance d'acrobatique) et apprenant la vie dans la chambre rose bonbon des "filles au pair", tout en réglant une crise conjugale, se réconciliant avec son père et en trouvant sa voie. Voila j'en dis pas plus, l'ensemble est assez prévisible mais éminement sympathique, je ne trouve pas de meilleur qualificatif, et beaucoup mieux ficelé que le "journal d'une nanny" en version féminine que j'ai vu dans l'avion il y a un mois.
Bon et je dois dire qu'en prime le jeune acteur n'est pas désagréable du tout à regarder (sa séance de pose pour nu artistique, ah la la!) et son petit accent germain (combien de fois on le reprend pour "jolie, pas cholie!"?), miam miam, m'a rappelé les cours de français que je donne ces jours-ci... si je me fie à ses progrès linguistiques, j'ai bon espoir pour mon élève à moi, comment ça, c'est juste du cinéma???
03:45 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé, Cours de langues | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, suisse, saga du germain, cours de français | |