mercredi, 19 novembre 2008
En gros...
Je raffole pas des films muets... Même quand c'est du Zola, même quand c'est du Renoir... Faut dire que j'écoutais ça en fond musical, c'est d'actualité en période électorale (je sais pas si c'est voulu mais je vois quelques ressemblances avec Jean Charest, notre premier ministre du Québec depuis 5 ans, et je l'aime po!), mais peut-être pas tout à fait dans le ton de la montée et de la déchéance de Nana (la fille de Gervaise! ah oui j'ai fait un carnage de mouches mais continuons le combat!) :
Et oui un petit coup de Cowboys fringants, avouez que ça fait longtemps! Et puis j'ai pas trop d'inspiration, sérieux mal de tête depuis l'après-midi, la seule chose qui le fasse passer c'est faire des permis de travail étrangement... Oui c'est grave j'avoue! C'est comme Precious pour décrire mon travail... la bonne blague! euuuuuuuuh mouais c'est tout ce que je peux dire! en plus je suis à 2 notes de la numéro 500 (déjà), je voudrais trouver un concept, pas évident du tout... Tiens! Il ne manque que 2 commentaires avant d'en faire 100, ça serait chouette la même journée (appel du pied hyper subtil je sais)...
Vous savez où j'ai trouvé les paroles??? Sur un site allemand! Zont pas tous mauvais goût faut croire...
Monsieur
by Les Cowboys Fringants
Album: L'expédition
Un ami médecin lui a même prescrit des calmants
Tantôt, lorsqu'il sortira, il devra faire semblant
Que tout est sous contrôle et puis le dire en souriant
Même si les sondages le placent bon dernier
Et que les scandales vont finir par le couler
Il y a la grève générale qui ne fait qu'empirer
Tous les syndicats qui ne veulent pas collaborer
Et puis comme si la merde n'était pas assez pognée
Son ministre de la santé vient de démissionner
Ce salaud vient de lui faire le coup de Judas
Il devra garder son calme devant les médias
Quand Monsieur met son veston, il met sa carapace
Une fois nouée la cravate, tout est beau en surface
Sous les projecteurs il sourira à pleines dents
Affichant toujours son petit air confiant
Monsieur arborait maintenant les cheveux grisonnants
Durant son mandat, il avait vieilli de vingt ans
Il se souv'nait de tout le travail qu'il avait fait
Et des gens qu'il a tassé pour se rendre au sommet
Y a tellement de promesses qu'il n'a pas tenues
Il a si bien menti que parfois même il s'est cru
Seul dans son bureau, il méditait sur le pouvoir
Lui qui aurait aimé changer le cours de l'Histoire
Mais les décisions ont souvent le sceau des dollars
On est toujours le pantin de quelqu'un quelque part
En soirée, il doit se rendre pour lire une adresse
À un puissant ami de la chambre de commerce
Quand Monsieur met son veston, il met sa carapace
Une fois nouée la cravate, tout est beau en surface
Sous les projecteurs il sourira à pleines dents
Affichant toujours son petit air charmant
Monsieur maintenant est dans ses derniers retranchements
Dans les coulisses déjà, quelques noms sont sur les rangs
Les médias parlent de sa probable démission
Avec lui, aucune chance de remporter l'élection
Et ça grenouille dans les couloirs du Parlement
Les dauphins s'informent du roi agonisant
Mais Monsieur n'est pas amer, il sait ce qui l'attend
Il a lui-même été hypocrite si souvent
Des tapes dans le dos qui auront l'effet d'un poignard
Et le concert d'éloges de ses amis charognards
Allez, qu'on en finisse, il est grand temps que ça cesse !
Tout est mis en place pour la conférence de presse
Quand Monsieur met son veston, il met sa carapace
Une fois nouée la cravate, tout est beau en surface
Sous les projecteurs il sourira à pleines dents
Affichant toujours son petit air confiant
Quand Monsieur met son veston, il met sa carapace
Une fois nouée la cravate, tout est beau en surface
Sous les projecteurs il sourira à pleines dents
Affichant toujours son petit air charmant
08:02 Publié dans Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les cowboys fringants, monsieur, politique, élections provinciales, j'aime pas charest, mal à la tête, presque note 500! | |
dimanche, 16 novembre 2008
Ah, parce qu'il faut un titre?
Bon, pas le temps ni l'inspiration pour expliquer à vous comme à moi pourquoi je suis parfaite (ou presque parce que sinon c'est platte à mort!)... Je dois faire mon pain perdu (que j'ai pas fait hier finalement) puis ma vaisselle, puis je dois aller au centre-ville trouver une radio à ondes courtes, puis au cinéma, je dois poser un tableau tout à fait dans mes couleurs de salon (du crème à l'orange-rouge intense) et dans le thème promenade dans le désert ou dans un pays chaud, avec des chameaux, des néléphants, des girafes, deux dromadaires et un âne (ça c'est une reproduction de Paul Klee, j'adore!) et ce cadre traine chez moi depuis pffffffff plus d'un an! Je pense que je l'avais acheté à ma dernière visite Ikea, juste avant que big fat connard vienne chez moi commencer à me briser le coeur, c'est dire si c'est vieux! Mais l'effet va être terrible, rien de moins, il est temps... même si c'est me fait un peu mal de percer mon mur à moi. On se moque pas!!! C'est ça que j'aimais en tant que locataire, faire des trous dans un mur, je m'en foutais, c'était pas à moi, je pourrai toujours reboucher le tout tant bien que mal (plus mal que bien mais après moi le déluge!)... Mais maintenant, je pèse et repèse ma décision pendant un an avant de me lancer, c'est grave!
Bref je pense que j'ai récupéré ceci là, mais je suis plus trop sûre, alors pas taper si c'est pas ça! J'aime bien ce genre de trucs, je sais pas pourquoi...
1/ Comment vous sentez-vous aujourd'hui?
El pueblo unido jamas sera vencido - Inti Illamini (À voir là par un autre groupe)
Apparemment j'ai l'âme révoltée et militante... et sudaméricaine! Mais sinon j'avoue j'adore les chants révolutionnaires en général. Aaaaaaah L'Internationale...
2/ Comment les autres vous voient?
Time has come again - The Last shadow puppets (À écouter là)
Time has come again for what??? Pour me voir??? Alors oui je suis assez d'accord.
3/ Quelle est l'histoire de votre vie?
That night in Amsterdam - The blue seeds (À écouter là)
Ouais bon ben faudrait déjà que je commence par y aller une fois... (Je veux rien dire mais je connais l'un d'entre eux, vi vi vi! Menfin je pense pas lui avoir inspiré de chanson... pour une fois (car je suis muse profesionnelle, si si)! Malgré la scène que quelqu'un m'avait faite ensuite...)
4/ Quelle chanson pour votre enterrement?
Anyone else but you - The Moldy peaches (À écouter là)
Anyone else but me serait plus approprié mais ça me semble rapé à ce stade-ci des choses!
5/ Comment allez-vous de l'avant dans la vie?
Too drunk to fuck - Nouvelle vague ou Dead Kennedys (À écouter là ou là)
Ça laisse rêveur, non?
6/ Comment être encore plus heureuse?
Only the truth - The last shadow puppets (À écouter là)
Mouais et pourquoi pas la rengaine sur la beauté intérieure tant qu'on y est?
7/ Quelle est la meilleure chose qui vous soit arrivée dans la vie?
Le petit voisin - Jeanne Cherhal (À écouter là)
Ah ben je l'ai pas encore rencontré lui alors... À moins qu'on parle de celui d'en face? J'avais l'impression qu'il était jamais là mais en fait il vit avec ses stores fermés hermétiquement, nuit et jour, j'ai vu de la lumière filtrer l'autre soir. Bref sachant ça si c'est la meilleure chose qui m'arrive euh ben j'aimerais pas savoir ce qui serait le pire!
8/ Pour décrire ce qui vous ravit?
Perhaps, perhaps, perhaps - Cake (À écouter là)
Ah oui l'incertitude me ravit, c'est bien clair... Même ça big fat connard me l'a pas dit!
9/ Votre boulot pour vous c'est...
Precious - Depeche Mode (À écouter là)
Autant dire que c'est ultra ironique dans ce cas là! (à moins que je vous joue la comédie depuis tous ces mois et que je prenne mon pied à mort tous les jours...) (ou pas)
10/ Que devriez-vous dire à votre boss?
So sorry - Feist (À écouter là)
Ça résume pas mal...
11/ Pour vous, l'amour c'est?
15 step - Radiohead (À écouter là)
Autant dire qu'on est pas sorti de l'auberge! D'après Brotherhood j'ai appris que pour les Alcooliques anonymes (pas du luxe selon le numéro 5) il n'y avait que 12 étapes, c'est pas juste!
12/ Pour vous, la sexualité ça doit être?
The view from the afternoon - Arctic Monkeys (À écouter là)
Euh... La vue est belle c'est ça? Enfin était belle plutôt! Parce que bon pas toujours elle est belle la vue...
Menfin si on considère le numéro 5, la question se pose même pas!
13/ Pour vous bloguer c'est?
Sympathique - Pink Martini (À écouter là)
Ah oui, fallait y penser! En même temps cette chanson me fait trop penser à mes huit mois de stage à Lyon, quand j'étais jeune et bête (plus que maintenant en tout cas, ce qui n'est pas peu dire - en ce qui concerne la bêtise bien sûr!)
16:32 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...), Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mon ipod vous parle de moi, musique, ma vie, pathétique? | |
samedi, 15 novembre 2008
De l'alfa au rococo
Entendu à l'instant à la radio, Alfa Rococo... Groupe nouveau, choisi révélation de l'année récemment, un autre "petit" (je sais pas pourquoi tout le monde se trouve obligé de rajouter un "petit"... est-ce typiquement québécois??? À songer... pour une nouvelle note éventuelle!) couple qui chante (après Tricot Machine, je sais plus si je vous en ai déjà parlé ici) (je viens d'apprendre que la part masculine du groupe est le frère de Pascale Bussière, très bonne actrice!)... À mon avis c'est gentillet, mignon, harmonieux, les 2 ont de jolies voix, les chansons sont un peu naïves (celle sur les "horribles gens" est un peu affligeante point de vue texte, je trouve!) mais bon pas transcendant. Je vois mal comment ils pourront se renouveler, mais je demande juste à être surprise (agréablement si possible!).
Là ils viennent de faire "Lever l'ancre", chanson titre de leur premier CD, la meilleure à mon avis (enfin j'ai pas tout écouté non plus, la meilleure sur 4 ou 5 je dirais). Et bien le combo guitare et voix je préfère largement à la version studio... Plus authentique, moins travaillé, moins artificiel, mieux quoi! Je préfère quoi.... Mais bon faudra vous en contenter de la version studio, pauvres de vous!
Une autre, pour la forme, car il pleut aujourd'hui...
Et les paroles de "Horribles gens", je vous laisse juger du niveau, ou comment enfoncer d'un coup d'épaule énergique et rageur une porte (j'écrivais "forme", lapsus? qué???) grande ouverte, bouh les méchants qui tuent, qui vendent des armes, qui nous dirigent, l'art de renouveler un propos d'actualité depuis quoi? quelques siècles??? (argh je suis pas gentille, est-ce qu'il faut rajouter une ou 2 lignes à la chanson pour parler des gens comme moi???)
Artiste: Alfa Rococo
Chanson: Horribles Gens
Il y a d'horribles gens
Qui se prennent pour les maîtres
Il y a d'horribles gens
Et il y en a des traîtres
Il y a d'horribles gens
Qui se prennent au sérieux
Il y a d'horribles gens
Qui tuent au nom de Dieu
Il y a d'horribles gens
Qu'on écoute bêtement
Il y a d'horribles gens
Qui profitent des autres
Il y a d'horribles gens
À qui c'est jamais la faute
Il y a d'horribles gens
Qui rient des malheureux
Il y a d'horribles gens
Et y'en a des pires qu'eux
Il y a d'horribles gens
Qu'on aime aveuglément
Pré-chorus :
Il y a des millions de gens
Pour qui rien n'est possible
Il y a des millions de gens
Menés par les gens horribles
Refrain :
Il y a d'horribles gens
Il y a d'horribles gens
Il y a d'horribles gens
Il y a d'horribles gens
Il y a d'horribles gens
Il y a des scélérats
Il y a d'horribles gens
Perfides, etc.
Il y a d'horribles gens
Qui fabriquent des armes
Il y a d'horribles gens
Prêts à vendre leur âme
Il y a d'horribles gens
Qu'on élit président
Pré-chorus
Refrain
Il y a d'horribles gens
Qui se prennent pour les maîtres
Il y a d'horribles gens
Et il y en a des traîtres
Il y a d'horribles gens
Qui se prennent au sérieux
Il y a d'horribles gens
Qui tuent au nom de Dieu
Il y a d'horribles gens
À qui la main on tend
Pré-chorus
Refrain
18:12 Publié dans Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alfa rococo, lever l'ancre, révélation de l'année, les jours de pluie, horribles gens, paroles niaiseuses, portes ouvertes enfoncées | |
mardi, 11 novembre 2008
Ça j'aime...
Me demandez pas pourquoi...
Mais ça faisait le générique de l'épisode 4 de Brotherhood (et oui j'ai craqué... Mais je préfère nettement Dexter!) et franchement ça m'a plu. Un petit feel irlandais qui va si bien avec les protagonistes de cette série étrange... froide et déprimante, je trouve Dexter et ses histoires de tueur en série franchement plus réjouissants!
Mais la chanson me plait! Peut-être même que ça m'évoque 2-3 trucs tout autre en prime qui sait... (Edit du 11 nov à 19h56 : Menfin le gars de la chanson, au moins, il s'en rend compte qu'il est un monstre d'égoïsme et il s'interroge, c'est pas comme d'autres qui osent te dire "meuh non chus pas égoïste, où est-ce que tu vas chercher ça toi?"!)
Flogging Molly, je connaissais pas du tout, et vous???
Mais j'aime le coté un peu trépidant de la chose!!! Les paroles sont pas mal non plus... et vont pas mal avec l'épisode... et avec la vie en général!
All is me, is all I need and that's all that I care
Propelled through all this madness, by your beauty and my sadness
I'll never change or rearrange, till I've finished what I've started.
[Chorus]
And life leads me here
It shows me, I have never really loved no one but me
Like the time, you slipped through my hands
I'll never understand why I'm such a Selfish Man
Walk around me not before me
I'll pretend not to ignore ye
But I'll compromise if I realize you can do something for me
I'm ugly and you know it, but you think that I'm a poet
So I'll keep the rhyme if I feel in time, it gets me where I'm going
(Chorus)
All I heard was an unearthly silence
Apart from the violence, explode in my head
Where all at once was this moment of beauty
No more since it slew me, no never again, again, again
Hey (repeat x6)
No I'll never understand
No I'll never understand, why I'm such a Selfish Man
Selfish Man (repeat x5)
07:06 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...), Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : flogging molly, selfish man, brotherhood, brotherhood saison 1 épisode 4, irlande, endiablé | |
lundi, 10 novembre 2008
Pas plus de 3...
Bon alors en rentrant de chez mes parents un peu plus tôt, j'ai entendu ça, des Trois accords, je crois que je vous en avais déjà touché un mot ou 2 (mais pas 3!).
Des paroles délirantes! J'adore le coeur à la fin, j'imagine l'enregistrement des paroles, ça devait pas être triste, car vraiment pas typiques des chorales, menfin de celles que je connais en tout cas...
Je chantais à tue-tête aussi dans ma tuture et là j'ai encore le refrain dans la tête!!! Argh!!!
Hmmmmmmmmm du coup je crois que je vais vous en mettre une autre que j'aime bien... je ne vais pas oser le 3 pour un vous en faites pas!
L’autre jour à Tokyo
Il a fait plus beau
Qu’en moyenne partout ailleurs
J’enlevai mon manteau
Il faisait moins chaud
En dehors qu’à l’intérieur
Montaient les fenêtres
Et le thermomètre
Ça me donnait des chaleurs
Sans aucun recours
Je dus opter pour
Dévêtir mon corps en sueurs
Tout nu sur la plage
J’étais tout nu sur la plage
Je ne faisais pas de monokini à Tokyo tout nu (à Tokyo tout nu!)
Les résidents curieux
Rêvassaient un peu
En voyant mes tatouages
De cobras qui saignent
De dauphins qui se baignent
Dans le brun de mon bronzage
Quand je vois ton visage
Je pense à ton nom
Et à tes cheveux
Ils finissent exactement là où commence ton front (fallait y penser)
Quand je vois des images
Je pense à des sons
J’ai vu ta photo
Tu m’as chanté des chansons
Jours après jours
Après jours après jours
Après jours après jours
Je répète les même mots
S’il-te-plaît
Ne t’en va pas
No-no-no-no-non
Quand je vois ton visage
Je pense à ton front
Et à tes joues
Elle finissent exactement là où commence ton menton
Quand je vois des nuages
En formes de ronds
C’est comme un collage
On dirait toi dans un ballon.
Loin d’ici
C’est loin en titi
(Rimouski c’est loin en titi)
07:42 Publié dans Le Québec expliqué aux gaulois, Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les trois accords, tout nu sur la plage, loin d'ici, je chante dans ma tuture... | |
dimanche, 09 novembre 2008
Une belle chanson...
Un peu cucul, un peu quétaine, mais puissante! Pas trop mon genre de chanson habituellement mais faut croire que mon état d'esprit actuel me fait dévier de ma ligne éditoriale habituelle...
Hier Grégory Charles en parlait à son émission, en disant que cette chanson n'avait pas de fin... Pas faux...
La chanteuse, Ginette Reno, c'était la protégée de René Angelil avant qu'il ne tombe sur Céline Dion... Ça me rappelle un grafiti dans "Le premier jour du reste de ta vie" : "Céline Dion a essayé d'être belle mais elle a pas trop réussi!" C'est con mais ça m'a fait rire! Deux fois en plus!!!
Bon je vous laisse , je suis en train de regarder la toute fin de la deuxième saison de Dexter, je suis droguée, mais qu'est-ce que je vais faire après??? Du shopping! En plus je viens de voir que si j'achète la 2ème saison de Brotherhood je pourrai voir la premier épisode de la 3ème saison de Dexter, aaaaaaaaaaah... C'est gênant si j'ai pas vu Brotherhood saison 1??? Je sais même pas de quoi il s'agit... à part qu'avec la finale de Dexter j'ai les 2 premiers épisodes de la saison 2! Ça se complique un peu non?
Plus j'y pense plus il va falloir que je vous ponde une note spéciale consacrée rien qu'à Dexter, en plus de vous raconter mes aventures avec l'électricien et quelques autres choses en suspens...
UN PEU PLUS LOIN
paroles et musique: Jean-Pierre Ferland
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je veux aller un peu plus loin
Je veux voir comment c'est là-haut
Garde mon bras, tiens ma main
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je veux aller encore plus loin
Laisse mon bras mais tiens ma main
Je n'irai pas plus loin qu'il faut
Encore un pas, encore un saut
Une tempête et un ruisseau
Prends garde, prends garde, j'ai laissé ta main
Attends-moi là-bas je reviens
Encore un pas, un petit pas
Encore un saut et je suis là
Là-haut si je ne tombe pas
Non, j'y suis, je ne tombe pas
C'est beau, c'est beau
Si tu voyais le monde au fond, là-bas
C'est beau, c'est beau
La mer plus petite que soi
Mais tu ne me vois pas
Un peu plus loin, un peu plus seul
Je ne veux pas être loin tout seul
Viens voir ici comme on est bien
Quand on est haut, comme on est bien
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je ne peux plus te tenir la main
Dis-moi comment j'ai pu monter
Comment descendre sans tomber
Un peu plus loin, un peu plus fort
Encore un saut, essaye encore
Je voudrais te tendre les bras
Je suis trop haut, tu es trop bas
Encore un pas, un petit pas
Tu es trop loin, je t'aime
Adieu, adieu, je reviendrai
Si je redescends sans tomber
C'est beau, c'est beau
Si tu voyais le monde au fond là-bas
C'est beau, c'est beau
La mer plus petite que soi
Mais tu ne la vois pas
Un peu plus haut, un peu plus loin
Je vais aller encore plus loin
Peut-être bien qu'un peu plus haut
Je trouverai d'autres chemins
20:44 Publié dans Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : un peu plus loin, ginette reno, dexter, grégory charles, brotherhood | |
dimanche, 02 novembre 2008
Une autre journée qui se lève (ça me semble fort à propos!)
J'adore le dernier CD des Cowboys fringants, seule chose qui me mette un peu de bonne humeur ces derniers temps même si c'est assez doux amer! Je m'arrête là avant que H&F me perde tout...
Une autre journée qui se lève
Après une courte nuit de trêve
Pour les bons citoyens
Le travailleur va travailler
L'homme d'affaires va s'affairer
Le bon à rien f'ra rien
Le politicien va mentir
L'homme paisible va en rire
Le mourant va mourir
L'alcoolique aura mal aux ch'veux
Le dépressif s'ra malheureux
Quelle merveilleuse journée ce s'ra sur Terre !
Le travailleur trouve son bonheur
Quand il quitte l'usine à quatre heures
L'homme d'affaires trouve le sien
Quand le réveil sonne au matin
Le bon à rien n'a pas d'attente
Il s'en sacre comme de l'an quarante
Le politicien au contraire
Pour son salut tuerait sa mère
Si l'homme paisible est serein
A quatre pattes dans son jardin
L'alcoolique cherche son char
A quatre pattes en sortant du bar
Et l' dépressif au désespoir
Astique son fusil dans le noir
Pendant que le mourant l'envie
De pouvoir être encore en vie
Une autre journée qui s'achève
Avant une courte nuit de trêve
Pour les bons citoyens
Le travailleur s'est abruti - Au boulot !
L'homme d'affaires s'est enrichi - Sur son dos !
Le bon à rien - Rien !
Le politicien s'est menti - A lui-même !
L'homme paisible en a fait fi - Sans problème !
Le mourant est parti
L'alcoolique a vidé ses verres - Ah ah ah !
Le dépressif a vu l'enfer - Ah ah ah !
Quelle merveilleuse journée ce fût sur Terre !
{x2:}
On ne retrouvera jamais l'émerveillement
Que l'on avait enfant
Tout se complique lorsque l'on devient grand
Mais il ne faudrait pas non plus s'en faire accroire
Et vivre sans espoir
La vie n'est pas juste un long purgatoire
S'il est vrai qu'il faut se battre au quotidien
Il n'en sera pas vain
L'effort sait faire apprécier le bon vin
A quoi bon s'en faire et nous apitoyer
On va tous y passer
Tant qu'à être là vaut mieux en profiter
Le blues, la vie
Maudit, maudit lundi
Le travail, la routine
Le train-train quotidien
Au frèt' l'hiver
Au chaud l'été...
16:42 Publié dans Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...), Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cowboys fringants, une autre journée qui se lève, l'expédition | |
jeudi, 30 octobre 2008
Il dit rien...
Bon ceci c'est de la note post-datée...
Pas trop d'inspiration ou plutôt si, mais j'suis KO...
Flemme d'écrire quoi...
Donc rebelote Louise attaque avec "Tu dis rien" (rapport avec vous savez qui??? Grmphhhhhhh mais où allez vous chercher tout ça...) : C'est court punché, direct, bref fort à propos dans le contexte (dites je fais beaucoup dans le violon avec les cowboys fringants)chouette quoi!
Tiens l'autre jour, je me plaignais de la niçoise et de son silence... Et ben today message! Elle a des antennes ou quoi??? Elle avait peur que je sois à Paris... Elle s'y prend d'avance au moins, ça fait plaisir! Bon parce que c'est vrai mon contrat devait commencer le 3 novembre!!! Donc dans 5 jours... Ça m'aurait épargné ces jours affreux, merde! Dernière fois que je fais un truc pareil d'ailleurs, je parle de l'équivalent des prochains jours (et après je me demande pourquoi j'ai des cheveux blancs???) qu'on se le tienne pour dit!
Tu penses quoi toi, tu dis rien
En une heure de tes bras souffler la colère du monde
Voyager être la sauver chacune des secondes
Et protéger du froid les idées sans confondre
Tu vois je rêve encore penser plus vite que mon ombre
Vois tu je serais roi jusqu’à celui de ce monde
Te souviens tu de moi et jusqu’au son de ma voix
Suis je aussi maladroit et tristesse à la fois
Tu vois je rêve encore de marcher plus vite que mes pas
Mais toi tu penses quoi tu dis rien
Soulager de tes doigts douleur et poussière mon ange
Au voleur de ta voix plier chacune des phalanges
Me suggérer comme ça des yeux du bout des doigts
Tout vas je rêve encore penser plus vite je peux pas
Et toi tu dis rien tu m’oublies
Tu penses à rien tu souris
Qu’est ce qu’on est bien on oublie
On traverse le haut nos bas s’épousent sans lieu sombre
Et toi tu penses quoi ? tu dis rien
Moi je veux bien m’arrêter si tu veux danser
Moi je veux bien tout quitter si tu veux bien t’approcher
Moi je veux bien m’arrêter si tu veux danser
Moi je veux bien tout quitter si tu veux bien t’approcher
Mais toi tu penses quoi, tu dis rien
Mais toi tu dis rien tu oublies
Tu penses à rien tu souris
Qu’est ce qu’on est bien on oublie
On traverse le haut nos bas s’épousent sans lieu sombre
Et toi tu penses quoi ? tu dis rien
13:45 Publié dans Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : louise attaque, tu dis rien, comme on a dit, il dit rien, vous savez qui, la niçoise, pas le temps d'écrire plus | |
mardi, 28 octobre 2008
Assorti...
à mon humeur maussade et désabusée...
Parce qu'objectivement cette chanson est déprimante, non?
Elle dit grosso modo la même chose que Les étoiles filantes (oui je sais j'obsessionne... if6, tu dois être d'accord ;-) ) mais sans trace aucune d'optimisme.
Et puis-je vraiment dire que je suis en désaccord? Si on me prend comme exemple, et ben non, sauf que bon j'ai quand même quelques rares exemples un peu plus réjouissants... sauf que je me demande "Mais comment ils font???"! Et que j'en ai franchement marre de pouvoir me reconnaitre dans toutes les séries de trentenaires libres, libérées mais désabusées un chouia, à la recherche du grand amûûûr et qui en prime finalement le trouve en plus! Ça c'est le bouquet, à la fin il y en a pas une qui reste célibataire même celles qui assument à mort, si c'est pas pour me narguer ça??? Parce que bon moi aussi je cherche, enfin je fais pas grand chose j'avoue, j'attends qu'il me tombe dessus (s'il pouvait ne pas m'assommer (au propre comme au figuré) au passage ce serait sympa), ça m'a plutôt réussi jusque là... Enfin réussi, réussi c'est vite dit vu l'état actuel des choses! Mais là pour la première fois de ma vie (et ça fait quand même 8 mois que ça dure!), ça me pèse!
Dernière minute : invitation par la jumelle blonde pour le 7 novembre, ça me laissera le temps de me remettre de la semaine atroce!
Bref revenons-en à nos moutons :
Je découvre la chose à peu près en même temps que vous... Sympa la tête de poisson! Du poisson, mais c'est très bon, c'est de l'argent, dixit une de mes films cultes, Un air de famille de Klapisch! Ah tiens bientôt je vais aller voir Paris...
Entre deux taxis |
Paroles et Musique: Jean-François Pauzé 2008 "L'expédition"
© La Tribu
Ils se sont embrassés tard dans la nuit
Sur la banquette d'un taxi
Dehors un lampadaire s'est rallumé
Ils ont fait vœu d'éternité
Sur le toit de la voiture le néon lumineux
Semblait n' briller que pour eux
Comme une petite auréole dans le noir
Le taxi filait vers la gloire
"Oh, qu'il est triste le sort des amoureux !"
Se disait le vieux chauffeur amusé
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser
Ensemble, ils ont pris un appartement
Où ils vécurent au gré du temps
Une vie avec des lunettes roses
Exempte de journées moroses
Mais le poids du quotidien, ce p'tit diable malin,
Vient s'installer un beau matin
Les cœurs qui furent si légers hier
Retombent les deux pieds sur terre
"Oh, qu'il est triste le sort des amoureux !"
Qu'on se dit au bout de quelques années
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser
Les amants d'hier sont dev'nus amis
Plus de chaleur dans le logis
Les rêves qu'ils avaient jadis en duo
S'endorment maint'nant dos à dos
Par la fenêtre, elle regarde celui qu'elle a aimé
La quitter pour l'éternité
En emportant tout un pan de sa vie
Dans un anonyme taxi
{x2:}
"Oh, qu'il est triste le sort des amoureux !"
Qu'on se dit lorsque tout est terminé
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser
dimanche, 26 octobre 2008
Droit devant? Là j'ai du mal...
Bon ce matin, pas pu résister, j'ai downloadé le nouvel album des cowboys fringants... Enfin quand je dis j'ai downloadé, façon de parler, c'est en toute légalité, sur Itunes, mais la vérité c'est que je suis encore en train de downloader, bicause mon modem à la vitesse hyprasonique... D'ailleurs là j'en peux plus, après ma semaine infernale, j'appelle Videotron, malgré ma haine de PKP c'est toujours mieux que Bell (bon là les non-québécois risquent de pas piger...), et je me fais installer ce foutu câble, au diable l'avarice!
Bref j'écoutais ceci et bien que ce soit naïf, limite niais par bouts, la musique est entrainante et c'est pas si faux, même assez bien vu... Qu'en pensez-vous?
Ah tiens en recherchant les liens pour les paroles et le reste, ben j'ai vu que c'était aussi déjà sorti en France, sur le site de la Fnac notamment... je suppose que ça doit être de même dans les pays francophones alors donc pas d'excuse
Droit devant
L'expédition (2008), Les Cowboys fringants
{Refrain:}
Prépare-toi, petit garçon
Elle s'ra longue l'expédition
Et même si on n'en revient jamais vivant
Il faut marcher droit devant
Quand il était haut comme trois pommes
Et qu'il n'était qu'un tout petit bonhomme
On le poussa hors du berceau
Lui mettant un baluchon sur le dos
Le bagage vide d'expérience
Il pos'ra le pied dans son existence
On n'est pas sitôt arrivé
Que l'on doit faire face à sa destinée
D'abord il faut franchir ce fleuve
Qui est l'enfance de toutes les épreuves
Là où même sa propre famille
Risque de le couler par la torpille
Déja on saura si sa coque
Et son bateau travers'ront les époques
Ou bien s'il ram'ra à la dure
Dans une chaloupe remplie de fissures
{au Refrain}
Puis vient ce passage obligé
Dans cette forêt parfois agitée
Là où en plus d' chercher sa voie
On est souvent perdu au fond de soi
C'est en sortant de cette allée
Qu'il pourra prendre les routes pavées
Ou se contenter d'une av'nue
Précaire en dehors des sentiers battus
{au Refrain}
Enfin vient la montagne hostile
Et son ascension aux mille périls
Où les victoires sont triomphales
Mais où les chutes sont souvent brutales
Seuls quelques-uns se hissent en haut
Et réussissent à planter leur drapeau
La plupart stoppent à mi-trajet
Et se résignent bien à court du sommet
{au Refrain}
Quand viendra l'âge du bilan
L'important sera que tu sois content
Car on fait c' qu'on peut dans la vie
Tout dépend de ce qu'on a comme outils
On voudrait tous être aux commandes
Mais l'offre est plus petite que la demande
Que l'on soit minus ou géant
Il faut être fort pour traverser le temps
Bonne chance !
16:52 Publié dans Musicalement parlant | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : les cowboys fringants, droit devant, l'expédition, c'est la vie, paroles, chanson | |