Et ben!

J'espère que c'est une blague. Et comme d'hab, les commentaires sont tout aussi édifiants que le reste...

Une bonne femme, par exemple, qui raconte qu'elle s'est fait ligaturer les trompes et qu'elle en a apporté la "preuve" à sa boite pour montrer qu'elle priviligiait l'ambition à la famille, je sais pas si c'est ce qu'on appelle une preuve de progrès...

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Sinon j'ai raté ma chance. Maintenant, le rata ne répond plus... Argh!

Insupportable!

Je vois pas d'autre mot pour décrire la chose.

Juste pas comprendre et/ou pas savoir, je le vis pas bien. Pour ne pas dire très mal. Et encore, là, perso, je vais bien. Hyper bien même. Imaginez ce que ce serait si j'étais dans un down facon vendredi soir! Parce que, déjà là, je trouve ca angoissant...

C'est bizarre parce que je m'inquiète plus pour "lui" que pour moi. Là, de toute facon, je pense que le "nous" a sombré, quoi qu'il en dise, même si ca m'emmerde royalement. Mais, dans une philosophie de prendre les choses moins au tragique etc., je pense qu'il est judicieux d'au moins penser à éliminer les sources de bouleversements. Donc, ouais, plus "jamais" (faut jamais dire jamais mais bon) ca. Je suis pas un yo-yo à qui on fait faire un coup tout loin, un coup tout près!

Je repense à un truc que F. me disait pour faire le bilan d'une relation... Et bien quelqu'un qui me fait beaucoup pleurer 2 fois en 2 mois, pour "rien" (que ce soit un sms mal expédié et me faire poireauter quelques semaines avec les conséquences que l'on sait ou "je te quitte mais en fait non" à 24 heures d'intervalle), je ne pense pas que ce soit miser sur un bon cheval (j'entends Romain qui applaudit quelque part), même si les moments qu'on a passés ensemble étaient vraiment très chouette... Remarquez, avec cette grille d'évaluation, j'aurais du faire une croix sur bfc depuis euh ben 3 ans plutôt que 3 mois, mais bon, j'apprends quand même. Bref, je pense que les rechutes sont possibles. Mais une partie de l'attrait (purement égoïste) qu'avait le bonhomme sur moi était basé sur le fait qu'il disait vouloir faire attention à moi. Et là, le charme est un peu rompu car c'est plutôt loupé globalement, il me semble... à part peut-être si on considère que je grandis peut-être un peu grâce à ca et que je prends soin de moi moi même, comme une grande.

En même temps, en repensant au correspondant qui me raconte tout de suite les soucis avec son ex, je me demande si, en vieillissant (argh!), on est pas de plus en plus "endommagé" par diverses choses, tous, chacun dans notre coin, et qu'un moment donné, à un âge "avancé" comme le mien, les chances de se retrouver élément pas trop cabossé avec un autre élément pas encore disjoncté ne s'amenuisent pas fortement...

Moi même, je ne pense pas être un cadeau tout le temps, avec mes angoisses plus ou moins irraisonnées, ma réactivité parfois incontrôlable et mon mutisme sur certians trucs. Et même le rata***, avec 10 ans de moins, il semble déjà pas mal atteint (ce qui, compte tenu, de son passif familial, n'est pas franchement surprenant...)... Donc, est-ce qui faut pas accepter un taux de défauts chez l'autre qui soit supérieur au 6-sigma tant recherché (ouais c'est savant là. On comprend pourquoi ex-job voulait me faire ceinture noire en la matière!) (mais bon, c'est aussi un peu pour contrebalancer les choses car là je me sens vraiment facon Sex and the City (du temps où c'était bien) avec Carrie qui écrit sur son ordi, argh! Je veux donc affirmer mon existence industrialiste parce que Chanel and co. ne passent pas par moi...)? Bon après, faut aussi réfléchir pour fixer un taux de défectuosité entre l'optimal et l'acceptable. Ou le tolérable, comme disait le british en chef... Pas simple?

Alors voila la question : le taux de défectuosités du rata*** (rataraté?) est-il tolérable selon mes spécifications? Et l'inverse aussi d'ailleurs!

A tous les rateliers je mange

Du coup, ben je sais pas trop comment le ratatiré voit les choses mais il a intérêt à me proposer quelque chose et vite car, à ce stade : mes mardi et mercredi soir sont pris (soirée sla***am et sauterie pour le mega projet de l'été dernier), resto vendredi soir, samedi soir karnnavvaal dans la ville où je bosse (même si a priori je pense que je vais annuler ce qui arrangera pas trop nos affaires car) et brunch dimanche midi. Ce qui nous laisse jeudi soir ou dimanche pm quoi.

Alors là je me tâte à savoir si je pose les données du problème et que je demande "de kessé?", enfin si kessé il y a (ce que je suppose, vu le "tu me manques" de samedi (mais je me fais peut-être des idées?) car il y a moyen d'annuler un truc ou 2 éventuellement. Ou si je le laisse amener le sujet sur le tapis (on peut rêver!) au risque que ce soit trop tard et que je ne puisse plus décemment annuler quoi que ce soit... Dilemme cornélien, s'il en est? Et ouais, on a les dilemmes qu'on peut, hein.

Sinon, il semble pour le moment que le miracle d,hier soir se maintienne dans la tendance... Ce serait trop cool si jamais. Bon je vais pas me convertir pour autant. Oui parce que bon autant c'est cool en soi, autant ca irait plus que parfaitement avec une visite au/du ratatiré... On notera quand même que cette semaine, je ne fantasme plus! Non mais c'est vrai, c'est pas reposant physiquement du tout et je vous dis pas la déception quand ca retombe comme un mega soufflé. Je sens que s'il y a lieu, le sieur sera décu parce que plus ca va, plus je me sens glisser en mode ***glaciation tertiaire*** (alors que la semaine dernière, la braise passait aisément pour un "popsicle" à coté de moi ;-) ), beaucoup plus confortable car n'offrant comme seule alternative qu'un réchauffement (limité) en cas de surprise agréable (toute surprise ne peut qu'être agréable à ce stade, c'est l'avantage). Je sens la pluie (pour rester en mode météorologique) de "qu'est-ce qu'il y a?" venir d'ailleurs parce que je pense que, suivant le contexte quand même, j'aurai un peu tendance à faire la gueule pour un oui ou pour un non. S'il savait d'avance, je pense que j'aurais même pas besoin de me tracasser à me demander si je demande ou si j'attends qu'il propose.

J'aime pas avoir l'impression de m'inviter de force... Parce que bon, s'il avait vraiment envie de me voir, il le proposerait (chose qu'il faisait au début), non??? De deux, j'ai pas l'impression d'être vraiment très polie... De trois, j'aime pas m'imposer (et penser que potentiellement, il se dit qu'il doit se priver de faire ci ou ca pour moi, l'emmerdeuse de service en gros).

Finalement, je vais finir par en venir à la conclusion qu'on est bien tout(e) seul(e). Menfin, surtout, dès que je recevrai une certaine autre commande (argh, j'en ai recu une hier, une autre aujourd'hui, j'en ai encore 3 en cours, stoooooooooooop) puisque je n'ai toujours pas remis la main sur le bloc de piles de mon joueur de hockey canado-chinois... chose qui pourrait sûrement expliquer tous mes états de la semaine dernière. Mais, bientôt en ma possession, un substitut chuicho-chinois! Je sens que le ratatiré va perdre certains attraits très vite le pauvre (alors qu'il a quand même été un peu vraiment joueur de hockey, semi-pro même, car je n'ai que faire des amateurs ;-) )!

Bon alors je fais comment à votre avis???

J'ai tendance à y aller avec la première solution, en exigeant des garanties en cas d'annulation(s) requise(s), car en cas d'imprévu genre le week-end dernier, hors de question que je me retrouve grosse jeanne comme devant, non mais! Sinon, je sens que le ratatiré va s'appeler ex-c0loc au masculin... (je précise que le but des rendez-vous avec ex-c0loc n'était pas le même (heureusement que F. a d'autres chats à fouetter (enfin j'espère que ca en est pas déjà là ;-) ) en ce moment sinon il se serait fait des films...)... mais que ses annulations dernière minute me faisaient me sentir au top du top de ses priorités n'est-ce pas, surtout quand l'excuse était systématiquement "je suis fatiguée")

Dommage, je suis en meeting presque tout le temps aujourd'hui et demain... parce que ca limitera mon débit d'écriture considérablement alors je me demande comment je vais compenser la perte vertigineuse de mes connexions britishs... Personne veut se dévouer? ;-)

Ah zut, mais mon titre a plus rien à voir avec ce que j'ai écrit, non?

Coup de gueule!

J'annonce la couleur!

Alors j'en ai marre... Mais je pense que j'ai trouvé mon cheval de bataille alors c'est cool!

Je vais militer pour... la francisation des emballages en Su1sse!!!

Et oui, je vais m'appuyer sur l'expérience québécoise.... Parce que je trouve qu'ici la situation est piiiiiiiiiiire! Je suis tombée tout à l'heure sur plein de produits pour les cheveux dont tout est écrit devant en germain, THAT'S IT! Scandalous, non? Parce que d'un j'y pige pas tout moi au germain. Et deux, ça me gave royalement de me sentir minorité sonore et négligée. Bon je vois parle même pas des italiens mais bon en terme de poids démographique ils ne représentent même pas la part arabophone au Canada d'après moi alors c'est plus difficile bien l'italien soit quand même une langue officielle!

Of course, si personne dit rien, pourquoi changer et avoir à réimprimer des emballages. De puis mon expérience pro précédentes, je sais ce que représente la production d'emballage et ce que demande un changement, même infime. Mais bon, le statu quo actuel, je le trouve inadmissible.

Je ne veux pas me contenter d'un vague paragraphe de 3 lignes au dos d'une bouteille ou d'une boite en Arial 6, bordel.

En Romandie j'affiche en français et puis c'est tout ;-)

Donc dorénavant je note les marques et j'envoie des mails au service consommateurs. Voila j'agis (avec fracas, n'est-ce pas!) ;-)

(Tiens, le ratatiné s'est déconnecté, héhéhé, ou il m'a rebloquée, hein, plus probable pour un dégonflé de la sorte, j'ai fait exprès de rien dire d'ailleurs mais il regrettera pas son cadeau de St-Valentin, je me suis même équipé pour avec une imprimante multi-fonction il y a tout juste une heure...)

Constatation

J'ai fait un test hautement statistique : il s'avère que les mâles soit disant les plus "compatibles" (et encore à 68% (???) max, tous des "rigides" pas d'une bonne façon, enfin à la chuiche quoi) avec moi selon que je me prenne pour un saule pleureur ou un baobab (ouais bon no comment) et que ma couleur soit l'orange (là, pas de discussion au moins) ne dépassent pas le mètre 77 (donc finalement le ratatiné est un géant pour moi) (en largeur plus qu'en hauteur dirons nous) (pas plus impressionant dans d'autres dimensions soit dit en passant même si c'est vrai, size does not matter ;-) (je pense qu'en effet, ça n'aurait pas été gênant...) ).

En prenant comme acquis qu'ils se rajoutent quelques centimètres, ça veut dire que mon "âme soeur" est un rase-moquette d'autour un mètre 65... Ça va faire des beaux enfants tout ça ;-)

Bon, je sais pas si c'est à cause de ça, mais je vais bien de l'estomac mais plus de la tête, argh!

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Un cas en image. En plus il est assez mignon. Et pas trop rigide...

 

Et donc encore une fois je semble être une grosse rebelle... Faut pas croire, c'est juste que j'ai dit que le mariage c'était inutile et que je refuse de m'identifier à une rose... critères chuiches absolus de la rebellitude sans doute! Et de l'authenticité apparemment.... J'en suis d'autant moins réaliste semble-t-il, limite vexée là!

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Oh la la!

Je viens d'avoir un résultat de 100% à mon quiz!!! Si, si, d'un type de 48 ans qui a presque le même pseudo que moi (le mien c'est minigo (exemple, c'est pas mon vrai) et le sien minigood (heureusement que c'est pas minigod) (ou pire au féminin!))

Tant de conneries...

Oh la la! Pendant mon heure de lunch solitaire (ouais en ce moment j'ai envie d'être toute seule à midi, même si mon voisin m'a demandé si je mangeais plus), j'ai surfé.

Et je suis tombée sur Voir.ca, site où j'ai sévi bien avant d'avoir un blog, en faisant des critiques pour récolter des jetons (attribués selon la qualité (purement subjective) du commentaire) et gagner des concours pour avoir des billets. C'était un peu comme pour ici. Tout ce que je regardais genre cinoche, théâtre, musique, etc., j'y pensais en fonction du commentaire que j'écrirai. Pour ici, je fais pareil... Je pense à la note que j'écrirai. Pour tout ou presque. Pas trop avec l'étiré suivant notre rencontre initiale, mais depuis quelque temps, ca revient, "étrange" ***ironie on***! Donc il fut un temps où j'étais dans le top 50 des commentateurs. je pense que je suis montée jusqu'à autour 30. Je pouvais pas monter plus haut. J'étais face à des gens qui avaient que ca à faire. Aller voir tout ce qui se passait et écrire un roman sur tout. J'ai eu quelques brèves minutes de gloire perso : 2 textes publiés, des commentateurs qui me citaient.

Mais depuis qu'il n'y a plus de jetons, c'était la porte ouverte à tout et n'importe quoi. N'importe quoi surtout. Genre je fais un comm pour dire "Another year est un film de Mike Leigh et ca doit être ben bon." Édifiant. Alors, ok, théoriquement, je suis pour la liberté d'expression. Mais dans les faits, quand il s'agit de parler pour ne rien dire, ca me tape tellement sur les nerfs que je sens des envies de dictatrice de là où vous voulez monter très vite. Parfois, même la torture me sied, je me vois bien avoir le projecteur braqué dans les yeux d'une victime pas si innocente en lui hurlant de parler d'un ton peu amène entre 2 insultes bien pensées en laissant toute fois au bourreau le soin de lui arracher les ongles ou lui fraiser les dents facon Marathon Man. Tant que je ne vois rien de ce qui se passe. Les yeux me suffisent largement. Meuh non, je ne pense à personne en particulier, bien sûr!

Mais nous nous égarons.

Ouais, donc je lisais les commentaires sur Another year (note à venir bientôt)... Et là, je suis aterrée... Une bonne femme (attend, j'ai même pas vérifié, je suis pleine de préjugés, c'est un homme!) euh donc un bonhomme qui dit déjà ne pas pouvoir mettre plus de 2 étoiles à un film non doublé??? WTF???????? ALors je sais plus si j'en ai beaucoup causé ici mais je suis totalement indépendantiste pour le Québec. Ca n'arrivera jamais mais c'est pile l'électrochoc dont aurait besoin ce "pays" pour sortir de sa torpeur et se remettre un chouia en question. Alors qu'avant mes considérations étaient nettement plus "romantiques" et "sentimentales". Elles sont toujours là mais bon. Je suis contre l'emploi de mots anglais, juste par "coolitude" ringarde en France et, pire encore, en Chuiche. Mais de là, à penser qu'il faut tout traduire, et que la valeur d'une oeuvre tient à sa langue, argh quoi, faut être bouché pas à peu près! Au delà de tout ce que je peux imaginer. C'est des gens (bienpensants et bigots de nature, ya qu'à voir la fin du comm) comme ca à qui l'indépendance botterait le cul d'ailleurs. Mais entre juger un film sur sa version originale ou francaise (doublée au Québec avec les 3 mêmes voix) et faire une croix à coté d'un oui, il y a un pas que peu franchissent faut croire. Dommage.

Bon si ca s'arrêtait là, je fulminerais moins. Mais en plus les propos sur le film sont à l'avenant. Ca me donne juste envie de me taper la tête contre les murs, moi. Je me demande si ce type a vraiment pigé ce qu'il a vu...

Et oui, je détiens la vérité universelle. Si, si. Privilège rare (?) accordé à ceux qui sont pas bouchés à l'ep0xy (inside joke avec moi même qui me fait bien rire (et j'en ai besoin))

D'où cette note. Oh bien dérisoire... Inutile même au delà de sa seule vertu : me désennuyer un peu et me faire penser à autre chose...

Ca soulage, quoi. Un peu! Brièvement. Hélas... mais je reste d'assez mauvais poil!

K.O. je suis...

Ouais parce que je me suis couchée à 5 heures du matin. Et que j'ai eu du mal à m'endormir parce que je réfléchissais à 2-3 trucs et surtout que j'avais gravement faim, argh!

Hier donc après une conversation effienne, j'ai re-discuté avec l'étiré, par msn puis téléphone. Pour être tout à fait honnête, il m'a msnée (J,arrive pas à me faire au bruit que ça fait d'ailleurs!) pendant la conversation précédente et je l'ai laissé sécher jusqu'à ce que je sois dispo. Sachant qu'il avait enfin répondu à mon dernier sms mais que mon tél était en mode vibration, j'avais pas entendu. Il devait s'impatienter le pauvre ;-)

Bref, il peut être assez pénible quand même. Il me pose des questions auxquelles j'ai pas super envie de répondre et auxquelles souvent je sais même pas quoi répondre (pas sur de la culture générale, hein, sur ce que je pense, de lui entre autre, etc.) et donc je suis super évasive mais il pousse il pousse jusqu'à ce que je sois acculée au pied du mur. Bon, alors mixed feelings à ce sujet. Autant j'ai vraiment l'impression d'être la souris poursuivi par le chat dans un mega-labyrinthe d'autant plus que mes pirouettes habituelles et mes tentatives de diversion marchent moyennement, autant ces marques d'intérêt poussé ben c'est pas désagréable.

Oh et puis, comme il a été formé à des trucs genre "L1e to me", mais la vraie de vraie avec un but bien précis (autre que me pousser dans mes derniers retranchements... enfin tout juste) alors il voit et analyse tout.

Conclusions de ma visite de dimanche :

• je m'habille "propre" (super!) et assez classique (tu l'as dit!) mais tout en soulignant mes formes (ah bon???) (en effet, ça fait un moment que j'ai décidé d'abandonner le sac à patates pour m'habiller, que ça arrangeait pas forcément les choses...) qu'il semble trouver avantageuses vu qu'il m'a parlé avec émotion de mes "arguments" placés 30 cm sous mes yeux.
• je me tiens droite mais toujours en mettant en avant mes avantages (décidément! Heureusement que c'est pas l'été et que je suis bien couverte, sinon vu sa description j'aurais l'impression de me balader topless!) : je suis sûre de moi, je m'assume et je m'en fiche de ce qu'on pense de moi et qu'apparemment c'est très sexy, qu'il me trouve superbe et qu'il a eu envie de m'embrasser dès qu'il m'a vue, rien de moins... Et ben, tu m'en diras tant... Ouais et puis bon, en théorie, oui j'aimerais bien être si sûre de moi que ça. Mais je suis pas 100% au top là dessus. Par contre, ravie de savoir que c'est cette impression que je donne, c'est déjà ça!
• et sous mes allures d'ange (!!!) et de fille réservée, apparemment, il arrive à voir que je suis plus folle et ouverte d'esprit que j'en ai l'air...

Oui voila en gros ce dont je me souviens... Super bizarre de se voir analysée de la sorte par contre. Bon et je vous passe plein de trucs. Surtout quand je lui ai fait part de mes hésitations. Oh la la... Compliqué ce fut. Apparemment le salut passerait par la pelle qu'il veut me rouler à ma descente de train... et qu'en échange je peux réaliser mon grand fantasme de la ba*ffe en aller-ret0ur, mais si possible pas à la gare si je compte pas suivre avec un autre patin, il a une réputation à tenir ;-)

Ensuite ben grande discussion sur la soirée de ce soir. Là encore, hésitations pourfendues une à une. Explication du principe du bidule qu'il ne connaissait pas donc contraintes, blablabla. Là encore, mes bottés en touche n'ont pas été brillants (non mais il a de ces questions en plus!). Bref... Par contre, il y a un truc vers la fin qui m'a fait fondre (un peu), je sais plus de quoi on causait mais il me sort que peu importe ce qui se passerait, son objectif principal c'est que je sois bien et heureuse.... Non mais plus adorable tu meurs, non? Là je dois dire que ça m'a fait un peu craquer... même si je demande à voir. D'ailleurs, le peuvre, ça l'énerve quand je réponds "paroles, paroles, paroles" à certaines de ses grandes théories.

Bref, je sais pas trop quoi penser du bonhomme. Sur papier, ça a presque l'air trop beau sur certains cotés, non? Parce qu'en plus, pour ce soir, il va faire des éclairs au chocolat maison, mazette!

Méli-mélo (surtout mellow)

ÇA va être confus, plus que d'hab, zêtes prévenus!

Bon, ok, je repensais à un truc dont on discutait avec le guitariste tout à l'heure. Il me conseillait de regarder "Tout est parfait", un film québécois sorti en 2009 et qui parle pacte de suicide entre des jeunes. Il parait que c'est très bien mais le sujet m'a un peu rebutée jusque là.

J'entendais encore à la radio hier parler du sujet de l'heure, c'est à dire le traitement à la limite de la torture psychologique que subissent à l'école secondaire de jeunes homosexuels, ce qui mène à du décrochage et un taux de suicide élevé. Ce qui n'est pas peu dire vu qu'au Québec, vu qu'il y en a déjà beaucoup. Surtout des hommes. Qui ne trouvent pas ou plus leur place dans la société.

Personnellement, je connais 2 personnes qui se sont suicidées.

Une, très proche de moi. Il doit pas faire partie des statistiques. Ça c'est passé à Vancouver. Il y a longtemps déjà. En 1996. J'ai déjà dit que je me sentais, enfin, peut-être plus coupable, mais au moins partiellement responsable. Mais là n'est pas le propos. Ça change pas grand chose au résultat. 27 ans. Quel gaspillage!

L'autre c'était une fille, une voisine des jumelles brune et blonde. Venant d'une famille de tarés. On a jamais été amies, loin de là. Au mieux, on a joué au ballon chasseur ensemble si ce n'est pas l'une contre l'autre. Au pire, on était en guerre, dans des clans bien distincts. Elle était avec les bourrins. D'ailleurs elle avait le format des bourrins. Menfin. PLus tard, elle allait à Maqueguille aussi. On se croisait parfois dans le bus. On avait passé une période où on s'ignorait superbement. Mais dans le bus, on se souriait. On accusait réception l'une de l'autre quoi. Ça m'a fait un choc quand j'ai appris la nouvelle, par une des jumelles. J'ai regretté de pas lui avoir parler. Pas que ça aurait changé grand chose. Quoiqu'on sait jamais. L'autrichien avait vu une fois dans le métro une fille qu'il sentait pas dans son assiette et un peu trop près du bord du quai. Il est allé lui parler. Et ben, on saura jamais si c'était vraiment vrai mais elle lui a dit ensuite qu'elle y pensait à ce moment là. Ils sont restés en contact pendant longtemps. C'était strictement amical. J'aime à penser qu'ils sont encore en contact... L'autre fille n'a pas eu cette "chance", elle avait déjà fait une tentative à coups de médicaments. Deuxième fois réussie, elle avait pris les moyens pour, en marchant dans le tunnel vers le métro à la station McGill... Brrrrrrrrrrrrrr! Maintenant quand j'entends parler d'"accident de voyageur", je pense à elle... Quand j'entend cette chanson aussi :

J'en connais aussi 2 autres qui ont fait des tentatives... Dont un parce qu'il s'était fait méchamment larguer. Une vraie connasse, sa copine d'ailleurs. Je veux bien que parfois, faut rompre, mais il y a quand même l'art et la manière. Là, franchement, après 5 ans en couple, il me semble qu'on peut traiter les gens autrement. Même après moins de temps! Je pense pas qu'on puisse me reprocher une rupture "mauvaise" (même si c'est jamais agréable quand on a pas vu venir le truc). À part pour l'hm? Bien qu'il me semble qu'on puisse dire que c'est lui qui a pris l'initiative de la rupture non? Sinon, c'est vrai que j'ai rarement rompu de moi même, quelques fois. Après des relations courtes. À Maqueguille, quoi. Entre ze first et l'hdmv. Si ça dépassait les 2 semaines, c'est bien le max. Un mois peut-être. Gros max. Mais comme j'aimais pas faire, je m'arrangeais pour faire faire par mon "partenaire". Ce qui fait que je prenais très bien les choses.

C'est "drôle" parce qu'après bfc, quelques personnes se sont faits du souci pour moi de ce coté là. La frangine, à distance. Ma mère, surtout à cause de la frangine. Le guitariste, beaucoup. Une autre copine, un peu. Les autres, je leur en avais pas vraiment parlé parce que je pouvais pas ne pas pleurer et qu'à la longue, ça devient chiant de pleurer en public sur le même sujet. Et, en plus, c'est con mais je me sentais ridicule vu le contexte. Même la niçoise n'a pas eu droit à la totale (Mais c'est pas parce que je me sentais ridicule avec elle... De toute façon, on avait passé ce cap depuis longtemps, j'ai consolé en même temps la niçoise et la frangine (en me tapant des engueulades parmi les pires avec cette dernière, c'était presque reposant avec la niçoise du coup), que de larmes, téléphoniques ou pas.) (la niçoise me trouvait assez insensible, jusqu'à bfc). Enfin pas sur le coup. Seulement à partir du moment où je pouvais en parler avec la voix tremblante et les yeux plein d'eau, sans plus. Quoique sur la durée en général ça finit en chutes Victoria. Très franchement, il y a eut un moment où j'étais très très mal, les 3-4 premiers mois, suivi de plusieurs rechutes (que je pige plus ou moins) mais ça ne m'a vraiment jamais effleuré l'esprit. À ce moment là, ou à un autre. Même si ex-collègue qui pouvait être mon père me demandait si je n'avais jamais regardé un poteau sur la route, en rêvant foncer dessus et tout arrêter là. Des plans pour finir en fauteuil roulant! Alors non, j'y ai jamais pensé!!! Si je dois être absolument franche, je dois dire qu'une seule fois, j'ai pensé à la chose, pas du point de vue de moi, genre en finir avec tout ça, mais de celui de l'autre, en me disant qu'il aurait ça sur la conscience alors que rien ne le faisait réagir. Et quand bien même, tu parles d'une méga consolation pour moi...

En tout cas, pour le sujet de l'heure, je trouve ça vraiment triste! J'avais la chance d'être grande donc on s'attaquait pas à moi à l'école. J'avais l'habitude des guerres de mon enfance, ils auraient pas été déçu sinon. Et, j'avais beau être timide (bien plus que maintenant) à l'époque, j'ai toujours eu l'injustice en horreur. Et je suis toujours intervenue quand j'ai vu des situations où quelqu'un se faisait enquiquiner à l'école. Ma copine Nath de l'époque par exemple. Je l'ai rencontrée en 3ème. Elle avait redoublé. Elle connaissait personne de notre année. Moi non plus parce que j'étais nouvelle. Et timide. Elle aussi. Par contre, moi je me suis retrouvée avec un groupe de filles, des filles assez "cool" en plus. Elles étaient 3, 2 qui étaient "meilleures amies", la 3ème un peu spéciale (ma grande déception quand j'ai appris que ses yeux verts hallucinants étaient le résultat de verres de contact). J'ai déjà parlé de la chose. On a même réussi à larguer un de nos délégués de classe, je sais même plus pourquoi, genre il faisait pas bien son boulot. Il y avait un truc personnel pour une des 3, ça peut juste être ça. Probablement, une petite histoire de coeur, on en revient toujours là, c'est déprimant! Je suis pas fière du renvoi. C'était cheap. Ça a pas du être drôle pour le type en question. J'ose même pas lui demander d'être mon ami sur FB d'ailleurs ;-)

C'est avec elles que je suis allée pour la première fois au cinoche toute seule (je me demande bien à quel cinoche vu qu'on était dans Outremont et que je me rappelle qu'on y était allées à pied), même chose pour le resto, même chose pour le film de vampires, même chose pour le dormir chez une copine (parce que les miennes hors école habitaient à 3 pas, ça manquait d'intérêt). Même chose pour le largage en beauté par un groupe de filles. Qui, du jour au lendemain, ne m'ont plus parlé. Chose que sur le coup, je n'ai pas bien vécue, j'avoue. Mais je m'en suis remise. Ça a pas du être drôle pour mes parents par contre, vu que j'étais en pleine crise d'adolescence et que ca n'a rien arrangé. Mais ça a vite passé, ouf, pour eux...  Sauf que quand, en cours de gym (pas ma grande spécialité) (sauf en basket), les filles essayaient d'exclure Nath sous prétexte qu'elle sentait mauvais (n'importe quoi of course), je suis intervenue. Et je l'ai prise dans mon équipe. Après ça, on a été très copines jusqu'en 1ère, même si on a jamais plus été dans la même classe. Et c'est par elle que j'ai rencontré meilleure amie en 1ère. Comme cette dernière et moi étions dans la même classe en Terminale (le bonheur total, enfin, à part le bac) (oh et c'est là que j'ai rencontré p0l!), mais pas Nath, on s'est progressivement éloignée. Maintenant on est en contact sur LinkedIn, mais on a pas échangé un mot depuis, je dirais, 92-93.

Sans aller jusqu'à une relative amitié, j'ai souvent pris des gens sous mon aile. Bon gré, mal gré ;-) Je me souviens du stagiaire maudit français (smf) en 1999. J'en avais moi même une stagiaire (une autre) (une maudite francaise elle aussi) avec qui je m'entendais très bien (mais dont le copain était un sale con anti-québécois (à se demander ce qu'il foutait ici) dans le lard duquel je me suis retenue de rentrer à cause de ma stagiaire (pas celle de l'été dernier)). Qui a fait une maîtrise dans un certain sujet grâce à moi. On allait manger ensemble à midi. Mais le smf restait dans son bureau. Alors j'ai pris sur moi de l'inviter à venir avec nous quand je le voyais dans son coin. Il a finalement accepté une fois, tellement j'insistais. Mais j'ai pas arrêté de saigner du nez pendant tout le repas. J'étais allergique vous croyez? Après j'ai été hyper vexée (5 minutes) en apprenant qu'il faisait des tas de trucs avec la stagiaire et d'autres. Je l'ai laissé tranquille dans son coin après ça, et toc ;-) Il devait pas m'aimer. Je l'adorais pas spécialement non plus. J'aimais juste pas qu'il reste en rade dans son coin, abandonné. J'ai fait avec lui ce que j'aurais aimé qu'on fasse avec moi, dans les mêmes circonstances.

Donc, quand j'entends que des jeunes vivent un enfer réel parce qu'on les traite de "fif" "tapette" ou autre gentillesse du même genre, au point de vouloir en finir ou de gâcher des aptitudes, mon sang ne fait qu'un tour. Je peux dire que je n'ai jamais utilisé ces termes pour qualifier qui que ce soit. Mais que, depuis que G. m'a fait son coming-out, j'y suis encore plus sensible. D'ailleurs, la frangine disait tout le temps je sais plus quel terme du genre, ça l'énervait parce que je le lui reprochais régulièrement. Là où je tombe des nues, c'est que les profs refusent d'intervenir, de peur d'être qualifiés des mêmes termes. Si les profs ne disent rien, qui s'interposera??? Quelle lâcheté...

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Note écrite en avril 2010 et non publiée je ne sais pour quelle raison...

Mais j'ai envie de rajouter un truc! Je n'aime pas la mise à l'écart d'individus pour ce qu'ils sont ou ne sont pas. Tu peux cliquer plus ou moins avec quelqu'un, c'est sûr. Mais je pense pouvoir dire que je n'ai jamais laissé qui que ce soit sur le banc quand je le pouvais. Je suis pas parfaite non plus. Par exemple, dans le cas, de ce type dans mon groupe de sorties. Il organise plein de trucs et personne y va jamais ou presque (mais bon il "réserve" des sorties pour l'année prochaine, là, faut pas pousser mémé!). Et tout le monde lui casse du sucre sur le dos. Alors qu'il est gentil à la base. Bon il veut trop (je pense aussi qu'il a du mal à passer étant une armoire à glace fin quarantaine, ce serait une fille jeunette, je pense que les gens s'inscriraient plus, c'est injuste mais c'est comme ca...). Mais depuis que j'ai appris qu'il avait perdu son père récemment et que le groupe était pour lui une facon de "coper" avec la perte, franchement, je trouve la démarche saine et la situation très injuste. En même temps, je vais pas à ses sorties non plus... et je m'en veux un peu. Mais parce que je pense que si on était en tête à tête (sans connotation aucune), ben, comme on a pas grand chose en commun,  on aurait vite rien à se dire. Ou si peu. Et ca, ca m'angoisse vraiment. Le silence. Le repas avalé vite fait pour achever le calvaire... Et bon je ne suis pas une sainte (même qu'il parait que j'ai l'air sexy au téléphone, whatever that means... Je te dis pas la déception en personne!) et je n'aspire pas à la béatification prochaine (vu qu'en plus en général, il est de bon ton d'être mort pour ce genre de truc), alors je fais rien dans ce cas. Mais je me sens un chouia coupable quand même. Et que si j'entend des saloperies sur son compte, je prendrai sa défense! Allez comprendre...

Ce soir

j'avais plein de trucs à écrire.

Mais j'ai tout oublié!

Bref, ce sera tout pour ce soir... palpitant!

PS1

Ah si un truc me revient : Je suis contente! Jusqu'à il y a peu, je me demandais ce que je dirais si bfc me disait "oh mais j'ai fait une monstrueuse erreur en te lourdant lourdement". Bon en fait, je me demandais pas vraiment, je savais positivement que je dirais "youpi!!!!!!!!!" et zou, avé l'aïoli! Mais là, je sais pas pourquoi, je sais que je hausserais les épaules et que je dirais quelque chose du genre "so what???" Bon alors je sais pas si c'est la dernière fois où je crois que j'ai un peu "over-reacted" et qu'il avait pas tort sur ce plan. Mais vu qu'il n'a pas repris la balle au bond que je lui tendais gracieusement et humoristiquement, ben voila, je sais pas, mais plus trop intéressée je suis. Ce qui veut pas dire que je lui écrirai plus jamais. Ni que je serai pas un peu déçue par ses (non) réactions. Mais au moins, de savoir ça, ça me rassénère drôlement. Je ne me liquéfierai pas en sa présence, quel soulagement! Vu le peu de chance que la chose se vérifie en vrai, je risque pas grand chose à l'affirmer. Mais je suis contente de moi néanmoins.

PS2

J'en ai marre! Depuis 2-3 semaines, on débarque chez moi avec ce genre de recherche par ce même site :

 

Ça m'éneeeeeeeeerve!!!!! En plus, ils doivent être déçus en tombant sur la chanson des 3 Accords.

PS3

Ça m'énerve aussi de voir qu'on semble copier tout chez moi :

Argh! Mais pourquoi???

PS4

Je vais mettre à l'instant un nouveau sondage! Et oui, galuch', enfin! Mais depuis quelque temps, un sujet particlier me turlupine... Allez voir ça sur la gauche, tiens.

 

On a rien inventé???

Je viens de voir cette pub pour Fiat :

Elle était pas en allemand mais en français. Je dois dire que je trouve le message du V pour dire 2 tiré par les cheveux, j'ai mis du temps à comprendre pourquoi. Sur le coup je croyais que c'était une pub pour Volkswagen, plus logique pour moi avec le "V".

Mais ça m'a surtout très beaucoup rappelé très beaucoup ceci :

Chauvisnisme vous me direz peut-être mais je trouve le message plus efficace et clair... Celle ci, je l'aime bien. La musique, les différentes images... Et pourtant j'ai pas le lait... alors le double verre, merci, mais non merci.

Je me demande si l'inspiration du premier n'est pas tirée du 2ème??? Les pubs du lait de chez nous ont remporté des prix... elles ont donc été vues un peu partout.

Je suis tout de même assez satisfaite de constater que je comprends pas mal tout le texte allemand...