lundi, 15 mars 2010
Décalée (bis)
Et ben c'était pas gagné!
(encore les Brigades du Tigre - le film sur TV5, ça doit faire 4-5 fois!)
(Tiens d'ailleurs la semaine dernière j'avis la musique en tête. Je me rappelle quand je regardais la série avec ma grand-mère à Toulon dans le temps!)
Ouais déjà je sais pas trop comment j'ai fait mon compte mais je suis allée chercher ma mère avec 10 minutes de retard.
Et quand on est arrivé au Beaubien pour Le ruban blanc ben c'était complet, enfin presque : il restait une place! Pra-ti-que!
Donc là, on est parti sous la flotte intense chercher un Voir (il me faut un iphone!) pour trouver autre choses à voir ailleurs vu qu'au Beaubien, il n'y avait rien d'intéressant avant 15-16h.
Alors Le ruban blanc au Parallèle c'est aussi nettement plus tard... Argh!
Mais au Quartier Latin, il y a Un Prophète à midi, à 13 h et à 14 heures. Jouable, quoi. Vu qu'il était environ 13h. Donc on repart vers tuture et c'est parti. Sauf que je me suis mélangée les pinceaux, j'ai foncé au Parallèle, en plus je me suis garée un peu loin en confondant 2 rues, argh! Et là, ma mère ne m'a rien dit alors qu'avant elle me disait de prendre à droite alors que j'étais déjà là où il fallait. Je me suis précipitée sur la fille du Parallèle en lui demandant 2 billets pour Un prophète et là, elle me dit "mais ça ne passe pas ici!", j'ai cru que c'était une blague, et donc là elle mentionne le Quartier Latin. Aaaaaaaah oui, c'est vrai!!! Donc on repart, je dépose ma mère pour qu'elle prenne les billets, à force on était plus trop en avance pendant que j'allais me garer. Sur le chemin, j'ai montré que j'étais la digne fille de mon père : j'entends un bruit terrible, j'ai cru que c'était tuture, puis que c'était une autre voiture. Mais non, ça venait du ciel. Du coup, je me suis décarcassée pour voir d'où ça venait en l'air! Rien. Bon je refais le tour, je trouve où me garer, je vais à la borne pour payer et là, re vrombissement! Du coup, là j'ai bien vu! Probablement 2 F-18. J'ai pensé à mon père probablement en train de les regarder ou de les chercher. J'ai essayé de l'appeler, sans succès. Tant pis! Je rentre dans le cinoche, je cherche ma mère qui doit avoir acheté les billets depuis le temps. Et ben non, elle est à la caisse, ne comprenant rien de ce que lui dit le caissier. Ah la la, ma chère mère!
Bref, finalement, malgré les embûches, on se retrouve assises dans une salle loin d'être pleine, et hop Un prophète!
C'est partie pour plus de 2 heures que j'ai vraiment pas vues passer! PAr contre, j'ai été tendue tout le temps, j'en ai encore les trapèzes noués d'ailleurs... J'ai pris la ferme résolution de ne jamais aller en prison! Le seul que je connais qui y est s'y éclate comme un dingue en s'occupant d'une bibliothèque, le monde à l'envers! Mais là, ça me fait pas envie...
Bref j'ai beaucoup aimé. Par contre, ça m'a fait de la peine à la presque fin, pour ne rien dévoiler à ceux qui ne l'auraient pas vu, au dernier coup de poing (qu'on voit). Et oui, je me laisse attendrir par n'importe qui. J'avais pas vu les autres films donc je peux pas juger des autres candidats mais en tout cas les 2 Césars d'interprétation n'ont pas été volés!
Maintenant, il suffit de suivre le programme de la soirée : manger, me faire une beauté préventive, me colorer les cheveux et faire ma lettre ultime à bfc (ouais j'avais plus envie mais ce qu'il y a c'Est que j'aimerais bien qu'il m'envoie la copie de mon CD tout scratché, je vais essayer de le culpabiliser à ce sujet ;-) ) sauf que, vu l'heure, il y a au moins un ou 2 trucs qui va gicler! Les 2 derniers je dirais!
00:42 Publié dans Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (14) | |
dimanche, 14 mars 2010
Commentaires 2ème partie
Parce que, vous savez quoi?, en plus ça me fait du bien de commenter les commentaires ;-) Je me sens plus légère après!
Même si je me tape sur les nerfs a posteriori! Je suis beaucoup trop sympa (et trop gourde)!!!
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Bienvenue
........a mon deuxieme email avec mes commentAIREs (en majuscules c'est les corrections que je faisais à TOUT ce qu'il écrivait en français (avec des explications souvent) - vous imaginez pas le temps que ça me prenait!) au sujet dE ton samedi email.
Je vais ecrire en anglais, parce que j'auraI besoin trop de temps pour l'ecrire en francais. Mais tu peux repondre en francais et si je ne vais pas comprendre quelque chose, je vais demander lA traduction en anglais (il va demander à qui? À moi??? Parc que j'ai drôlement envie que n'importe qui soit au courant de tout ça!) (de toute façon j'ai toujours préféré lui écrire en anglais, ça allait plus vite, sinon fallait que je pense à comment dire les choses simplement et vous savez que pour moi c'est pas évident ;-) ).
Ok, some comments regarding my mail I sent some weeks ago regarding your reasons for going to Paris and your reaction. Well, why I wrote this email, you've read already, cause I explained it and I guess you've still stored this email;-).
I was a little bit surprised by your reaction to that email, didn't expect you take it so "cool". But I was relieved you didn't seem to be too disappointed by that mail.
The thing was that if I remember correctly with my bad memory, that you started to talk about you Paris job after I left Mtl last September (ben non, pauvre crétin mégalomane, ça datait d'avant, je vais pas prendre une décision de ce genre après qu'on ait passé ensemble 10 jours, certes sympa mais 10 jours quand même) and I was a little bit surprised, because you talked sooooooo much, but not that much about your Paris plans (j'avais pourtant raconté déjà mes trucs de total). So I had a little bit the impression (and also the fear) (je suis effrayante, c'est clair), that my Mtl visit had to a certain extent to do with your plans for moving to Paris. And when we were in Paris in january you were quite obsessed by your Paris job (of course you had good reasons to be obsessed, cause it would be an important step) (et que passer une entrevue, c'est stressant, bordel!) (c'est pas comme s'il avait l'expérience que j'ai en la matière), but since I wasn't sure to what extent I'd influence your Paris decision (especially since you never asked me about my opinion about this) (pauvre ptit chou!) (faudrait savoir, hein) I got a little more worried. So at some point I was thinking I should write something about this and sent you this email in january (or was it already february, don't remember). Another thing is also that I have the impression, that after I wrote this email, it became quite quiet regarding your Paris job (non mais je te dis pas TOUT non plus!) (quand je le dis c'est que je pense que ça l'intéresse!) .
C'est tout! Je dois economiser D'autres commentAIREs pour les autres emails, quE je vais envoyer pendant cette semaine;-). (ah oui, parce que moi sur sur les charbons ardents alors oui, qu'est-ce qu'on se marre c'est vrai, connard!)
Tschüß,
Ich
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Très bien ton 1er paragraphe en français! (parce qu'en plus je suis encourageante, c'est désespérant!)
Commentaires sur tes commentaires, ok? ;-) Ça risque d'être long, attention ;-) (pas la peine d'en rajouter!)
"didn't expect you take it so "cool" " - hmmmmmm how did you want me to take it??? with cries and shouts?????????? And it took me a while to figure how i should answer, because at first i was not "cool" at all with it i must admit but then i thought about it and felt it needed to be said at some point, so no not really disapointed but almost (i repeat almost!) "pleasantly" surprised ;-)
Yeah and for september, purely question of timing because if i remember well the people called me soon before during or after you left, don't quite remember exactly but probably right after. But i had contact with them in june as well i think, but at that time i just started my new job i needed to see the possibilities but then in september i could see it would not suit me long term... But thanks for the comment about me talking soooooooooo much ;-) Doesn't mean that i told you everything yet, i must save a bit for other times! Although i think i might have mentionned that a vague project was to move to europe at some point, no? (mais bien sûr) (c'est juste qu'il écoute pas (ou alors il avait pas "peur" à l'époque donc rien à foutre)) Cause i had a job offer in june 2006, i might have started working in Lyon in August 2006 and never met you, so saaaaaad it would have been ;-)
So in january i was obsessed by the paris job??? Really??? I was stressed out this i give you! I,m always stressed before interviews whether i'm interested or not because i want to perform, i was the same when i was doing stage acting. But obsessed??? ok maybe but as you say it's a major decision! So sorry i bothered you with my paris job obsession, it was not intentional ;-) (hmmmm là je plaisante ou quoi? Je vais pas m'excuser d'exister aussi!!!) and no i think you wrote in january since my email du samedi was from february 2nd (jour des crêpes)...
In some way i find funny you think i should ask you your opinion on whether i should go for Paris or not. At what title??? that's the problem with very fuzzy thing we have "together", no? Hard to define for me, and for you? I don't mind at all if you give me your opinion on the question (although i felt until now it was very negative... intentionally to discourage me or not???) (ah ça oui, vive les encouragements!), on the opposite i like that you kind of give a damn (depending why you do of course) (tout est là!) but i think i have to decide for myself until further notice, don't you think? For example, for you and den haag, i would not feel comfortable at this point if you'd ask me what should i do? I can give you my opinion in saying if i were you i'd do this or that, think about pros and cons but if i was to tell you stay in A***, and you'd go (or the opposite) what would it mean??? Ok the example might not be too good because for me whether you go or not doesn't change much things whether i'm in Paris or not, while my decision is changing a bit more or is it really? Maybe for you it is better to have me an ocean away rather than 3-4 hours by train, i don't know??? (of course, comme ça il peut faire le sale boulot en plusieurs emails) Ok but let's go for it, consider the question asked now : so what's your "objective" opinion on my paris decision? (là, à la suite de ça, mega douche froide quand il m'a répondu que je surestimais les choses, que c'était une opinion strictement à titre d'ami (avec des amis comme ça, hein, on va pas loin) qu'il voulait me donner, que je sautais trop vite aux conclusions) (si tu disais les choses clairement aussi, pas après 150 000 commentaires, on en serait pas là)
"I have the impression, that after I wrote this email, it became quite quiet regarding your Paris job" - again what do you mean? I didn't wait for your january email to not write back to the paris guy ;-) (et pas le rappeler non plus) (d'ailleurs je lui ai fait le même coup, l'été suivant!) But at this moment i'm asking myself a lot of questions about a lot of things (not only related to you ;-) if that comforts you, but about how i'd feel to leave my parents all alone for ex.) and i feel that if i make contact that will be it, i won't be able to change my mind (although i know i could)... and now that's been so long since i had to write to him i don't really know how to reinitiate ;-) because frankly i want to do it, now it's said!
Ok argh je pars du travail tard à cause de toi!
Une question : combien d'autres emails de commentaires tu prévois?
A+
Moi
15:32 Publié dans La saga du germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Décalée...
Et ben! Je trouvais que 8h30, c'était tôt pour un dimanche matin, d'autant plus que je me suis pas couchée avec les poules puisque j'ai lu. CE que j'avais sous la main. Pas tout de suite trouvé ce que je cherchais alors je me suis rabattue sur une de mes dernières acquisitions!
Bref, comme hier, j'ai été réveillée par ce bruit de tuyau bizarre et assez intense que j'entend quelques fois. Je comprends pas ce que c'est. ÇA peut pas être un de mes voisins qui prend une douche, là, ça faisait très longtemps que j'avais entendu la chose. Bref, grand mystère!
Je me suis trainée lamentablement, en sentant bien que j'aurais volontiers dormi plus, jusqu'à mon laptop chéri.
Et là, ze choc! Il m'indique qu'il est 9h30! J'ai cru que j'avais mal lu sur mon réveil mais non ma montre me dit pareil.
J'avais juste oublié qu'on perdait une heure aujourd'hui avec le foutu passage à l'heure avancée! Vive mon laptop dans le fond, j'aurais pu rater mon cinoche avec tout ça. Parce que compter sur ma mère pour savoir dans quel sens changer l'heure est une opération hasardeuse dont j'ai subi les graves séquelles plusieurs fois dans ma jeunesse en ayant 2 heures de décalage avec tout le monde parce que oar exemple, on avait reculé l'heure au lieu d'avancer... Il est de ces traumatismes dont on a du mal à se remettre! Donc là théoriquement je n'ai "plus que" 5 heures de décalage avec la plupart d'entre vous. Ce qui n'était pas un avantage quand ça roulait avec bfc (quoique là ça roulait beaucoup moins bien) (mais il avait quand même toujours son exam' de français à passer alors il était loin d'être contre Skype), parce qu'on se donnait en général rendez-vous à 19-20 heures de son heure à lui (ben voui, fallait pas bousculer sa routine quand même) ce qui moi me tuait mon après-midi avec 5 heures de décalage. Mais ça me gênait presque pas - triple gourde! Ah oui, j'ai du retard dans les commentaires, argh!
Allez hop, je peux pas trainailler comme j'aurais voulu, pain doré me voila (puisqu'on peut pas physiquement aller au Byblos today bouhouhou mais partie remise!) (en plus faire la queue (ce qui ne rate jamais si on arrive dans la cohue) sous la flotte froide, merci mais non merci, même si à l'intérieur, c'est idéal pour se réchauffer de partout!), j'ai faim tout de suite là!
15:02 Publié dans Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Seven Types of Ambiguity
Il était une fois un jour lointain où, sur les conseils de La Moule, j'ai attaqué Sevent Types of Ambiguity d'Elliot Perlman.
Vous savez maintenant qu'à 10h29 ce matin (ou hier, dépendant de quand je finirai cette note), j'en ai lu le dernier mot. Donc, j'ai mis 6 mois à lire 600 pages. Pas glorieux!
MAis il ne faudrait pas croire que j'ai trouvé ça nul ou chiant pour autant. Je lis certaines choses plus ou moins vite, pour tout un tas de facteurs, le temps, l'humeur, le nombre de bouquins que je lis en même temps, etc. Voila, donc, dans ce cas particulier, après un démarrage en lion, je me suis un peu beaucoup essouflée...
Je dois dire que j'ai adoré le principe du roman. Sept points de vue sur une même histoire, chaque personnage étant impliqué à divers niveau. Chaque partie prend une vision particulière, celle d'un des protagonistes. Le tout teintée par les émotions propres de chacun. Cette vision est imbriquée dans la trame principale et en donne habilement un éclairage nouveau sur les tenants et les aboutissants. Ce qui est d'autant plus intéressant, c'est que la structure de chacune d'elle est différente, on ne peut donc pas se lasser du procédé narratif : selon le cas, un personnage raconte à un autre l'histoire d'un 3ème (ça prend un petit moment de s'ajuster, quand initialement on ne connait personne, et quand on ne situe ni "I", ni "you"...), l'un d'entre eux raconte de façon classique au jeu (ou au "I"), ou encore on suit le dialogue entre 2 "héros" entre lesquels aucun lien ne semblait exister. Très habilement fait. Tout autant que le puzzle entre les 7 histoires qui finit par donner un aperçu complet d'un drame finalement presque ordinaire dans ses fondements.
Ça parle d'amour déçu, d'obsession, d'émotions, de troubles psychiatriques, de société, de petites cruautés,de petits égoïsmes, de petites mesquineries, de malentendus, de manipulation, d'ambition ratée, de détresse, de la mort, d'apparence, de petites et grandes déceptions, de cruauté, de plein de choses. De la vie, quoi, dans tout ce qu'elle peut avoir de mesquin et d'ironique. Le tout autour d'un événement aux conséquences multiples et tragiques alors qu'en soi, il aurait pu être si anodin... C'est souvent comme ça dans le fond.
Il y a eu beaucoup de choses que je n'avais pas vu venir. Du suspense sans être vraiment un "thriller". L'enchainement des parties surprend. Ce qui est impressionant c'est la facilité avec laquelle Elliot Perlman semble se glisser dans les chaussures de ses personnages : que ce soit un psychiatre très dévoué ou une femme mariée qui résume ses atouts à un "pancake-flat stomach" (qu'est-ce que ça m'a exaspéré l'usage répétitif de cet expression) (mais psychologiquement, c'est très révélateur, heureusement parce qu'à la troisième fois, j'avais envie de jeter le bouquin contre le mur), on s'y croit complètement. C'est très fin comme écriture...
Mon seul bémol est la fin. Pas 100% convaincue. Un peu trop ouverte à mon goût. L'histoire que j'attendais de la bouche de l'un est racontée par quelqu'un d'autre... Inattendu. La grande ellipse dans le temps aussi m'a gênée après qu'avoir suivi les événements d'aussi près.
En gros, oui, je recommande, mais ce n'est absolument pas une obligation de le lire au rythme de 3 pages par jour ;-)
05:33 Publié dans Lecturite aigue | Lien permanent | Commentaires (2) | |
Un pot
Je fais des calculs terribles pour voir combien de fric j'aurais en Su1sse après impôts etc. Déjà, zo choc, comme j'y serais en tant qu'indigène (et pourtant), pas de retenue d'impôt à la source! Pas du tout l'habitude!!! Mais au moins, dans le canton où vraisemblablement je vivrai (je regardais des apparts tout à l'heure et je me suis enthousiasmée 2-3 fois), ils sont à payer chaque mois, j'aurais pas besoin d'accumuler de folles sommes pour les paiement annuel, ouf! La non-retenue à la source est d'autant moins compréhensible. Je suppose qu'ils le font pour les "étrangers", de peur que ceux-ci se cassent sans payer! La non-retenue à la source est d'autant moins compréhensible... menfin c'est vrai que je bosserai dans un autre canton, avec des règles différentes etc.
Oh et puis, j'ai trouvé un truc d'expatriés qui organisent plein de trucs pas mal. Youppi, je ne serai pas tout le temps toute seule.
Par contre, bon, je compte BEAUCOUP sur la boite pour me faciliter un peu la vie. Parce que là je me visualise débarquant là bas avec mes 2 valises bourrées, sans appart, sans meubles, sans savoir où aller... à part le dix-sept mai à 8 heures. Sans, quoi! Quand j'étais arrivée à Lyon, au moins, je savais où aller. Bon, zallez me dire qu'il y a 2 mois avant d'y penser (quoique j'aimerais bien savoir un peu avant quand même!)...
Bon plutôt que de penser à des visions d'horreur tout de suite, je me tâte pour Shutter Island à 18h45, c'est moins l'heure pour ouvrir les bras, hein galuch', mais bon, justement il y aura moins de monde ;-) ... peut-être! Oh non tant pis, je me sens pas d'affronter une fois de plus la cohue potentiellement en vain : je vais y aller mercredi à la même heure, voila, c'est décidé! Vous me le rappellerez si j'oublie, hein?
Non parce que là en plus, j'ai rien mangé (et presque rien bu, ça c'est pas bon pour moi!) (et je parle d'eau, attention!) (j'ai pas bu d'alcool non plus, je vous rassure (ou pas?)) de la journée... Le stress me coupe l'appétit (pas besoin de régime du coup à ce rythme là) même si là, je commence à sentir un petit creux. Sauf que j'ai cette propriété intéressante que si quand j'ai faim, rien ne se passe dans les 15 minutes (et que mon nez ne capte pas des effluves agréables au passage), et bien j'oublie que j'ai faim. Ça en rend fou certains. Genre bfc. Parce qu'après je n'y pense plus du tout. Plus du tout du tout. Et lui ben c'est un estomac sur pattes. Grave. Donc il aimait pas que "manger" devienne une priorité secondaire pour moi. Motif de "divorce" possible? C'est d'ailleurs ce qui le sortait du lit. Je pense qu'il calculait son coup pour les morning sessions en fonction de ça aussi. Romantique au possible ;-) Ouais, notamment à Paris, un certain événement marquait la fin. Point. C'était comme ça. Pas plus mal, le dernier matin où on allait rater l'heure pour rendre la chambre. Mais le reste du temps, ben comment dire? Why??? C'est comme aussi le jour de la dernière morning session (le jour de mon départ, il m'amenait à 5 heures du mat' à la gare donc peu inspirant et la veille, ben il bossait) (j'avais "adoré" d'ailleurs, moi quand il était chez moi, je me levais bien avant lui, je faisais attention de pas trop le réveiller, mais lui, paf, il allume tout, vive la luminothérapie) (non en fait, c'est ce que j'ai détesté dans la fin de mon séjour chez lui, plein de "messages" "passifs agressifs" sans rien dire de clair!), comme on était de retour chez lui, il pouvait petit-déjeuner comme il voulait sans m'attendre (alors qu'à Paris, ben j'avais les clés, je faisais la traduction, etc. il était à ma merci!) et il s'en était pas privé en étant plus chiche que d'habitude...
Argh! À force d'écrire que manger est une nécessité, ben j'ai toujours faim, moi! Va falloir faire quelque chose là.
Oh par contre, demain, je vais voir Le ruban blanc. Je me taperai bien un brunch au Byblos avant mais, comme je sors ma mère, les chances sont minces (à moins que je joue la carte du "C'est peut-être mon dernier brunch avant un bail!")...
Ah et puis, triste la mort de Jean Ferrat... Quelle voix magnifique... pleine d'"humanité" (whatever that means). Ça m'a déprimée d'apprendre ça dès le lever...
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Évidemment à force de reporter la publication aussi bien que le repas, je me retrouve à devoir combiner petit-dèj-dèj-diner en une seule fois! (bon et puis charrions pas, j'ai mangé quand même 3 oranges!)
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Je regarde Club social, une émission québécoise sur TV5 que j'aime bien. Le thème de cette semaine c'est les anglophones au Québec.Là, c'est une entrevue avec Josh Freed, chronique à the Gazette, le quotidien anglo de Montréal. Ce type je l'ai découvert quand je faisais des sondages téléphoniques en 1996. Je l'ai lu quelques fois et il est pas inintéressant.
Et là, il fait l'apologie du désordre, sur lequel il a fait un documentaire d'ailleurs. Faudra que je vois ça, je suis 100% d'accord avec tout ce qu'il dit! Il compare Toronto, ordonnée mais platte, et Montréal, bordélique (théorie intéressante : il attribue le bordel dans la circulation d'un point à l'autre à la présence du Mont-Royal au centre qu'on doit toujours contourner, j'y avais jamais pensé, tiens!) mais vivante. Ça me rappelle la différence entre ex-coloc et moi, tiens ;-)
00:32 Publié dans Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (2) | |
samedi, 13 mars 2010
Juste pas possible
(Entre le sujet de mon "indignation" et le moment où je me suis mis au clavier, j'ai pu entendre Luc de Larochellière chanter "Six pieds sur terre" (chanson impossible à trouver en écoute! Argh! Même chez lui même, ya pas...), j'adore! Bon alors au moins les paroles... Oh et puis une autre chanson du même auteur que j'aime bien, que je trouve jolie et qui a accompagné quelques moments de spleen à l'époque :
)
Donc oui revenons à ce qui a suscité le titre de cette note!
J'ai vu, par curiosité malsaine, j'avoue, la bande annonce du Tw1light qui va sortir sous peu... à moins que ce soit celui de la dernière fois. Je sais pas trop et franchement, ça me fait pas un pli non plus.
Alors, de 2 choses l'une, soit je suis trop vieille, soit je suis trop cynique, (ou les 2!) mais je comprends pas du tout pourquoi ça met en émoi des hordes de jeunes filles en fleur. Non parce que certes, cette époque est lointaine pour moi (ça y est, aujourd'hui, les j*melles blonde et brune changent de catégorie d'âge dans les sondages pour me rejoindre et comme ça fait pas loin de trente ans qu'on se connait, ben coup de vieux quoi!), mais je ne pense pas que ça m'aurait plus émue avant.
Déjà, j'ai lu quelques petits trucs au sujet de cette série. Les relents de religion nauséabonds qu'elle charrie sans complexe et qu,en plus, tout le monde gobe gouluement me tombent pas mal sur les nerfs en ces temps de retour aux "traditions"... Non parce qu'à certains endroits, on est pas loin du prédicateur de "There will be blood" et ce, pas que dans des pays qualifiés de l'axe du mal par des alcoolos qui ont justement vu la lumière... Il n'y a qu'à voir Religulous!
J'adore le "You don't have to pass an IQ test to be a senator" et la tête de Bill Maher un peu soufflé par tant de "candeur"...
Bref tout ce qui sous-tend ces bouquins et ces films me pue pas mal au nez. J'essaie de retrouver sur quel blog j'avais lu une analyse brillante de la chose (et puis là, au moins, elle avait lu/vu pas mal tout alors que moi j'en parle par ouïe-dire, ça j'en conviens aisément). Mais comme ce n'est pas un de mes blogs "réguliers" je vais avoir du mal à retrouver! Ah si, attendez je crois que je me souviens par chez qui j'étais arrivée là... Ça y est! Je crois que c'était ça...
Faut voir les protagonistes...
D'abord Bella... Vu ce que j'en ai vu, je l'appellerai Bêlante (je dois pas être la seule) plutôt vu qu'elle a l'air de se morfondre (avec les sourcils inclinés juste comme il faut --- dans ce genre là "/" (mais bordel pourquoi ça me garde pas mon 2ème sourcil en forme de backslash, hein??? et la lèvre tremblotante :-S) pour bien qu'on voit qu'elle souffre, bordel) et que la pauvre, ben faut choisir entre 2 supposés sex-symbols, dilemme aussi cruel que de choisir entre un boutonneux et un type avec un appareil dentaire digne de figurer dans n'importe quel film d'horreur bien gore (et encore, a-t-on déjà fait l'attaque à l'appareil dentaire? Plus facile à manier que la tronçonneuse il me semble...). Tough choice! Si je pouvais en choisir 2 autres, les siens je les lui laisse sans souci, et je n'irai pas pleurnicher à me dire mais le quel choisir???
Ensuite, les 2 mâles qui partagent les filles hystériques en 2 clans rivaux...
Premièrement, le clan des vampires. Si j'ai bien suivi, c'est tout ce qu'il y avait dans le premier film. Pour être un vampire, c'est pas difficile : un look gothique, le teint cadavérique, la maigreur romantique, l'absence totale de tonus musculaire (du genre je t'abat le héros d'un coup de pichenotte) et hop, ça y est. Ouais il semble que faire la gueule parce que trop nulle la vie éternelle soit de bonne guerre aussi. Mais bon, j'ose croire qu'il a quelques ressources autres pour se défendre et pour le reste (enfin pour tout ce que la mormonerie ambiante réprouve, les hormones prébubères, mais quelles hormones prépubères?), parce que bon moi ça me lasserait vite... surtout quand sourire a l'air de lui arracher la gueule. Il a pas l'air de savoir que, s'il veut économiser ses petites ressources, faire la gueule monopolise une centaine de muscles contre moins d'une dizaine pour sourire. Ah et puis il y a le petit détail du buveur de sang aussi j'oubliais. On sent l'éloge de la différence à gros trait. Genre on voudrait nous faire que tous les êtres humains actuels ou anciens ont une âme, sans déconner!
Je dois dire qu'à une certaine époque je n'étais pas insensible à la cause vampirique. Oh en livres et en films, rien de plus! Pas mon genre d'aller me sucer le sang par un type aux canines taillées ou, pire, en plastoc, pour me faire des émotions. Mon premier film de vampires, je l'ai vu en 3ème, à l'anniversaire de ma "meilleure" amie du moment, qui m'a complètement ignorée peu après, à mon avis, par pression de son autre "meilleure" amie qui était jalouse parce que j'avais eu la permission de passer une nuit presque blanche chez la première. On voit la profondeur du truc. J'en retiens surtout de me méfier des gens parc qu'on sait jamais (2 fois qu'on me faisait le coup à 3 ans d'intervalle, on apprend) et aussi "Vampire, avez-vous dit vampire?" (revu depuis, et un peu nullos) (pas qu'au niveau des effets spéciaux). Avec meilleure amie (la vraie, l'officielle, et ce depuis 20 ans, ça commence à être éprouvé il me semble) aussi, on regardait des trucs un peu tordus, avec vampires et loups garous. Des précurseurs nous étions. Par contre, je ne me rappelle pas avoir fantasmé sur aucun d'eux. En tout cas pas dans leur forme non humaine (en hommes, en général, on ne choisit pas des laiderons, faut reconnaitre). Je n'avais pas du tout identifié de dimension "se*uelle" dans tout ça, faut dire. Ouais, à l'époque, j'étais quand même un peu cloche, j'ai eu du mal à me remettre de l'étude de Freud en philo. Et maintenant, je vis le "mal" partout ;-)
Quelques années plus tard, je dois dire que j'ai lu avec avidité les bouqins d'Anne Rice après avoir vu Entretien avec un vampire... Mais bon, là dedans, Lestat et ses potes ne sont pas moins torturés mais ils ont quand même un peu plus de panache qu'Edward la lavette! Et puis, même à la longue, ça m'a saoulée. LEs histoires de péché originel, de la reine des vampires, et tout le tralala, ça va un peu mais bon. Je crois que j'ai du en lire 4 et là, je vois que les chroniques des vampires en compte 10! Oui et puis, c'est vrai, la notion de péché me gave en fait, très judeo-chrétien tout ça!
Bon et puis, il y a le 2ème clan : celui des loup-garous. Très en vogue en ce moment, eux aussi. Alors que bon, un type qui se transfrome en loup à chaque pleine lune, moi ça ne me fait pas grand chose à n'importe quel niveau. Ah si, ça m'emmerderait d'avoir à fondre mon joli bracelet "poisson" pour me faire des balles histoire d'en zigouiller un. à la limite, je préfère celui dans Buffy, un type qui n'a l'air de rien, à part une coupe de cheveux rous hérissé et qui se transforme en horrible bébête. En tout cas, celui de Twilight, certes il est bien foutu, avec des pectoraux pas pire, mais à mon avis il serait mieux avec une tête de loup justement. Parce que j'ai du mal à fantasmer sur un type à l'air décérébré... Mais ça doit être juste moi. Je dois dire qu'un sac en papier peut faire l'affaire aussi. Bon mais là je crois que j'aurais des scrupules, il est vraiment trop jeune.
Bon alors, les (z)héros déjà m'insupportent par leur insipidité et leur talent "limité" (on a beau dire, les pectoraux, les sourcils en pente, etc., ça ne suffit pas toujours) mais faut écouter des dialogues un peu. Perso, la bande annonce me suffit largement sur ce plan pour me faire une idée. Portes ouvertes et platitudes, me voila. Amour rime avec toujours (encore plus quand tu as la vie éternelle). Je me demande si équivalent il y avait dans mon temps??? Franchement, je vois pas. Parce que si ça c'Est une histoire d'amuuuuur ben merci mais non merci quoi! En même temps, c'est sans doute une bonne stratégie pour t'assurer un public captif de films cuculs à l'eau de rose faits à la chaine sans se casser la tête puisque le happy end est implicite. On voudrait pas traumatiser ces chères têtes blondes. Je dois dire que parfois, je peux être cliente, s'il y a un peu de substance!
Dans le genre : Before sunrise et Before sunset sont mes favoris (j'espère qu'il y en aura un 3ème dans quelques années d'ailleurs!). Je les ai d'ailleurs en DVD! Tiens, une fois, l'hm, très consommateur de films quand il a pas à se déplacer, en bon flemmard, voulait voir un film chez moi. Sauf que j'ai pas une grande sélection. À part ces 2 films. Enfin presque. Et je n'avais aucune envie de voir ses films que j'adore avec lui pour l'entendre me dire "ah oui mais c'Est un très bon film, ça, hein" sur le ton de dire "non mais dis moi que je rêve" ou alors qu'il me pose des questions stupides. Ou, pire, qu'il tente de dévier sur autre chose alors que, niet, je suis pas d'humeur, JE REGARDE! Pas envie de déflorer le charme! Même les lui prêter (et les récupérer dans 6 mois) (ou les avoir pris en otage!), ça me disait pas du tout. Mouais, franchement, je me demande pourquoi je me suis acharnée en fait ;-) Parce qu'on est tout sauf bien assortis quand même...
'tain! Qui aurait cru que j'aurais tant à dire sur des films que je n'ai aucune envie de voir?
Là, au moins, on parle du FIFA (rien à voir avec le foot), ça c'est autre chose quand même! J'irai voir quelques trucs, dont des films sur l'architecture. J'adore depuis que G. m'a fait découvrir le tout, il y a environ 11 ans (mazette!)!
19:02 Publié dans Cinoche, dévédés zet télé, Humeur (joyeuse, boudeuse, chieuse ou autre...), Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (8) | |
13 mars, 10h29
Date et heure exacte à laquelle j'ai terminé (enfin!) Seven types of ambiguity. J'en reparlerai.
Ouf!
Non, parce que comme il me restait plus grand chose, je m'étais dit que je ne faisais rien avant d'arriver au bout.
À part, écouter la radio.
Que j'ai fini par éteindre parce que ça me distrayait trop et que je perdais le fil.
Tiens, je vais rallumer, je veux pas louper la bourse de l'actualité
16:32 Publié dans Futiles futilités??? | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Fiasco!
ALors oui, j'étais fière de m'être botté le cul pour ressortir et aller au cinoche...
Mal m'en pris... Je suis arrivée dans une cohue monstrueuse, une file monstrueuse. Bref, ça m'a saoulée... Je me suis réfugiée dans la librairie d'à coté histoire de faire la fermeture et de pas avoir le trajet totalement pour rien. J'ai acheté quelque chose que j'aurais pas du et aussi mon premier bouquin de Dany Laferrière. Son avant-dernier. Pas celui qui a gagné je sais plus quel prix fameux il y a peu, pas le Goncourt, l'autre. Déjà qu'il avait un peu l'inflation du melon par moments... maintenant ça doit être terribeul!
Pas une pure perte, quoi. Enfin, jusqu'à preuve du contraire, quoi.
Ensuite je voulais rentrer à pied mais paf, mal de dos, alors non, re-métro. Une et quart après être partie, je suis rentrée. Palpitant ;-)
Au moins, je pourrais me coucher pas trop tard.
A voir si on remet ça demain...
05:03 Publié dans Ma vie, mon oeuvre! | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Il n'y a pas à dire.....
prendre un verre sympatoche entre collègues parce que tout le monde a bossé à mort pour préparer la visite de Dieu le père qui viendra même pas (le tout annoncé à 2 jours d'avis), ça fait du bien!
Je n'ai même plus mal aux reins!
Par contre, j'ai la tête qui tourne...
On peut pas tout avoir...
Ah tiens, le GO a dit tout à l'heure que c'était clair que les 2 plus brillants autour de la table c'était le 9/10 et moi. Bon et il n'y a que le jeunot qui n'a pas passé le test. Il devrait pas trop mal se débrouiller à mon avis... et il est plutôt du genre vif d'esprit. Tiens et il a demandé en mariage son infirmière. Ouf, F., heureusement que je disais qu'il me plaisait de plus en plus mais en en restant là ;-) Je veux pas d'hm bis, ou en attendant d'hf plutôt (homme fiancé). Oh mais apparemment il m'a laissé un autre message "étrange", pour me faire arriver plus vite... alors que j'étais en route. J'ai presque hâte que ce soit lundi (non faut pas déconner quand même) pour l'entendre!
En tout cas, ben j'adore pas mon boulot, mais pendant nos cinq@sept, franchement, on rigole bien! Ça, ça me manquera (ou manquerait?)!!! SI ce n'était que ça, ce serait top!
Ah oui parce que quand même là, I feel fiiiiii-hi-hiiiiiiiii-ne, rien de moins. Bon... là j'ai envie de sortir, en fait, pour prolonger le truc! Mais la niç0ise peut pas, p0l a ses gamins, les autres ne sont pas des adeptes de l'impro... Non et puis même l'hm, j'ai pas envie de l'entendre me dire niet, pas juste à cause de notre engueulade de l'autre fois, mais parce qu'à chaque fois que moi j'ai envie de faire un truc, et peu importe le truc, à tous les niveaux, c'est clair qu'il aura pas envie, qu'il chougnera etc. Même pas envie d'essayer! Ou alors je vais au cinoche??? À la séance de 21h parce que là j'ai pas envie d'y cavaler tout de suite, je marcherai pas droit, ça me ferait encore plus long pour arriver à mon but ;-)
01:02 | Lien permanent | Commentaires (2) | |
vendredi, 12 mars 2010
Sauvée ***
*** mais pas pour très longtemps, je sais bien (ah ben non c'est reporté à lundi, sooooooooooo cooooooooooool!)
Sauf que là, franchement, c'est pas la grande forme, j'ai mal partout, surtout aux reins étrangement (enfin non c'est pas si étrange que ça), et je me sens amorphe au possible. Ça se voit pas trop de l'extérieur, heureusement (ou pas!) (du coup, on me croit pas quand ça va vraiment pas à moins que je ne sois pâle comme une morte ou à la limite verdâtre). Mais j'avais pas du tout la forme pour tenir une joute serrée de négociations.
Donc je suis là depuis pas très longtemps, encore moins longtemps que je le prévoyais ce matin, ça m'a pris toutes mes ressources pour ne pas sécher complètement la journée d'ailleurs!
En plus, comme je voulais me changer les idées (enfin le faire un peu plus), j'ai google talké avec p0l. Qui voulait qu'on aille prendre un café. Mais dans son coin. Soit vachement au nord. Alors oui, ça m'aurait changé les idées) mais non (c'était trop loin). A remettre à une autre fois. Il est bizarre quand même, il saute à pieds joints sur des trucs que je vois pas venir du tout et quand je lui tends des perches comme ça (façon pêcheur marseillais/toulonnais), que je ne vois qu'après les avoir écrites et que je crains le pire et ben rien! Menfin pas plus mal s'il s'est fait une raison.. Ou alors on a chacun notre façon tordue d'interpréter les trucs et on est pas tordus synchros!
Je viens d'apprendre que la visite de Dieu le père est reportée! À une date ultérieure!!! ô joie! Ça veut juste dire se retaper le tout, une fois de plus. Trop coooooooool! ÇA m'épuise d'avance... Oh et j'aurais pu aller à la formation que le vépé voulait que je suive!!! Crotte!
Je suis pas là depuis trè longtemps mais j'ai envie de partir déjà!
Je crois que je déteins sur le CM : je lui envoie ce que je lui avais dit que je lui enverrai et il me répond "Merc1iiiiiiiiiiii"...
Ah ben pour aller me remettre, le dirlo jeunot me propose d'aller prendre un verre... Pas qu'à moi, hein, qu'on s'illusionne pas!
22:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | |